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Clair- obscur // Deux mots liés dans un meme effort pour dessiner tout notre parcours dans les rues ouvertes de l'amour et de l'amitié. CMI Peinture Georges de la Tour Jeune fille au brasero
Marcel Carné (1906-1996), Une scène des " Enfants du Paradis ",1945
Au sommet du silence il est un aparté, Un discours inventé aux marges de l’absence, À peine plus qu’une ombre, indistincte clarté, Une sente tracée aux berges d’espérance. Oh certes, l’illusion, sans doute, en sait la trame Et je me berce encor de ce rêve niais : L
Comme les rennes aux bois enchevetrés nous luttions pour cette lueur au bout de nos impasses. La liberté gisait dans le souffle du reve. CMI Photographie Vincent Munier
L'absence Je frappe à l' huis de ton absence Porte close, froid et long silence Rue déserte, les papiers souillés Volent au vent des mots oubliés Les candélabres géants et érratiques Figés diffusent leur ombre squelettique Chargeant la nuit d'une lumière blafarde Me donnent froid, m'engourdissent La cité des rêves engloutis s'endort Au s
Peinture Askéli Kalléla Le silence s'étalait comme un lac enroulant nos marées intérieures dans un écrin de cristal. Retourne à l'origine du monde en toi chantait l'onde. CMI Le bouddha de Pors -Scaff
Nicolas Poussin (1594-1665), Morphée, Bassin du Château de Versailles
« Le sujet d’aujourd’hui ce sera : l’insomnie.Nous en avons traité, la semaine dernière,Je sais, plus d’un aspect. Eh bien, continuons !Il nous faut préciser, je le crois, ses contours. » Notre prof reprenait, en pérorant, son cours,Désabusé, tranquille. « Allo
" Parfois l'on aime et cet amour est sans geste, simplement, on aime ce visage bouleversant de présence, cette sensation d'etre au bord du plus pur en nous, d'un centre où les mots agrandissent ce qu'ils touchent" Hélene Dorion D'argile et de souffle Peinture Diedenkorn
Le sentier du bouddha de pierre désignait les caps à suivre , les entailles à effleurer du souffle de la rédemption.Tout pouvait etre sauvé dans le coeur du jour qui nous avait vu naitre. CMI Peinture Hans Vander kerkhov
Les confins de l'univers recevaient l'unique silence du tout amour . Nous en avons la preuve désormais .CMI Le bouddha de Pors-scaff Peinture Brasilier
Le monde était ailleurs. Si loin.Dans les cercles labyrinthiques des villes.Sous la main étonnée .CMI Peinture Alphonse Osbert
Les bracelets de l'enfance encordaient nos poignets fragiles . Comme une rivière souterraine en nos territoires. CMI Peinture Klimt
Les veilleurs de chair et de roches continuellement à nos cotés ruissellent de paix jusqu'à nos corps détissés.CMI Peinture Sorolla
Notre sillon amoureux a été creusé dans la plus extrême des solitudes. Du jardin du Luxembourg aux terres battues par la mer et le vent, l'amour pulsait dans le tissage serré des pierres .Nous étions le monde.CMI
Vais-je pouvoir converser avec celle que j'étais?Puiser dans les mémoires enroulées précieusement dans les méandres du passé de notre histoire.Dérouler les rouleaux de prières des amours usés , troublés . CMI Le bouddha de Pors -Scaff Peinture Manessier
... Allez dire la poésie / Cette vérité révélée, / Addiction à la liberté ! ...
Il faut lire la poésie. La respirer, la parler, la déclamerTout le temps, par tous les temps, De toute urgence ! Pour ne pas oublier qu’elle est là,Si douce, si proche, accessible,Offerte à nos mémoires, Première en chacune fibre,En chaque lice. Là où
... Là ma fratrie s’invente et s’invite en l’aurore ...
Là-bas, dans les estives va mon cœur mourant Échauffé dans la brise où danse l’herbe folle, Ma rocailleuse amour à mon verbe s’accole Mes strophes, vers les cieux, en vain, s’évaporant. Et je souffre au silence apaisé par les monts, Les vents ployant la terre à l’humeur
Le jour soulève sa peau de nuit. Le tambour luit. CMI Peinture de Paul KLEE
Chargé d’arias tel madone Le jour se lève un après-midi Travesti pour une nuit tombée D’on ne sait quelle étoile D’on ne sait quel demi-rêve D’un voyage sans retour Les lampes briquées se chargent De le cracher sur la grève À peine ses couleurs hissées Soupirant le bonheur plombé, Feint désir mourant, si tôt dit Si tôt défait
Renaissance Tu m'es apparu près d'un ruisseau Bel âtre, ange ou démon au corps nu Par un matin d'été, dans la rosée L'eau chantait, transparent cristal Le soleil s'étirait, venant de se lever Mes chaînes blessaient mes chevilles Endolories, j’étais cloîtrée par mon passé Comme paralysée sur ce petit pont Mes vertiges reprenaient, inc
Peer Kresel (né en 1979), Punktuelle disharmonie
Ca ne va pas bien fort, je pousse ma douleur,Demain, certes, parait un registre lointain ;L’instant me suffira s’il n’a nulle couleur,Comme ce gueux, ce rustre au bonheur incertain. Ne me demande pas de bâtir un projet,Je n’en ai plus l’envie, l’énergie ou le goût ;Des idoles du jour
... Mon père avait le goût de la fraternité ...
Mon père avait le goût de la fraternité, Il aimait s’accouder en la conversation, Saisissant une manche, hélant au loin l’ami ; Il disait « camarade » ignorant tout parti. Dans le travail des mains il trouvait son destin, Plaçait sa dignité dans un morceau de pain ; Nous reprenant toujo
Rêver du large Puis larguer les amarres Quitter sa terre
Ma plume chante Sur mon vélin je t'écris A l'encre des mots
Tes yeux de braise Le feu qui brûle en moi Insoutenable
Rose de papier Entre la peur et bonheur Tu froisses mon coeur
Ange du désir Ou le démon du plaisir Il te faut choisir
Mes mains s'égarent Un doux frisson dans tes reins T
Ange de grâce, je t'aimais tant et tant! De tes ailes sombres, tu me donnais l'elixir D'un amour sans fin, belle histoire d'amants Où tes bras m'entouraient de tant de désirs! Si séduisante, si femme tu fus pour moi! Si câline, si enivrante, belle effigie! Tu m'avais tout donné, j'étais ton roi, Ton amour, tes charmes, oui ma chérie!, Les y
La France et La Syrie, Roland Garros et Alep, toute la différence tient dans les mots " ramasseurs de balles". C'est pourquoi je n'aime pas les revers de Poutine, Erdogan et Bachar El Assad. À leur revers, il y a une petite tache rouge en trop. Une rosette, comme une triste décoration des légions du déshonneur. Et le sable se pose en vagues, i
... La déchéance gagne, infecte, à s’élargir, / Remugle qui s’envase où le courant l’exhorte ...
Hors du temps et des lieux va la mémoire morte,Fleuve en nous qui s'enfuit pour ne point ressurgir,Lugubre, accaparé du visage des morts,Remous à ressasser, sans fin, sous le versoir. Mais dans le soir venu nul ne saurait sursoir,Sous l‘
"C'est ce qu'il y a de plus difficile, ne rien faire. L 'angoisse vient, vous envahit, vous tient. Et il faut pourtant rester là, à s'occuper de pas grand chose, à feuilleter un livre d'images, tapoter le baromètre, faire un tour en voiture sans raison, se promener au bord de l'Epte ou des falaises, les mains dans les poches , en suivant du reg
Journée internationale des droits de l'enfant (Acrostiche)
Acrostiche " Journée internationale des droits de l'enfant " Adelton enfant des rues J e suis un gamin, un adolescent errant O rphelin, petit vagabond des favélas U n parmi tant d'autres, oublié des puissants R écoltant cartons et ferrailles pour survivre N e sachant pas qui je suis ,
... Comme blé sous le vent ondule en assonances, / Le verbe est, en ce lieu, aux rythmes de la phrase ...
Un poème ne naît jamais d’une pensée, Il est là tout entier, surgit de l’inconscient, Dès le premier moment, jailli du premier vers, Qui s’impose, soudain, impérieusement. Une voile, bientôt, se gonfle au gréement, Chaque rime ap
... Au pertuis perclus de ses fers, / Fermoir où moires désaltèrent ...
De rime pauvre en riche rime, Vers holorimes, simple écho, C’est sûr, césure à l’hémistiche, Histrionne le mirliton. Mais son humble mire lit-on, L’un bleu l’aime, cède et s’entiche Mystique sont alter aequo En ce distique tique et trime. Vers est son verbe a
... Que feras-tu, enfant, de ce qu’on fit de toi ...
Dans le quotidien une âme se construit,Et le petit enfant, entouré de paroles,De gestes et de soins grappille sa personneDe tout ce qui l’entoure, au jour, à petit bruit. De tout ce qu’on lui dit, de tout ce qu’on lui tait,Tout alentour de lui le monde, éclos, résonne ;À sa mesure,
Yes i spend my time, wandering, falling in pieces, drawing my destiny upon a glass of creepy alchemy No as a word for the unseen falling drops of illusion, beyond an idea that light off my weak fascination. Any words can help the morning dew to rise upon my bed, as it came to fall drops of rain, an alchemy of wakening sounds. More then a game, i mu
... Il faut aller, sans âme, enfler le bénéfice / D’un courtier sans honneur avide d’intérêts ...
Il n’est pas sur nos vies, de tendres équipages,Chaque jour vient un peu travestir le réel,Et l’on pousse, obstiné, le vague quotidien,Rien de mieux ne venant, jamais, nous transcender. Et l’on prend, en ce lieu d’impossible marées
Les lacs sont des mers sous le souffleur de feuilles festival de sons dans l'oreille Cmi
... Il faut aller, sans âme, enfler le bénéfice / D’un courtier sans honneur avide d’intérêts ...
Il n’est pas sur nos vies, de tendres équipages,Chaque jour vient un peu travestir le réel,Et l’on pousse, obstiné, le vague quotidien,Rien de mieux ne venant, jamais, nous transcender. Et l’on prend, en ce lieu d’impossible marées
Coquin plaisir Mes mains s'égarent Un frisson dans tes reins Ton regard coquin Mon visage près du tien Tes yeux de braise M'envoûtent en l'instant Ma respiration saccadée Deux cœurs aux abois Le tien qui s'affole Le mien qui s'envole Mes lèvres gourmandes Ta bouche amande Tes cheveux en bataille Je suis ton chevalier Ton écuyer du baiser Mon
Jean-Honoré Fragonard (1732-1806), L'inspiration, détail
Un peu partout, toujours, le poète griffonne,Il a de quoi écrire : un carnet à spirale,Au bout des feuilles, coins, qu’il rature à la hâte,Debout, le plus souvent, accoudé au hasard. Voyez-le donc passer, le flou dans son regard,Pâle, vague ou parfois, qui devient écarlate,Emport
Puisque tout devra se taire Quand les horloges régneront En prenant un dernier verre Avant de passer au salon Ce sera l’heure des liqueurs On parlera des problèmes En savourant notre bonheur Que ce soit toujours les mêmes Nos réponses font un fleuve Où s’est noyé le jour qui vient Les pauvres font ce qu’ils peuvent Mais sans y pouvoir j
À NOTER : les voyageurs sont de plus en plus tassés : leurs couleurs se mélangent. Toutes les bonnes raisons se poussent dans le métro, et débordent l’une sur l’autre. Être ainsi jetés du quai au hululement vers les portes en est-il pour autant un voyage à la valeur du bruit ? Ou bien n’est-ce qu’un rêve trouble comme dans le rouli
Honoré Daumier (1808-1879), Gens de justice
Septembre vient, paré de sa rousse mouture. Adieu l’été, l’éclat, le sourire et la fête ! Dans le temps du labeur, rentrons, courbant la tête, Nostalgiques des dons de la douce nature. Tantôt la tiède brise, à nos jeunes vigueurs Leste dans l’air léger, dansait devant l’aurore ; Nous pa
... Oyez, oyez, passants, voici mes broderies ...
Il est en ma boutique un vrai capharnaüm Un souk, un bric-à-brac et un sacré foutoir, De mes noires idées le parfait dépotoir, Un repoussoir sans nom où se perd mon barnum. Branlant échafaudage de rimes douteuses, Fatras amphigourique en vagues charabias, De mon âme retorse le galimatias Emp
... L’aîné mêla la mie, l’amas mit l’âme innée ...
( où l’homme aux faux nez ) Calaminée, la mine à l’ami l’a miné.Laminée, la momie, héla mille minets,L’aîné mêla la mie, l’amas mit l’âme innéeS’y mira, ranimé, l’ami mélaminé. Mais, salace, l’ami, mâle ami milanaisS’il sala, ses salades, las ! y mit l
... Un manque entre nous, une ornière, / Jamais comblée, toujours entière ...
1. Elle n’aimait pas ses prénoms, Ma mère. Elle piquait un fard Quand il fallait, serrant les dents, Les dire à quelque fonctionnaire. S’aimait-elle, d’ailleurs, ma mère ? Elle voulait, c’est évident, Autre chose que mon regard Ou mes tendresses, pauvres d
Je viens d'entendre à FIP que Trump vient d'être élu "président de tous les Américains". Trump, comme une trompe d'éléphant. Un éléphant, ça Trump énormément... Son nom prête à confusion. Trump, c'est le Napoléon de La Ferme des animaux d'Orwell. Un porc assoiffé de pouvoir. Peut-être que sur la façade du parlement américain des
Du Cap Blanc Nez saillant son nez vers l’autre Terre, Jusqu’au Cap Gris Nez pris par les vents glissants, Le paysage côtier se dessine en dentelles fières, En regard de l’Angleterre qui montre ses dents. L’Europe s’arrête-t’elle là en cet endroit borné ? La France a-t’elle son dernier mot à vivre en deçà D’une frontière aux
Utopie Suis je un autre, drôle de mystère Celui là, ou plutôt l'inconnu Venu de nulle part, se cherchant L'utopiste, le rêveur, le baladin Un peu musicien, voulant être N'étant point, n'étant pas, et pourtant Touche à tout, se brûle les mains Ecrivain pas tout à fait, le voudrais Poéte le souhaiterais, mais le serai je Une énigme dont
Te souviens-tu de ce concert, cet unique jour de festival Tous, tant et tant et plus, piaffant d’ouvrir ce bal Autant de chacun seul, dans la foule, bougeant les yeux Comme les pieds, pour y trouver un apte à paraître deux Pour tourner lentement en public dans un unique linceul. Qui que tu sois dans ce fatras : « Il n’est pas bon de rester s
POÉSIE : "SI TU N’ES PIERRE, MON AMOUR, SOIS LUNE» MAHMOUD DARWICH
"Si tu n’es pierre, mon amour, sois lune" Si tu n’es pluie, mon amour Sois arbre Rassasié de fertilité, Sois arbre Si tu n’es arbre mon amour Sois pierre Saturée d’humidité, Sois pierre Si tu n’es pierre mon amour Sois lune Dans le songe de l’aimée, Sois lune. [Ainsi parla une femme à son fils lors de son enterrement] Par Mahmoud
# Chakkar_Rouhou (auto-laudateur pour les non arabophones)... ou essai de "passe de mots", une espèce de passe d'armes, sans autre arme que les mots. De temps à autre, j'aime bien parler de moi, ce "moi" si haïssable pour certains, si peu pour moi, bien que parfois de rares fois, ce soit le cas.Je ne m'en excuserai pas, si cela vous ennuie, pass
... Et que restera-t-il des atroces souffrances, / D’un petit enfant mort d’avoir été battu ...
Le petit Nicolas venait d’avoir neuf ans.Il n’est guère commun d’avoir, en grand, son nomSur la page imprimée, en une du journal,En cet âge innocent où l’on joue d’un ballon, Aux gendarmes, aux voleurs ou aux soldats de plomb.Neuf ans
... Le guérir est un port au seuil de mes yeux clos ...
Comme une métaphore, en moi, la maladie Ronge mon corps meurtri du feu de la douleur ; Ce n’est plus l’âme seulement qui geint sa peine, Et je grince des dents pour duper ma misère. Le mal en moi s’arroge un droit, comme le lierre, Idée fixe de chair qui bat en chaque veine ; Il pro
Albert Hartweg, Appel de lumière, aquarelle (détail)
Un peu de moi offert au seuil du néant bleuEn ces parures d’ombre où nait la blonde aurore,Un peu d’éternité rêvée sous la lisièreOù l’horizon, chimère, inscrit son liseré. Je ne suis rien de plus que ce miserere,Cette plainte au déchant d’une informe prière,La vague liturgi
Once upon a time there was humanity, hiding in a room of darkness, howling to the side of a crowded Amity, breaking rules to face the weirdness. Is it freedom she feels? Is it time to spread the appeals? Men looking pictures of a gone world! Facing the hard bone of the ruling cyber-world Down the freemen, gaping some fancy ways, wandering over citi
Honoré Daumier (1808-1879), Oncle et neveu, détail
Dans l’avenue où là, venu, J’attendais au coin de la rue Ton pas menu ; Passent repus les parvenus Se pavanant à notre vue, Les m’as-tu-vu. Ils s’habillent pour la revue Ne passant pas inaperçus En pardessus. Et dans leur âme corrompue En vains calculs ils sont reclus, Toujours déç
Je tire un trait sur le soleil Pour que la nuit me veille Jours sans couleur Tout n'est que langueur Apporte-moi l'étincelle La seule qui m'éveille Donne-moi la lueur Avant que le soleil ne meurt...
Un blogueur et activiste durant les turbulences de 2010 ayant donné lieu à la destitution de l'ancien président tunisien, en l'occurrence le jeune # Slim_Amamou , a dit hier sur un plateau de tv, diverses petites choses au sujet de la future # CI_biométrique que personne parmi les présents sur ce plateau, n'a l'air d'avoir bien comprises, mêm
... À moi ! Comme l’on crie ... / ... Face au morne infini, dans la prison de l’âge ...
À moi le souvenir, à moi la gerbe ancienne, À moi, ton bon sourire et cette main pensive Dont tu couvrais ton front devant l’heure tardive, Inquiète, sans raison, pour la maison paisible ; À moi ces jours vécus, fêtes d’un cœur sensible, Où la
As i saw those fancy minds loosing talents, breaking comfy into madness, sank for a useless paradise alley from bar to park. As i hear the howling of the rebels hide in the subways, busted for a real life down the streets of a cracking city. As i follow death around the city to the dawn, banish intellect from the clues. Bored sickness of broken liv
La plage est désertée, sur #terchetlihoud, trône sur mât le drapeau tunisien que le vent léger peine à faire flotter; je suis seul ou presque, à le regarder.... Nabeul 28 septembre 2016.......et deux jours plus tard... Déluge sur ma plage et dans ma cour, il y a au moins un heureux; mon gazon qui revit... La mer, jusqu'à hier plutôt calme
As i hear your call, as it start to flow, just so mean to break the rules, Old friend. As i listen to your faded voice, as i remember some starry nights, just so mean, Old friend As i loose your name, as you start to greed, just to much to care, Old friend As i face my worries, as i wouldn't deliver any doubt, searching to comfy your sadness, Old f
Les faïences cuites au feu de nouveaux enfers S’invitent à nos bavardages familiaux le dimanche Les faims du monde m’échappent de plus en plus, Comme un plat brûlant saisi à pleines mains Dont le dernier cri pose à terre les fumets Et soudain le silence s’étire et puis se rompt Je ne sais pas comment pourquoi tout cela Je sais simpleme