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Fleurs de poètes

Poésies en tout genre, textes nostalgiques, mélancolie... Bienvenue à tous ! Communauté gérée par Paloma

Gérée par Paloma

Tags associés : poème, amour, coeur, mot, poésie, poète

111 blogs

1383 posts

21/07/2015

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Articles récents de cette communauté

Une dernière chance.

Une dernière chance.

Je ne conjure pas ce sort, J'ai décidé de t'attendre encore. Ou alors puis je te dire, Que je ne veux voir tout se finir. Il reste si peu de temps, Et le vent emporte tout sur son passage, Il fait souvent des ravages, Doit on longtemps encore rester sage, Et la peine disparait elle avec l'âge ? Si je te mens seulement, Disant qu'aucun sentiment,
Revenir en arrière...

Revenir en arrière...

Quelque chose s'est brisé, nous avons perdu cette infime partie de nous. Je te croyais le même que moi, mais aujourd'hui, je nous vois si différents. On pouvait rire de tout, à présent un petit rien te blesse et empêche nos rires... On s'aimait, à ne plus pouvoir se passer l'un de l'autre, maintenant, on passe des jours entiers sans se parle
Dis moi.

Dis moi.

Dis moi seulement, Quand pourrai je revenir, Quand pourrai je enfin te dire ? Que je m'en veux, je t'aime tellement. Quand pourrai je te retrouver ? Te serrer sans te mentir. Ne plus jamais partir. T'aimer de vérité.
Ma vie.

Ma vie.

Tous ces moments passés à vos côtes, Jamais je ne les regretterai, Mais je suis qui je suis, Je mènerai toujours ma seconde vie, Ne serait ce que quelques minutes quand j'ai le temps, Je met pause, j'imagine et je ressens, Tous ces petits mots que j'écris, Les nuages blancs et le ciel gris..
Les mots...

Les mots...

Les mots Les mots me rongent et me démangent Les mots me mangent dans mes songes. Les bons démons qui me dérangent Rongent mes os rongent mes mots. Je suis aux anges quand il pleut Et dans la fange quand je veux Roulé roulant dans la gadoue Dépliant mon tapis de boue La joie inondant mon abri Petit paradis pour la nuit
POSSESSION.

POSSESSION.

J'en ai envie. Je ne peux pas mentir. Tu détiens ce pouvoir immense sur moi. Mon corps et mon âme t'appartiennent. Pourtant, tes yeux glacés et mystérieux me font mal. Le moindre de tes regards me brûle. Je suis enfermés comme dans une prison de souffrance dont les murs se ressèrent, et la passion qui m'envahit m'asphixie. La nuit, je vois t
Les mots...

Les mots...

Les mots Les mots me rongent et me démangent Les mots me mangent dans mes songes. Les bons démons qui me dérangent Rongent mes os rongent mes mots. Je suis aux anges quand il pleut Et dans la fange quand je veux Roulé roulant dans la gadoue Dépliant mon tapis de boue La joie inondant mon abri Petit paradis pour la nuit
La leçon de peinture

La leçon de peinture

La leçon de peinture Immobile et figé comme une image sainte Le paysage est là posé comme une empreinte Pas un bruit pas un pas Ne trouble cet instant Le peintre à sa palette choisit des touches d’or Pour signifier le ciel l’en-haut le firmament Il prend un peu d’argent Pour le rendre aux étoiles Puis du blanc pour la nuit Car la nuit e
Les mots...

Les mots...

Les mots Les mots me rongent et me démangent Les mots me mangent dans mes songes. Les bons démons qui me dérangent Rongent mes os rongent mes mots. Je suis aux anges quand il pleut Et dans la fange quand je veux Roulé roulant dans la gadoue Dépliant mon tapis de boue La joie inondant mon abri Petit paradis pour la nuit
chanson Babel

chanson Babel

Schibboleth et boustrophédon Bab el Oued et Armageddon Clairement nous articulons Et forgeons notre alphabéton Schibboleth et boustrophédon Bab el Oued et Armageddon Clairement nous articulons Et forgeons notre alphabéton Schibboleth et boustrophédon Bab el Oued et Armageddon Clairement nous articulons Et forgeons notre alphabéton
Jardin de poèmes

Jardin de poèmes

TU ES... Tu es l'herbe sauvage d'un jardin oublié Aussi bien que merlette au milieu des pollens ; Tu es l'herbe oubliée d'un jardin disparu Loin des lois de la ville. Douceur d'herbe fragile en ce jardin secret ta chlorophylle virevolte parmi l'ache et le thym la menthe le cerfeuil la fleur du chèvrefeuille. Jardin Nous y sommes sculptures Mouva
Au revoir...

Au revoir...

Dois accepter de ne plus te voir ? Était ce un adieu ou un au revoir ? J'ai juste besoin de le savoir, Puis je encore te croire ? Si ton cœur s'éloigne du mien, Je le chercherai, même en vain, Je n'ai plus de raison, je m'éteint. Douleur, éternel chagrin... Si je pleure, va-t-on me juger ? Moi aussi je me suis trompée, Je suis maintenant pan
Heroes

Heroes

Proud, acting for a new age, Rude, drafting the loners for the need of sacrifice, Elusive never give the right answers, Obscure for the fall of the empire, there stand the Heroes born to die under the rules of the Father, heroes never lie, never fly, never change! Cruel, breaking the pride as innocence, Evasive hiding truth behind bars, Ambigous tr
À mon frère jumeau.

À mon frère jumeau.

Tout me ramène à toi. Chaque possibilité d'être heureuse, je la vis à tes côtés. Tu ne sais pas comment, mais tu as changé ma vie. Tu m'as fait découvrir une autre façon de penser. Voir l'espoir autour de moi, au lieu de ne regarder que la souffrance. J'ai écouté cette chanson, et cette fois j'ai vu de la magie.. il ne dit pas qu'il a f
Poèmes à Béatrice

Poèmes à Béatrice

AU SOLSTICE DE MES PENSÉES Ô mon ardente Béatrice Ton corps je le veux caresser Tel un feu de joie créatrice Sous mes doigts habiles pressés Ta gorge nue je sollicite L’embrasse avec mille délices Peau chair vallées éperons sites Chemins et rus pour mains complices Beaux tétons durcis qui bourgeonnent Ton nombril frémissant de joie Une
Douce souffrance.

Douce souffrance.

Je l'ai écouté. Sa voix était comme une caresse, légère et brûlante. Je voyais les mots se dessiner devant mes yeux. Mon cœur se serrait, et tous mes sens s'amplifiaient. J'avais envie que tout aille toujours plus vite. Et que ça dure à jamais. Ses mains qui couraient sur moi. Ses yeux qui brillaient. Ses questions me poussaient à cherche
Je suis folle.

Je suis folle.

Ils disaient, que je n'étais qu'une enfant, qu'il était normal que j'ai de l'imagination. Maintenant, ils disent que toutes les filles, sont plus émotives pendant l'adolescence. Mais que diront ils plus tard ? Ils comprendront que je suis folle. Ils comprendront que je suis folle, Que la seule chose qui me console, C'est de rêver. De nuage en n
Ne plus se voir...

Ne plus se voir...

Ne plus se voir, deux jours, Je ne peux pas dire "Tu vas me manquer", Ne plus se voir, deux semaines, Même si j'ai tellement envie de pleurer, Car même si le temps traîne, Il viendra bien un jour, Malgré toute ma peine, Ne plus se voir, toujours.
Nos yeux fermés.

Nos yeux fermés.

Mon corps ne répond plus, Ma raison s'est enfuie, Le vacarme s'est tu, Bientôt l'amour, aussi. Dans un océan de détresse, Les miettes de moi, Quand tes mots me blessent, Se dispersent et se noient. Quand tes bras voudront, À nouveau me serrer, A l'horizon ne resteront, Que nos yeux fermés..
Poésie L'espoir perdu par Rémi dit Pilatom

Poésie L'espoir perdu par Rémi dit Pilatom

Poésie L'espoir perdu Tu es ma Vénus, je te sais aguicheuse Je viens te chanter ma passion, ma joie Éphémère naïade, rose vêtue de soie Aux lignes élancées, à la peau laiteuse Ton visage à peine sorti de l'enfance N'est en fait qu'un adroit subterfuge Dont le temps n'a pas eu l'outrance D'altérer la beauté, Déesse, transfuge Rêve é
Disparu...

Disparu...

Ton ombre, chaque soir, Se glisse dans la nuit noir, Vient retrouver mon corps abandonné, Pour quelques heures, le réanimer. Je ne peux m'empêcher de te haïr, Comme toi, la nuit, de t'évanouïr, Me laissant brûler de ce désir, de te voir revenir, Me laissant mourir, de ces infimes souvenirs... Cherches tu à me fuir ? Tu as toujours marché
Le temps de te voir.

Le temps de te voir.

Le temps de te voir, Le temps de te croire, Et maintenant, Mon coeur se demande, Si quelques instants, Il se peut que je t'entende.
Rêve éveillé...

Rêve éveillé...

Je ne sais pas ce qu'il se passe quand je suis avec toi, Peut être, est ce l'union de nos voix, Cette harmonie, la façon dont se suivent nos pas. Toi et moi, aujourd'hui, je crois que ça n'a jamais été si parfait, Je vois dans tes yeux cette lumière magique briller, Je ne veux pas me réveiller, plus rien ne peut arrêter, Mon corps de danser
Ensemble - Jean Jacques Goldman

Ensemble - Jean Jacques Goldman

Hello World !! On se retrouve aujourd'hui pour notre première chanson : Ensemble de Jean Jacques Goldman. J'ai choisi celle-ci car je voulais commencer par quelque chose d'assez simple, pas trop long, et pas une traduction (la première devrait arrivée d'ici deux semaines..). Voici les paroles : Souviens-toi Etait-ce mai, novembre Ici ou là ? Et
Non...

Non...

J'ai envie de te dire que plus rien ne va. Je sais qu'il y a de plus grande peine, Mais chez moi le coeur atteint là, Toutes les limites qui le retiennent. Aussi longtemps que je serai seule je pleurerai, Me remémorant les étreintes effacées, Je me rappelle avoir été dans tes bras, Mais mon coeur ne se souvient peut être pas de toi.
Salutations, marques de respect, normales ou obséquieuses, de soumission, voire de servilité, en temps de guerre... ou en temps de fallacieuse paix et de trahisons vraies.

Salutations, marques de respect, normales ou obséquieuses, de soumission, voire de servilité, en temps de guerre... ou en temps de fallacieuse paix et de trahisons vraies.

Salutations, marques de respect, normales ou obséquieuses, de soumission, voire de servilité, en temps de guerre... ou en temps de fallacieuse paix et de trahisons vraies. A des époques, pas si lointaines, même les "Grands de ce Monde-là", grands vassaux, princes et ambassadeurs observaient bon gré malgré, l'étiquette qui voulait qu'au-deva
Colors

Colors

Blue for sharing the peaceful feeling of an endless revealing! Red who brings anger below an unforgiven betray from an old Grey! Green following the road, who crosses those falling Strode! Yellow as the golden bridge that reaches an unknown ridge! Just colors of life! Just a moment of fantasy before the strife. Purple as rich exotic flowers which c
Bonne fête Maman!

Bonne fête Maman!

Je voudrais te le dire une fois de plus, Les années passent, j'ai trop vécu depuis Tu étais la plus jolie en ces jours fleuris, Une rose souriante et si douce en surplus! Toujours douce, gentille, aimante, Bonne fête, maman, j'aimerais t'offrir Le plus doux des cadeaux sans ce soupir Qui me hante depuis tant d'années filantes! Les mamans en ce
Je dérange.

Je dérange.

Le visage pâle et les yeux rouges, Je marche sans regarder devant moi, Je ne vois même pas si je vous perd, De toute façon je sais que je dérange.. Je vis comme un zombie, Je suis le fantôme qui vous suit, Je suis là mais je ne parle pas, De toute façon je sais que je dérange..
Aeroplane

Aeroplane

Facing the unkown, it came to reach the sky, to conquer the space! Aeroplane I hear your fancy noise down under my pillow, anything as i try to sleep. Progress to face the unforgiven lives we lost. Just like a aeroplane ! flying so long, so proud to bring peace, to reach time for the men in customs. Wonderful is the crowd who believe in you, carry
Confusion

Confusion

Done loosely, boring feelings , watch the dawn! is it confusion? Is it me from you, society! Rush for mobility, burn out lives, turn on the light, watch the glory of the mad man! who drop the mask ? follow the beauty inside you! no confusion, turn on the light. What for how ? Let it flow, don't try to change people. Make it bright, it won't be fool
Destiny

Destiny

Is it mean to ask the same questions? As is it time to doubt about the past? As it is glad to hope for changes? Destiny won't ruine faiths? Before the wake, behind the wall, inside this house of pains, secrets are hide for eternity ! words can't change in the well of misery! is it destiny to broke every chance we had? No doubt in the simple mind! n
CNOSSOS

CNOSSOS

Sur ce site enchanteur, Minos rit de ses lois Dans l’entrave de mes pensées je t’aperçois Les invocations aux dauphins sont héroïques Sous les oliviers, tes chants crétois s’imbriquent. Ton regard ne peut éviter les fresques colorées Les pinacles au fond des salles se sont mêlés A l’orée de tes bains sensuels, tu t’es revivifié
Au bout de la nuit bleue...

Au bout de la nuit bleue...

J'aime quand le jour se lève Dans l'éclat de tes yeux J'aime l'attente qui s'achève Dans un soleil de feu Au bout de la nuit bleue Déjà ton sourire flamboie Et que dire de mieux Que tout cet émoi...
Prétention, quand tu nous tiens.

Prétention, quand tu nous tiens.

Prétention quand tu nous tiens...tu nous tiens bien. Dans l'un de mes précédents "posts" je vous ai déjà parlé de ma prétention d'avoir influé quelque peu sur la perception de la mixité dans l'Université d'un pays du Golfe... Aujourd'hui, j'en rajoute une couche, allez... s'agissant de #prétention, j'en ai encore plein, en réserve... En
Angoisse...

Angoisse...

Comme moi, Sens-tu le bouleversement de ton coeur ? Un amour qui le déborde de joie et de désirs Sentiments grandioses qui subliment nos vies Dis-moi que tu m'aimeras toujours aussi fort Le manque de toi Et ne pas entendre ta voix Me met parfois dans un drôle d'état Une angoisse qui me serre la gorge Un vide qui me mange l'intérieur L'impressi
Poésie "Ode à Madame" par Rémi dit Pilatom

Poésie "Ode à Madame" par Rémi dit Pilatom

Poésie Acrostiche Ode à madame P ourquoi madame je désire vous voir L a nuit tombe, le ciel d'encre est noir U ne folle pensée m'envahit, dans ce petit boudoir M adame je vous attends, ne saurai surseoir E st ce vous, ou une image dans ce miroir E t quel est ce bruit, ce grincement d'armoire, de tiroir N e vous faites pas trop désirer, cachée
Poésie "journée de printemps" par Rémi dit Pilatom

Poésie "journée de printemps" par Rémi dit Pilatom

Journée de Printemps Journée de printemps J'étais assis contemplant, d'argent l'étang Sur lequel se mirait rougeoyant le couchant J'avais le vague à l'âme en rêvant Ce qu'aurait dû être ce rendez vous galant Un couple de canards glissait doucement Sur l'onde calme, admonestant et surveillant La jeune progéniture qui suivait en piaillant L
Esméralda

Esméralda

Les yeux sombres, le regard de braise, oh Belle! Comme une gitane enflamée par ta guitare Belle Esméralda, esclave de mes pêchés, Belle! Tu m'enivres de ta longue chevelure noire. Le coeur de Cadix ne peut m'apaiser l'âme Malgré les nuits étoilées, toutes les mandolines Chantent leur mélodie suave de tendres gammes Les castagnettes cognant
Poésie "La plume en panne" (Pilatom)

Poésie "La plume en panne" (Pilatom)

Poésie La plume en panne Me voici à mon courroux en panne de plume J'en éprouve céans une profonde amertume Mes récits vont devenir bientôt posthumes Se perdre progressivement dans les brumes Mais qu'as-tu tu donc petite plume ? Naguère si légère, enivrante, un rhume ? Tu n'es pourtant point une vieille enclume ! Dois je te faire endosser
Poésie " L'inconscience"

Poésie " L'inconscience"

L' inconscience L'inconscience Ton absence me mène à la démence Comment puis je entendre ton silence Ne plus humer ton doux parfum, essence Subtile aux senteurs suaves et denses Je t'imagine encore, respire ton corps Je vais, je viens, j'attends un peu dehors La lune me parle, les étoiles sont en accord Tu vas revenir, silhouette furtive dans c
Citation "Le Guide "

Citation "Le Guide "

Citation Le guide Lève toi le matin le regard vers l'est Couche toi le soir les yeux vers l'ouest Suis ton guide eclairé
Un coin de bonheur...

Un coin de bonheur...

Ce(tte) œuvre est mise à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons Attribution - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modification 4.0 International.
Divagations du crépuscule autour du macaque que "je" suis.

Divagations du crépuscule autour du macaque que "je" suis.

Divagations du crépuscule... Macaque "je" suis et demeure, mais ce n'est pas la modestie qui m'étouffe pour autant... Divaguons, si vous voulez bien, sinon vaquez à autre chose... *********************************** Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau (et long) voyage et qui, fatigué de guerroyer, a fini par retourner à Ithaque, pour Pé
Fin de série : promotion en récession

Fin de série : promotion en récession

Flash en rafales dans les pupilles Trop de lumière nuit — Cris en crescendo dans les familles Trop d’accalmies ennuient — Quand j’ai acheté du jasmin en fleur Je ne savais rien de sa puissance Dans le jeu des odeurs domestiques, Toutes sont venues prêter allégeance À un fouillis de vert et de blanc. Sans doute, vrai parce que beau, La
Poésie "L'Eclipse "

Poésie "L'Eclipse "

Poésie l'Eclipse (en intégrale) L'Eclipse (version intégrale) Eclipse moment d'oubli Sans repères, noir désir en sommeil Ephémère, silencieuse embolie ​Terre orpheline du soleil Les arbres frémissants stoppent leur bruissement ​Règne désormais un mystérieux silence La pénombre s'invite, prend place doucement ​Les oiseaux se sont t
Micro poésie La Cascade

Micro poésie La Cascade

Micro poésie La cascade La cascade Te sourire et t'adorer jolie naïade Se baigner sous la cascade De tes envies s'enivrer alors Des délices de ton corps
Imagine un instant blanc

Imagine un instant blanc

Il y a de quoi faire. Las Vegas peut très vite changer. Imagine, imagine un instant Qu’on te donne un désert Et vas-y, bats les cartes Mais arrange-toi pour qu’au final il y ait de l’asphalte dans le sable blanc De quoi nourrir le GPS Vers une grande salle en couleurs vives Pour y battre des cartes bariolées Où aucune n’est blanche Il y
Sur les rives de Budapest.

Sur les rives de Budapest.

Sur les longues rives de Budapest, sous un soupir, Je repense à tes charmes sous un ciel étreint d'élixir Ton parlement étalé, s'élance d'aiguilles dentelées, Sous le regard attendri du Danube aux courbes élancées. Les palais entourés d'églises et d'arbres miraculés, S'évertuent à exister sous tes folklores dentelés, Buda et Pest, r
Les Charentes.

Les Charentes.

Le paysage tisse une grande toile La verdure dessine les bocages Les traits du peintre rayent le feuillage Ses tons se scindent en lumière astrale. Les vallées dessinent des courbes folles Les rivières traversent le coeur des forêts Les prés se dessinent en mailles fermées Les fontaines s'engorgent d'eaux folles. Les pâturages se vouent au p