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POESIE

Communauté d'échange, de partage et de publication de textes poétiques, destinée aux auteurs et à tous les amateurs de Poésie ou de Prose poétique

Gérée par Aralf

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09/04/2015

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Articles récents de cette communauté

RESURRECTION 2 (résurrection révisée)

Resurrection 2 (résurrection révisée)

Combien de kilomètres aura-t-il fallu, pour trouver une solution, pour aérer et ranger mes idées, pour ne pas percuter le talus, pour oublier cette agression fomentée pour me terrasser ! j'ai foncé, foncé ; mon esprit maîtrise les chevaux de ma machine, mais pas ma mémoire ni mes pensées. et ma vitesse cicatrise les paroles intestines pron
Je me suis souvent demandé...

Je me suis souvent demandé...

Cette image est conçue à partir de celle d'hemendra kumar, que je remercie je me suis souvent demandé en traversant sur un pont de chemin de fer, une rivière, un fleuve, ou en suivant leur cours à travers de tristes banlieues s’étalant infiniment, comment c’était avant que l’homme et sa misère viennent troubler ces lieux naturels et v
A force d'être forte

A force d'être forte

Forte de fragilité sans franchise frelatée folle de leur forfaiture faite avec froidure foudroyée par la félonie de fripouilles finies foncer, ne pas fléchir fulminer sans faiblir facile la forfanterie folle de fourberies fouettée une fatiguée et feindre avec frivolité fêter ma fin fébrile félin festoie forcenée, femme formatée ma foud
100% Rebelle !

100% rebelle !

Je n'en voulais pas de cette sale vie ! j'ai du tout aller chercher, car toute petite, elle m'avait tout pris, et là, seule sur le pavé, je suis restée ! la mort non plus n'a pas voulu de moi, alors je dois continuer, il me vient des idées parfois, des pensées de culpabilité. car je vis entre deux mondes, celui de l'indifférence, mais je sui
Fin d'été

Fin d'été

Voici un poème que j'ai écrit en septembre. l’été s’en va en secret derrière les rideaux gris que tire l’automne. furieux, il a de mauvaises manières, il y fait des trous pour que rayonnent ses derniers feux et vives colères. et la ville, dans ses soupiraux, subrepticement en subtilisent les eaux tombées des gris préaux. dans les jar
Bientôt Noël, pensez à offrir des livres

Bientôt noël, pensez à offrir des livres

Pour les amateurs de théâtre : cette adaptation a été jouée dans les années 1980 au théâtre de l'o.e.p.f. et au théâtre de la cité universitaire, tous deux situés dans le 14ᵉ arrondissement de paris. et c'était à noël. deux versions pour ce conte théâtral, une avec reproduction en noir et blanc et l'autre en couleur. et, pour les
Vidéo  de 1er Salon de la Poésie de la Rue aux Ours

Vidéo de 1er salon de la poésie de la rue aux ours

Chanson blues man, (pierre meige à la guitare verte) on dit qu'en france tout fini par une chanson, mais là en l'occurrence cela a commencé par une chanson. en tout cas la séance de lecture des différents poètes présents. dans cette vidéo, pierre meige chantant blues man.
Te voilà...

Te voilà...

Au détour d'une rituelle journée, balle oubliée dans les blessures, te voilà, amour qui nous fait pleurer. à pas de loup, chasseur blanc qui nous suit, tu sais bien derrière nos murs débusquer ce que nous avions enfoui. alors, de la forêt des souvenirs surgit, tel un cerf dédaigné, le stigmate amer des anciens désirs et dans le soir renv
Que cachent les nuages ?

Que cachent les nuages ?

Là où je vois parfois quelques étoiles briller au-dessus de la cour et des toits, il n’y a ce soir que des nuages se cognant à quelques trous bleu-nuit. comme éclairés de l’intérieur par la lune, ils ont des teintes vaguement pourprées et ce ciel qui pourrait être sombre et noir, parait lumineux, comparé à la cour. je m’endormirai
La Peur d'aimer

La peur d'aimer

🌒 la peur d’aimer 🌘 dans le silence où le cœur se terre, un souffle hésite, un frisson s’éclaire. l’amour s’approche, fragile oiseau, mais l’ombre veille, dressant son drapeau. on tend la main, puis on la retire, craignant l’abîme autant que le désir. chaque regard devient vertige, chaque mot doux, un sort, un piège. on rê
1er salon de la Poésie de la Rue aux Ours (suite)

1er salon de la poésie de la rue aux ours (suite)

Voici la liste des poètes participant à cette première. et voici les recueils que je pourrais vous dédicacer : dans un domaine différent de la poésie, le théâtre vous pourrez aussi vous procurer si vous le désirez les ouvrages suivants : une des illustrations : et sa version en couleur, mais je ne suis pas certain d'en recevoir quelques ex
L'été s'en va...

L'été s'en va...

L’été s’en va tout doucement tandis que s’en revient l’automne. un peu partout le canon tonne sur ce globe plein de tourments. des empereurs tranquillement s’échangent bombes et sourires, pensant dans l’histoire s’inscrire en détruisant des régiments, et malmenant par leur folie des peuples qui sans eux vivraient, amis joyeux et
Plaisirs d'automne

Plaisirs d'automne

Cette fin d’été a comme un goût d’automne, pommes et raisins animent les étals, poires, prunes et figues à nous se donnent, joies peaux nues et suaves, ô, le régal ! nos yeux s’émerveillent de leurs belles mines, colorées par la lumière de l’été, et leurs rondeurs tentatrices et mutines ont le charme des plaisirs immérités. et
SEPTEMBRE, un beau poème du canadien William Chapman (1850-1917)

Septembre, un beau poème du canadien william chapman (1850-1917)

William chapman est un journaliste, poète et traducteur canadien. son poème "septembre" tiré du recueil "les fleurs de givre, paru en 1912, est certainement moins connu que ceux de verlaine, coppé, lafforgue ou francis james portant le même intitulé. mais l'œuvre poétique de chapman dans son ensemble a pourtant été très populaire en fran
Salon de la Poésie  de la Rue aux Ours

Salon de la poésie de la rue aux ours

Le 4 octobre 2025, venez nombreux à ce 1er salon de la poésie. animez par le verbe poaimer, stop à l'isolement, rencontre des auteurs francophones, la diseuse, crjp et les argenteurs. il y a deux créneaux pour les poètes de 14 à 17h et de 16h à 19h. pour ma part, je serais présent de 16h à 19h.
Ainsi le veut le temps qui passe

Ainsi le veut le temps qui passe

Je me retourne vers ma jeunesse qui n’est plus celle d’aujourd’hui, car la jeunesse est éternelle mais elle change ses habits et s’en va sur d’autres têtes. pleurons, pleurons, nous les séniors notre jeunesse, elle était belle mais nous ne savions pas qu’elle partirait si tôt avant nous, sans amertume, pleurons-la ! et rions encore
Rien n'est mort...

Rien n'est mort...

« rien n’est mort que ce qui n’existe pas encore. » vieux automnes, qui m’apportez votre fraîcheur dans cet été brûlant que vos rousseurs décorent des élans amoureux, cortèges de bonheurs, et vous, printemps anciens et hivers parisiens, plus vivants avenirs que celui des prophètes, jolis mondes passés, dans ces temps pharisiens, je
en attendant l'orage

En attendant l'orage

Avant l’orage avant l’orage, avant que l’amour nous enrage, nous étions comme des enfants sages, allongés sur le sable chaud de la plage. nous admirions la mer et ses coquillages, lorsque l’amour est venu sur le rivage. ton visage s’est gravé comme un tatouage, comme si le sommeil et la mer nous offraient le mariage. j’ai pu me déli
Lent effacement

Lent effacement

Lent effacement (encore) peu de mots la langue s’assèche a peine articuler son propre nom les mâchoires immobiles pourquoi dire puisque tout est bruit la parole reste seule inutile, désemparée dans un monde d’algorithmes quelle place reste-t-il aux poèmes du vent du ciel, des pierres aucun espace pour le chant de l’herbe le cri de l’oi
a chacun sa vie : Christian Rabussier

A chacun sa vie : christian rabussier

A chacun sa vie à chacun sa vie, son rêve, son délire, son feu intérieur, son besoin de s’enfuir. on suit son rêve, on trace son destin, parfois c’est l’feu, parfois c’est rien. à chacun son chemin, ses pas dans la poussière, entre l’ombre qui mord et la lumière qui éclaire. certains avancent, d’autres tournent en rond, mais to
Laissez moi...

Laissez moi...

Laissez moi vivre crie une petite voix je veux juste être là et me taire sans devoir justifier la légitimité de mon existence laissez moi vivre dans le silence au creux de la pénombre sans me demander qui je défends à quel clan j’appartiens la couleur de ma peau comme celle de mes yeux ressemblent à la vie elles sont accidentelles je n’
L'ailleurs

L'ailleurs

L’ailleurs, ça peut être l’exil, là, où il faut tout reconstruire, un monde nouveau, un brésil, une belle femme à séduire. c’est aussi la mélancolie de ce monde quitté, l’espoir d’y revenir, une folie de l’âme exhalée des miroirs. rêves roses ou rêves noirs, l’ailleurs, tentation douce ou sombre, désir ardent et réservo
Un poème et un déclictographe de Jack Guerrier.

Un poème et un déclictographe de jack guerrier.

Iront-ils faire la guerre tous ces va-de-la-gueule ces décrétés experts ? iront-ils aux combats tous ces ministres veules asservis aux lobbies ? sont-ils prêts à mourir ces débateurs verbeux à méprisante morgue ? et vous femmes de téloche serviles putains du pouvoir qui nourrissez-vous au sein ? les vêtirez-vous d’encens hommes à belle
Enfance

Enfance

Enfance inaltérable sauter dans les vagues défier le vent et l’eau être poisson ondine sirène énergie toujours renouvelée le jeu la joie l’intensité caracoler comme un petit cheval tout au plaisir de l’instant les yeux grands ouverts agiles insaisissables mutines boudeuses au bord des larmes changer si vite comme les nuages jouer jusqu
Fleurs

Fleurs

Fleurs, il y a celles de ton jardin que respirent papillons et abeilles dont les jupes sont pleines de parfums, la vie s’y presse et nous émerveille. et puis, il y a les miennes, échouées dans des vases à l’ombre des rideaux, elles ressemblent aux amours inavouées tremblant au fond du cœur comme un crédo. j’en prends une parfois entre
SAINTONGE

Saintonge

Dans ta sagesse recroquevillée saintonge nichent des songes engourdis sous la mousse du temps épiloguent les glyphes des tailleurs de rosaces flânent des hameaux qui hissent le drap de l'histoire et dans les vagues des âmes de brume cornent toujours la complainte des vents s'écartelant aux dentelles grisées des clochers alors cheminer à pas
Sword

Sword

Un mot a surnagé de mon rêve. sword. pourquoi était-il en anglais. ce mot qu’en français, on dit glaive ? c’était là tout ce qui tremblait de mon songe effacé par l’aube en mon esprit, épée suspendue, mystérieuse et privée de sens. oubliée, mais qui ce soir rôde dans ma cervelle, lame pointue irritante par son silence. épée de
Brièveté

Brièveté

Dans ce petit laps de temps qui t’es imparti la modeste durée de ta vie présente cet espace ce segment ce ridicule bout d’existence que tu remplis parfois à contrecœur pas demandé à naître maugrée ton côté adolescent oui là, maintenant, ici que compte tu entreprendre ? vivre au jour le jour encore et encore parce que rien ne vaut la
Remise Prix Concours Poésie Verbe Poaimer 2024

Remise prix concours poésie verbe poaimer 2024

J'ai une nouvelle fois participé au concours 2024 du verbe poaimer, association culturelle et poétique dont le siège est à l'haÿ-les-roses. j'étais donc à l'haÿ-les-roses hier pour la cérémonie de remise des prix. j'y ai été gâté avec plusieurs prix reçus pour les différents poèmes envoyés. trois prix sont décernés chaque année
Pas besoin de me parler : Christian Rabussier

Pas besoin de me parler : christian rabussier

✨ pas besoin de me parler un poème de christian, illustré par copilot pas besoin de me parler, je ressens vos vibrations. dans les méandres de l'âme, une lumière danse, je lis dans vos pensées, chaque regard, chaque son, les gestes de votre visage parlent d'eux-mêmes, une douce cadence. votre regard, votre sourire, miroir de votre âme, un
Rencontre

Rencontre

Ô doux frère, c’est toi que j’ai revu ce matin dans le demi sommeil. j’avançais dans un jardin inconnu éclairé d’un jeune et ardent soleil, l’esprit abîmé dans un profond songe ; soudain j’arrivai près d’un escalier, je fus piqué comme par une sonde ; immense, il descendait vers des halliers ombreux et frais qui couvraient l
PARCELLE D'EXISTENCE

Parcelle d'existence

Cultiver lentement sa parcelle d’existence de hasards singuliers que rien n'égratigne et d’égratignures que le temps panse pas à pas une poignée d'espérance nouvelle s'incline comme un hommage intime agrippé à la frange des cils a l'heure ou se pose sur la coiffe pâlie la nouvelle saison de vie élégante comme rose blanche l'image des
L'âne et le serpent

L'âne et le serpent

Un jour, un long serpent quitta sa jungle natale. ce boa, ce python ou cet anaconda, intrépide ophidien, sa maison végétale laissée derrière lui, l’horizon regarda. devant lui, apeurés, les animaux détalent tandis qu’il poursuit sa route et son agenda. mais de manger, il n’a aucune envie vitale. enfin, il fallut qu’au jour la nuit su
Rancune

Rancune

Dans un aveuglement constant le regard détourné, comme absent tu maintiens cet espace glacial où l’air raréfié créé un étouffement lent et insidieux oui, tu parviendra à m’annihiler puisque c’est ton désir, ta volonté mais sache que je viendrai te hanter jusqu’à ce que tu ne puisses survivre à ta faute, ta honte photo sur écra
Autre soirée poétique.

Autre soirée poétique.

Une belle soirée poétique s'est déroulée le samedi 24 mai au bistrot des poèmes. un restaurant situé rue corneille dans le 6 arrondissement de paris. la rue longe le théâtre de l'odéon et monte vers le jardin du luxembourg. il s'agissait d'un dîner poétique et littéraire organisé par marie-amélie rigal dans le cadre du réseau des aut
Brindille

Brindille

Faire ne pas faire agir ne pas agir rêver ne pas rêver se laisser dériver juste pour observer où la brindille arrivera petite chose sans importance flottant têtue où va t elle échouer avec son air de rien mutique et distante elle suit le vent elle subit victime ténue de catastrophes je suis là je reste...je tiens évanouie là réapparaît
Soirée poétique à la Librairie L'instant - Paris 15ème

Soirée poétique à la librairie l'instant - paris 15ème

Lecture par frann bercot d'un extrait du livre de yves chéraqui "en dépit du bon sens" lecture par peggy pourrez d'un poème tiré de son recueil " carnet aquapoésie". menuet de jean-sébastien bach par alison à la flûte traversière. après ces quelques extraits, je conclus avec cette photo des intervenants principaux. peggy pourrez, yves ch
Enfance

Enfance

Enfance, chaque mère éprouve dans son corps l’insondable mystère et la grande puissance qui vit en ce doux mot, mais si fragile aux sorts qu’il faut à tout instant, et ce, dès la naissance donner assistance et amour à cet enfant qui la porte en des yeux pareils à ceux du faon. le père éprouve aussi cette joie, ce désir de protéger la
UN ENFANT

Un enfant

Un enfant enflamme ta vie comme une fleur illumine la prairie. son arrivée est un soleil que tu dégustes de tes yeux clairs et que tu caresses de tes doigts timides. ne rougit pas en lui disant je t'aime, prend le par le cœur et tel un cerf-volant il s'envolera d'un pas léger sur le chemin de tes rêves. anne-marie dutilh selon le code de la pr
Baluchon

Baluchon

Voici un joli poème de sedna que je vous offre avec son autorisation. j'aime beaucoup ce qu'elle écrit. ta peau de papier regagne couleur le mois de mai intègre son empire. quand la pivoine au petit jour soupire, un soleil fait le mur avec ferveur. … jusqu’aux forêts où le merle vantard chante, le ciel joyeux pointe son visage. viens, allo
Affame

Affame

Mon corps englouti dans le tiens je sais nos liens indéfectibles ensemble séparés par le temps cette bouche où je plonge m’emmène loin dans l’océan profondeurs du souvenir mais quand donc pourrai-je te toucher à nouveau ! le temps se fond se tord ver de terre insécable joie d’avoir vécu avec cet homme chagrin d’être seule à nouve
Concours Europoésie 2024 : remise des prix

Concours europoésie 2024 : remise des prix

Le remise des prix se déroulait dans la salle des fêtes de la mairie du 11ème arrondissement de paris. je vais d'abord vous présenter la remise de mon diplôme d'honneur dans la catégorie poésie libre. lecture de mon poème "ô merveilleux automne puis réception du diplôme et maintenant voici le texte : ô merveilleux automne ! automne au c
Fragilité de l'homme

Fragilité de l'homme

Tout un chacun espère en vain la paix quand un seul croit pouvoir gagner la guerre. en attendant, le rongement du temps aura créé l’autre écorce, celle où finissent très souvent celles des hommes cette peau douce et fragile que blesse chaque coup reçu mais que la vie soigne pourvu que les conflits mauvais s’éteignent. mais l’homme est
OUVRE C'EST LE PRINTEMPS

Ouvre c'est le printemps

Quelqu'un frappe aux contrevents c'est le porteur d'étoiles d'or de fritillaires et de clochettes en aube pâle ouvre c'est le printemps anne-marie dutilh selon le code de la propriété intellectuelle, tous droits réservés pour tous pays © l'écritoire du reguin. pour toutes informations sur les textes à la feuille et les recueils publiés cl
Concours  "Los trobadors" 2024-2025 : remise des prix

Concours "los trobadors" 2024-2025 : remise des prix

C'était samedi 19 avril 2025 qu'avait lieu la remise des prix du concours "los trobadors" organisé par l'association des arts et lettres septimaniens. la cérémonie se déroulait dans l'ancienne poudrière de narbonne mais cela ne sentait nullement la poudre entre nous ou ne régnait que la poésie, l'amitié et l'hommage aux disparus récents o
Trains

Trains

Trains. trains de mon enfance, trains d’hier et trains d’aujourd’hui. compagnons des horizons qui fuient, vers les colonies de vacances, vers les plages ou la montagne, vers les villages et la campagne. l’époque étaient encore aux belles locomotives noires qui enfumaient les gares à côté de celles au diesel. la plupart des wagons étai
PENSEES D'AVRIL

Pensees d'avril

Petit oiseau tombé du ciel dans ma main je t'ai recueilli d'un flocon de mousse je t'ai vêtu. arbre esseulé impassible planté sur son chemin de vérité attend le printemps nouveau. l'artisan printemps a ressorti ses pinceaux et esquissé sur les rameaux d'hiver la nouvelle saison. anne-marie dutilh selon le code de la propriété intellectuell
Obscurité 2

Obscurité 2

Dans le noir tu tâtonnes aveugle à toute beauté l'obscurité te convient aveugle non mais volontairement les yeux clos afin de sentir - peut être - les choses autrement l'espace, le vide qui t'entourent le vide de sens n'est ce pas plus rien n'a de sens cela depuis longtemps mais tu le redécouvres encore et encore telle une flèche qui s'enfon
Prière aux vivants

Prière aux vivants

Le printemps s’habillait de vent et de nuages et la mer de sa voix rauque chantait aux morts une prière. dans la nuit les pleurs des goélands réveillaient nice et les dormeurs appelant l’âme des défunts qui les frôlaient à disparaitre avant le jour. jeannine était-elle de ces âmes nostalgiques qui malgré la mort restent près de leurs