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Une information : l'herbier de poésie (communauté google et page hebdomadaire) c'est ici
J’ai purifié ma face à l’écume des jours et je songe quelquefois de sources de jouvence itinérant parti pour un périple au long cours souffrant d’entrevoir bien trop d'intolérance celle qui fut jadis une enfant aventureuse qui ne le savait pas mais plaisait aux garçons jouant trop souvent à des jeux dangereux lui reste-t-il en poche e
Une fragrance de tilleul, petit bois de jonquilles une forêt peuplée de mélodieux chants d'oiseaux assise au fil de l’eau une jeune fille crie à l’amant impatient, attends il fait si beau il ne le faut pas je dois reprendre la route patauger dans la boue, remonter le sentier prends juste ce moment, ajouta-t-elle, écoute cette aubade du ven
. c’était là ma dernière éclipse, mais je n’ai vu (maudits nuages !) pas un soupçon de fin des âges, pas une once d’apocalypse… rien qu’une lumière laiteuse, aux couleurs d’argent et d’or pâle, comme filtrée par une opale, par une lune vaniteuse… pour la prochaine fois, le soleil pourra tant qu’il veut jouer à cache-cach
. debout sous le soleil dans ses pauvres habits, il récitait des vers, ceux du grand baudelaire, a tous ces gens pressés autour d’un plat du jour ; pressés de repartir à leurs vaines affaires. j’étais bien seul je crois à l’écouter parler, comme un jésus poète assumant son calvaire… je me surpris parfois chuchotant avec lui les ver
Claude monnet, (1840-1926), les nymphéas, détail
nul plus que moi n’espère et doute en même temps,à contempler les cieux le vide me surprendautant que la splendeur, éparse aux firmaments. est-ce que l’univers chante aux cœurs des amants,est-ce que le néant nous porte et nous comprend,qu’est-ce qu’un infini borné par nos instants ?
Vincent van gogh (1853-1890), premiers pas, d'après jean-françois millet, ci-dessous
j’aimais, de mes marmots, le soir, en la chambretteaccompagner gaiement le rite couchatoire.c’étaient fables, récits, toujours un peu les mêmes,des chatouilles, des niches ; ces papouilleries dont on aime, en blaguant, saouler d’agaceriesnos chers petit
Insomnie qui n'a jamais connu ces heures interminables où sous notre pauvre crane en ébullition se bousculent, inutiles et inévitables, sombres idées et vaines mortifications ? juste un café de trop ou une contrariété et voila que commence le bal de l’insomnie, la galère « sans sommeil » de nouveau affrétée pour une drôle de croisiè
Au cœur d'une nuit étoilée, les âmes semblent endormies quand un silence froid les berce. sous la musique du vent calme, une vision venue d'ailleurs, jaillit dans l'immense pénombre. sensation de rêve éveillé, image sacrée mais furtive, un teint éclatant de madone, redonnant l'espoir à la vie, éclaire les cœurs presque éteints, créan
J’ai relu du relou, un auteur bien çaifran ce n’est pas gohu mais teprousse je n’ai pas ce faisant perdu mon temps je l’ai même retrouvé à mes trousses. c’est le miracle d’une madeleine qui pleure ses frêles larmes de thé dont la saveur et la chaude haleine réveille soudain en vous le passé. le bon plumard où je suis allongé n
L’enfance de l’art voyons si tu peux être toi dans un monde tourmenté nous allons si tu peux être c on dit pc voleurs de vie sportif amoureux eteins ne trompe pas. débile nul - il est seul - il parle seul il n'est pas responsable, il mendie ils mendient la vermine va à la vermine les femmes définitivement, soubrettes. il ne parle plus d
Texte : ©robert loï et catherine c. – photographie : robert loï - tous droits réservés informations droits d'auteur
Bien loin, mon esprit semble s'envoler, s'égarant dans une sphère inconnue, sortant de mon corps détaché, flirtant avec un parfum de déjà vu. monde parallèle, une vie ailleurs, je me laisse guider dans un voyage astral, n'écoutant que la voie de mon cœur, trouvant l'équilibre entre le bien et le mal. voyageant à la recherche d'une toute
Je suis fille du nord, du nord de l'italie... mes yeux sont vraiment clairs, bleus verts tout comme l'océan, bleus comme le reflet du ciel qui se couche dans l'onde.mes cheveux sont cuivrés, quand la lune est cachée. et dans mes veines coule, dans mes veines s'écoule mon impétuosité. la chaleur du soleil, la colère du vent soufflant dans les
Je ne suis qu’une virgule entre les mots de tes doigts une parenthèse entre les lettres de ton coeur un point de suspension qui arrête ton souffle une exclamation entre tes majuscules je ne suis qu’une interrogation à la lisière de tes lèvres une interrogation aux voyelles de tes désirs de tendres guillemets que contiennent tes ailes un p
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