... Ainsi sonne au ciné, / Élimés, les mélismes ...
Le gynécée turbineAux rimes magnanimes,Dont la mine combineL’isthme au mime de Nîmes. Laminée sa machine Abîmée se ranime En fine paraffine En l’âme où l’on s’arrime. Fini pas raffinéDes farines infimesOn s’infirme, aviné,En la marée des firmes. On fit mirer l’inné Se m
Lionel Droitecour
Lionel Droitecour
Sauf mention contraire, je suis l'auteur des textes publiés en ces pages.
Je vous en laisse la libre disposition, la poésie n'étant, à mes yeux, qu'un acte gratuit.
Lorsque, sous le ciel d'une autre moisson, vous délierez ces gerbes, peut-être aurez-vous une pensée pour le semeur...
Ses blogs
Journal de bord
Un bulletin de santé régulier et l'état des lieux de mon duel avec le méchant crabe aux pinces noires
Lionel Droitecour
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Les vieilles lettres
Je vous offre, chaque jour, un poème sorti de ma boîte de pandore
Lionel Droitecour
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Articles à découvrir
Un(e) interne surbooké, jamais la(e) même, qui vous annonce tout de go qu’elle(il) n’a au mieux que vingt minutes à vous consacrer. Avec, dans la poche de sa blouse, un téléphone qui carillonne 2 ou trois fois pour lui parler d’un autre malade, histoire de vous bouffer quelques-uns de ces précieux instants. Puis une infirmière passe en
Quand les gais, vus, se trament, mine ère
Face à la gravité des événements des dernières plusieurs fois quarante huit heures sur tweeter, et pour ne pas CGT à l'aveuglette dans des décisions si inconsidérées qu'elles sidéreraient un con si des rangs il en fut sortit un ; je me suis donc consulté tout seul avec moi-même. De ces cogitati
... À se construire sur un manque, / On est une sorte de dette ...
Elle a voyagé sur ma peau,La cicatrice d’autrefois,Celle de ce coup de ciseauPorté d’un geste maladroit. Parmi les rides, désormais,Presque invisible, trace éteinte,À l’effacée elle dormait,Echo d’une ancienne complainte. On se raconte et on se ment,Mémoire est miroi
... La vague, en chaque instant, revient sur le brisant, / Face à cet infini nous restons des enfants ...
Il est en nous, offerte, une raison funèbre,Penser à autre chose, en cette finitude,Qu’au seuil dernier n’est-il un vain déguisement,Masque pour travestir notre livrée d’automne ? Ainsi nous en allons, quand le printemps foisonne,Fle
...Fugace, en cet instant où le jour passe et meurt / Il est une espérance intangible en l'éther...
Se perdre dans la nue au sommet d'un regard À contempler le ciel comme l'onde océane Et, dans cette échancrure où l'âme se distend, Verser le vain désir d'échapper au néant. Avant le crépuscule il est une heure, au soir, À l'appel de la
Lionel a mis le nez dehors ou : " Hors d’elle, la mine n’est le Lio ! "
Si « En mai fait ce qu’il plait » Il est bon de se rappeler qu’« En mars, le fond de l’air est parfois un peu garce ». Certes, aux rives du lac Léman comme ailleurs, le temps reste clément, maraud, mais il était un peu givré, le Yaunaile pour affronter la temp
La dangereuse métastase, qui, désormais,nous menace
Voici une lettre ouverte, vertueuse (mais non verte tueuse) à tous mes amis s’il m’en reste, peste. Elle est adressée à l’ami idéal (des Halles) et donc à tous mes amis qui ne manquent pas d’idéaux, et des hauts ! Ami poète, sale tête ! Ce qui vaut toujours mieux que « ami Barbu
... Tu te fais une norme d’une forme close, / Rose de rhétorique au pavois d’une glose ...
Je grimpe quatre à quatre au quatrain de mon art, L’écart en mon verset déversé au rencart ; Elle sonne au sonnet l’hémistiche ringarde, Je ne puis guère, ici, que rimer par mégarde. Poète, anachorète et valétudinaire, Tu pérores narquois
Un simple aller-retour d'un bout du couloir à l'autre, avec tanguage et roulis ...
L’ère est action et les réacs, à Sion ! Rien de tel que la promesse d’une bonne histoire de fesses pour voir chacun tendre l’oreille, voire l’oreiller… L’humaine nature n’est pas sans rature. L’œil égrillard aime à se griller sur les parties ch