Se tenir debout l'épaule contre le mur et rêver à l'art
Pascal Marchand
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Pascal Marchand
Ses blogs
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le blog de Pascal Marchand
Ce blog permet de lire des poèmes ; des maximes ; des haïkus ; des réflexions diverses ; des réflexions sur l’actualité (dont 5 ont été publiées dans Télérama) ; des textes humoristiques (dont 2 ont été publiés dans Fluide Glacial) ; des jeux de mots ; et une traduction des 862 premiers vers octosyllabiques rimés du roman « Erec et Enide » de Chrétien de Troyes.
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Articles :
811
Depuis :
09/03/2012
Categorie :
Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
Des cordages traînent sur la plage à marée basse sous un sombre ciel
Tu n’es pas un mirage à moi tu as souri avec moi tu glapis j’ai croisé ton visage la fleur dans ton corsage qui la vie m’adoucit me fait durcir le vit tu es belle à tout âge nos regards se confessent nous vivons la tendresse nous nous tenons la main nos corps en allégresse tu me touches les fesses je caresse tes seins
L'huile sur la toile posée de façon certaine fait l'autoportrait
Le monde est hostile à la poésie il faut s’isoler entrer en soi, s’y enfermer même se préoccuper de questions de vocabulaire, de grammaire, d’étymologie on peut se gratter la tête sans se faire mal il en sort des idées bonnes ou mauvaises des idées saugrenues quelques fois une rose peut jaillir de ces instants et le poète cueille alo
Comment composer un sonnet comment choisir la bonne rime choisir un thème en chanter l’hymne dresser un tableau de monnet comment écrire en bon français sans faire jamais de victime comment commettre un joli crime mêlant les mots avec succès comment les idées exploiter maintenir le rythme et la prise et s’exprimer avec franchise des méta
Je suis un bel homme autoportrait au crayon parce que c'est moi
Les fruits et les fleurs sur la table après la pousse la salle embellissent
Au pichet de lait belle odalisque couchée sur la chaise longue
Je sens que je pourrais voler dans les airs. tous les nuages seraient mes amis, tous les oiseaux danseraient avec moi au-dessus des villes et des campagnes. mon corps serait léger, libéré de l’adversité du monde. le bonheur habite où ne sont pas les hommes. je n’aurais pas d’ailes, mais les jours et les nuits passeraient sans tomber de s