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Un regard sur la sagesse du vivant au commencement, il n’y avait ni forme, ni temps, ni lieu ; seulement l’infini silencieux, le tout, qui rêvait le monde dans l’écrin de son propre mystère. puis, du sein de l’absolu, jaillit un premier frémissement : le souffle. un verbe sans mot, une vibration pure, un chant sans son… et ce souffle