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Communautés
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Des cris à l'écrit
Pour le plaisir des mots, cette communauté regroupe ceux qui écrivent et ceux qui lisent… Pour échanger, partager, critiquer, construire… Bienvenue aux auteurs quels qu’ils soient et aux lecteurs qui veulent rencontrer de nouveaux textes.
Gérée par Muriel Roland Darcourt
249 blogs
1243 posts
24/09/2015
Articles récents de cette communauté
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Il y a une voix, au fond de ma cervelle, qui me raconte les turpitudes de ma vie, elle parle sans cesse, elle m’interpelle sur les mauvais chemins que j’ai choisis. les souvenirs fuyants, elle les rattrape au vol, me les renvoient comme une psyché dans la lumière, a chaque instant je crois devenir folle noyée sous toutes ces vérités premi
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Jg 9, 8-15 l’apologie de yotam 8. un jour les arbres se mirent en chemin pour oindre un roi qui régnerait sur eux. ils dirent à l'olivier : «sois notre roi! » 9. l'olivier leur répondit : «faudra-t-il que je renonce à mon huile, qui rend honneur aux dieux et aux hommes, pour aller me balancer au-dessus des arbres?» 10. alors les arbres di
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Quand je vois sur tes joues, le rouge se montrer comme un pavot planté au cœur d’un champ de blé la fièvre te surprend et tu vacilles un peu devinant ton visage, doucement prendre feu. quand je sens dans mes veines ourdir un rodéo, le sang ne fait qu’un tour et me monte au cerveau, j’assaille de questions ma tête embarrassée, et mon c
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Narcisse et l’autre au n°35 de la rue des alouettes, vivait une jeune femme que l’on nommait narcisse puisque tout le monde la trouvait fort belle, à commencer par elle. narcisse était seule dans la vie, mais ce n’était pas pour lui déplaire. ainsi pouvait-elle consacrer tout son temps à contempler, inlassablement, dans un vaste miroir,
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Qu’est ce que vous êtes en train de faire ? je lis. et que lisez-vous ? un mot que j’ai trouvé dans mes affaires… et que dit-il ce mot ? ça je ne peux pas vous le dire. et pourquoi donc ? il me semble que ce serait déplacé… voyez-vous ça… oui, à l’égard de la personne qui l’a écrit. et ne trouvez-vous pas qu’il est plus dé
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Sous le faste éclatant de l’astre de lumière, je dormais dans les pluies de ses rayons inouïs, la chaleur écrasante avalait mes prières adressées tout là-haut à l’auguste infini. je cherchais un écho à la lueur intense qui dansait dans mon âme, jusqu’au fond de la nuit. la flamme de mon cœur se perdait dans les transes, appelant d
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Minuit sonne et je marche dans la neige. mes pas s’enfoncent dans la poudreuse. les flocons tombent et me recouvrent, je cherche mon chemin. dans mes mains, la lanterne. celle que tu m’as apportée pour noël. elle éclaire devant moi. en faisant danser chacun de mes pas de sa lueur fragile. de sa tendre lumière gracile elle ouvre la route dev
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Tatie miel, pourquoi tu dis que je suis grande ? parce que tu l’es. je ne suis pas tellement grande par rapport à toi. tu le seras bientôt en taille. dans ta tête tu l’es déjà. j’ai une grande tête c’est ça ? une tête de grande, ma grande. tu veux dire que ma tête est déjà grande et qu’elle ne va plus grossir? oui, tu as une gr
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La peinture n’est pas sèche, vous ne voyez donc pas que vous allez vous salir les doigts? il y a la trace de vos empreintes et moi, je n’en veux pas. a force de regarder la toile, vous allez vous brûler les yeux, ces éclats de lumière ne sont pas pour vous, ils sont à qui les regardent avec les maux du cœur. ceux qui implorent qu’on les
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Tuer la colère avant qu’elle ne me tue… tu es cette colère. tu hais ma colère ? alors ose te taire. tais-toi ! mes vertus mises à terre s’évertuent à ce que cette colère soit tue. austère, tais-toi, ou je te tuerais toi. muriel roland darcourt - la colère
muriel roland darcourt - la colère
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Quand ? quand ? quand ? …quoi ? quand ? quand ? dis-moi ! …te dire quoi ? quand ! … quand on pourra… maintenant ! maintenant c’est impossible, plus tard… plus tard c’est impossible ! …pourquoi ? parce que je n’en peux plus d’attendre, voilà ! … il faudra bien attendre pourtant… je ne veux pas ! attendre ! je ne supporte pas
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Dans les méandres torturés de mes souvenirs clos, une nuit où la lune était absente, je me suis réveillée en nage et en sursaut, absorbée par la rage de tout ce vide qui me hante. je vous ai appelé avec une telle vigueur, du fond de mes entrailles, pour que vous m’expliquiez ce rêve étrange, engendrant trop souvent des pleurs et la peur
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Vous traînez dans nos rues vos masques d’infortune, l’indifférence acide a rongé votre peau, vos désirs sont des luttes et vos cris nos fardeaux, gens blessés que l’angoisse a gorgés de rancune. hier vous aviez tout, on vous ouvrait la porte, vos maisons étaient pleines à crouler sous les biens, les yeux clos sur l’effroi de ceux-l
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Réchauffe-moi ! de ton corps, de ton âme, de tes mains. réchauffe-moi ! dans le froid de ces jours incertains. de ta lumière si forte, qui m’escorte, que je vois dans le lointain. de cette flamme même morte, qui m’étreint. réchauffe-moi ! sous l’averse infernale qui transperce de ces gicles le peu de moi qu’il reste. de cet amour cé
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Quand j’aurai déversé tout mon comptant de larmes, que mes blessures cachées se confondront en drames, je marcherai brisée, dans les rues de la ville sans savoir où aller, à errer inutile. je trouverai un toit sous le pont des amours qui me rappellera toi, nos rêves et nos bravoures, dans le froid de la nuit où la lune s’est perdue, en
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J’ai un nouvel ami. il s’appelle donis. je vais bien. il va bien. tout va bien. a présent tout le monde peut s’endormir content, je suis enfin une affaire classée. la solitude pose problème. lorsqu’il s’agit d’une femme, elle suscite immédiatement un questionnement. tout dépend de l’âge. il est rare de demander à une dame de qu
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Alors peut-être je veux te voir mais tu ne te montres pas. je veux te parler mais tu ne viens pas. a chaque détour du chemin, je guette, ta silhouette, au loin. ce n’est jamais toi. a quoi ressemble l’amour si ce n’est à cela. attendre que l’autre se dévoile, avec le cœur qui bât, demander aux étoiles pourquoi elle n’est pas là. p
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Ah te voilà. cela fait un moment que je t’attends. huit cent ans pour être précis. tu m’avais dit que tu viendrais par ici, voir ce que je suis devenu, depuis tout ce temps. tu te souviens ? quand j’étais haut et fort. que je gardais le château fort. toutes ces guerres, que l’on a fait naguère ensemble, le sol qui tremble sous le pas
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- je n’ai rien à me reprocher. - tu parles, depuis que tu es toute petite tu ne fais que des conneries ! - cette fois ce n’est pas moi. - ce n’est pas toi qui as jeté le broc d’eau sur ta sœur ? - si, mais elle l’avait mérité. - l’eau peut-être, mais le broc ? - il m’a échappé des mains. - il y a beaucoup de choses qui t’éc
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Si tu te décidais à te montrer enfin, que je sente ton regard posé sur moi soudain sans même baisser les yeux, je te regarderais. mes joues s’empourpreront de te savoir ici, d’émotion, de peur de te déplaire, d’envie de te serrer contre moi mais je n’oserais pas. j’attendrais que ta main veuille bien prendre la mienne pour m’entra
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Il y avait, avant, une petite montagne. enfin petite, tout dépendait de l’âge qu’on avait quand on était devant. une montagne issue de nulle part, incongrue, au beau milieu d’un bois sombre. je ne savais même pas qu’elle existait et pourtant je passais devant assez souvent, mais pour la trouver il fallait s’enfoncer parmi les arbres s
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Luc 10, 25 – 37la parabole du bon samaritain 25. et voici qu'un légiste se leva, et lui dit pour l'éprouver : « maître, que dois-je faire pour avoir en héritage la vie éternelle ? »26. il lui dit : « dans la loi, qu'y a-t-il d'écrit ? comment lis-tu ? »27. celui-ci répondit : « tu aimeras le seigneur, ton dieu, de tout ton cœur, de t
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Remonter à la source et découvrir une eau si pure, dans laquelle un enfant a versé quelques larmes, pleurs de peine et pleurs de joie, débordant de cette insouciance qui n’en était pas. goûter l’eau à la saveur intacte, vitale pour le corps et l’esprit, dépourvue de l’adulte à qui on a tout pris, sauf les secrets bien gardés qui n
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Quelques mots échangés sur une page colorée par les phrases, les images. un visage oublié que l’on a reconnu, un nom qui nous rappelle un temps perdu, du fond des âges. que se dire après si longtemps, quel est donc ton présent. je connaissais vaguement celui d’hier, tu avais l’air, es-tu devenu. as-tu fais ce tu as voulu. un simple sal
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Je suis indignée de voir que le monde crève. sur cette planète bleue qui a tant à nous donner. je suis indignée de voir avec quelle désinvolture nous allons la pulvériser, si l’humain en nous ne se réveille pas, ne se regarde pas et ne s’entend pas.l’homme a besoin pour exister de rêves, d’espoir, d’amour et d’idéal, il a auss
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La mélancolie des pierres -théâtre- la mélancolie des pierres, l’histoire après quelques années d’exil, willa est de retour dans la grande maison familiale. un malheur est survenu, elle vient de perdre tous les membres de sa famille. mais cette famille, même morte, continue de prendre une telle place dans la pensée de willa, que celle-c
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Je marche dans la vie avec un masque de colère, ma seule arme est le fil de ma propre pensée, devant mes idéaux clôturés de barrières ma conscience s’éveille, prête à se révolter. je suis née bon soldat dans un monde impossible, et le triste constat de mes rêves abîmés soulève mon esprit face à l’inadmissible, le poussant à com
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Présentation "autoportraits d'un sursis" vidéo de présentation du roman "autoportraits d'un sursis" - muriel roland darcourt - 2004 muriel roland darcourt "voici mon roman. il devait culminer à deux cent quatre vingt pages, pour faire sérieux. il en a cinquante neuf, c’est mieux que vain. l’histoire. ben c’est toujours pareil, la mort, l
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Il déboule un matin, ou un soir. sans crier gare. il débarque avec ses valises, sur un quai où personne ne l’attend. il demande son chemin, bouscule des inconnus sans le faire exprès, sourit ou détourne la tête. il s’arrête au beau milieu du passage, défait ses bagages. a l’intérieur de ses valises il y a des tas de choses inutiles.
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Il était une fois, un amour. toutes les histoires commencent comme ça. la mienne en particulier.comme la plupart des enfants, je n’ai pas décidé de venir au monde. on a choisi pour moi. par contre, à la différence de certains, j’ai voulu y rester dans ce monde, prendre une place, tenir bon et tracer mon sillon au travers de l’histoire,
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Elle est partie. avec sa joconde sous le bras. a l’abri de tous. les regards. certains n’y croyaient pas, d’autres ne voulaient pas. la voir. savoir qu’elle existait, qui elle était. elle est partie sous les cris de colères, d’insultes. elle n’en avait pas rien à faire mais il y avait sa joconde et puis elle aussi. las, elle en avait
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Que les rires s’en mêlent et la faille se créée ils délient l’âme rebelle tuent les silences cachés le vitrail se fissure emportant les stigmates d’inutiles brisures celles de pleurs écarlates ils sortent de l’écrin brillants de mille éclats éclairant le chemin d’un nouvel apparat dévalant en cascade forçant la citadelle l’e
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Il y a des choses qui ne font pas de bruit en tombant, même quand elles sont très lourdes. ce silence-là est très pesant et il remplit l’espace dans une cacophonie sourde en résonnant à travers le temps, éclaboussant nos tympans de phrases en suspens, de nos rires que l’on retient, de nos pensées qui errent en vain à la recherche de mo
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Je venais de terminer un texte, pas le plus beau qui soit mais tout de même j’étais contente de moi. je disais des choses d’une manière simple, pour une fois, et ces mots étaient adressés à quelqu’un qui m’est cher, pour lui plaire, et étaient censés lui faire du bien. je l’ai posté comme on envoie une lettre, dans l’écrin de
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Je ne crois pas, mais je sais. les sphantes n’existent pas. c’est une conversation que j’ai tenue avec des hommes qui eux non plus n’existent pas. un jour. dans les méandres de mon esprit. alanguie sur mon lit dans la chaleur de l’été, la fenêtre ouverte et l’âme en alerte face à la conscience du monde. ce n’était que la mienne
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J’ouvre une fenêtre sur un monde et je te tends la main tu bascules en une seconde dans les élans de mon fusain quelques tâches de peinture çà et là disposées au milieu des coulures d’un blanc-gris argenté je mélange les supports les matières les formats que tu trouves sans rapport avec ce que tu connais déjà je m’expose sur les m
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Ma p’tite tu sais que je te vois que je t’entends parler, que j’accueille tes pensées quand elles arrivent à moi je les recueille sans les happer elles entrent et puis voilà sans que je cherche à les voler je les reçois tu me les as confiées mais rassure-toi je ne te surveille pas je t’invite seulement à supposer que je suis là a te
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J’entends çà et là, à la radio, à la télévision, dans les journaux, sur internet, partout en fait, que des élections en france, petite province du monde, se prépareraient dans le plus grand secret. chut. nous n’entendons rien. nous ne savons pas qui, pas quoi et surtout pourquoi. hier encore j’allumais la télévision pour me diverti
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Dans le feu consumant qui ravageait la toile, par cette nuit austère faisant taire les étoiles, au gré des pages qui défilaient sous mes yeux, une image prodigieuse s’est élevée des cieux, bourgeonnant haletante au milieu de la flore, la nébulosité abrupte révélant le trésor, déployant du fond de ces ténèbres sans lune, une esquisse
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Étonne-moi. prend-moi la main, et emmène-moi. partons sur les chemins, et au travers des plaines, où l’ennui ne nous trouvera pas. oublions notre chagrin, qu’il ne soit plus qu’une plaie lointaine, qu’il s’éteigne et ne nous astreigne pas. que nos songes longent ces voies qui feront taire enfin le désarroi. laissons nos ruines sous l
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Je suis venu pour le miracle il paraît que vous faîtes ça ici vous seriez une sorte d’oracle que l’on consulte à l’infini dés qu’on rencontre un obstacle ou pour résoudre quelques soucis voilà je suis là car j’ai un gros problème du genre pas facile à raconter quoique vous devez connaître le système pour voir en moi sans que j
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Une page se tourne. recommencer. a l’abreuver de mots. de mots qui jaillissent puis soudain se tarissent. de mots qui n’ont plus que le sens qu’on leur donne quand on ne sait plus dans quel sens aller. s’angoisser devant cette page, ne plus être sûre de vouloir inventer, ne plus savoir comment raconter. ne plus vouloir dire la même chose
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Un, deux, trois notes s’élèvent dans des airs inconnus, au-delà. et le son continu entre en moi. un frisson. bouger la tête pour tenter de reconnaitre, un ton, une mesure, pour être au diapason. prendre le rythme en soi, le capturer, l’avaler. ouvrir les mains pour le souffler. inspirer. souriez, je m’inquiète de ne pas trouver les pas,
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Errer au cœur des vieux chemins parmi les arbres centenaires, à la recherche d’un signe venu d’un autre millénaire, et retrouver parmi la mousse et la verdure, frangées de nouvelles pousses ourdies par la nature, quelques pierres, çà et là, sur lesquelles on s’assoit pour se poser un instant dans le temps qui défile, fragile fragment
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...enfin, un jour, je retournerai voir la mer pour plonger mon cœur et mon corps dans les lames, y déverser des larmes salées sur l’infâme infini de larges sanglots où je me perds. je lui demanderai les causes et les raisons de ces supplices amers dans lesquels je me noie. quand dans les flots des suppliques elle m’écoutera je trouverai l
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La caresse de ta voix, de tes sourires, celles de tes mains, dans lesquelles je me noie, chaque fois et sans fin, me font perdre le fil de mes pensées rationnelles, et je file vers d'absolus soupirs existentiels a la recherche de toi, au milieu des errances, de ton cou qui m'appelle et qui me met en transe. lorsque tout doucement, à l'intérieur
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La normalité mes bien chers lecteurs, je vais vous quitter. plus de textes, plus de pensées. j’arrête de chercher des mots, de fabriquer et de dire. je n’ai plus le droit d’écrire. enfin si. si, je peux encore écrire, mais selon vos normes à vous. en silence, dans le calme, sans extase ni envie, sans cris et sans soupirs, sans les parad
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Il y a, dans l’air, des petites phrases qui circulent, qui se mélangent, déambulent, se mettent en place et me racontent des choses. il y a ces mots qui entrent en moi de manière palpable, que je prends, triture, en leur donnant un sens derrière mes paupières closes. il y a des syllabes qui résonnent, qui tonnent, qui me parlent, même derr
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Des amis, j’en ai pas. comme tout le monde. pourtant j’aime les gens, surtout quand ils sont loin et qu’ils n’ont pas besoin de moi. ou envie. parce que les amis, souvent, ça fait croire que ça vous aime bien, qu’on est juste copain, et dés que le vôtre a tourné la tête ils tentent de vous sauter dessus. pourtant vous lui aviez tout
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Il arrivait toujours enguirlandé de filles, jolies pour la plupart. il se déclarait peintre. il en avait l’allure. les nuits durant, de taverne en taverne, il expliquait sa démarche, son idée de la peinture, il récitait sa révolution, cherchait ses modèles, alimentait par quelques phrases alambiquées sa conception de l’oeuvre en vomissa
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Le désespoir, on le ressent tous un beau jour, enfin beau. il arrive sans crier gare, il assaille les entrailles, commet des tempêtes ineptes dans la tête, des rancœurs dans le cœur, des désaccords dans le corps, des blâmes à l’âme, et l’esprit est meurtri. bien sûr il y a des causes, quelqu’un, quelque chose. le monde entier extér
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Au bout de combien de temps tu l’emplâtres la nature ? trois années je crois, le temps de voir défiler les saisons, d’être surpris par les tons changeant qu’elle propose, mais après l’émerveillement passé, lorsqu’on s’attend à revoir ce qu’on a déjà vu, et surtout encore après quand on a déjà vu et revu… tu l’emplâtr
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Un jour, en pleine lumière, dans un moment d’hébétude extraordinaire, de foi profonde, de volonté d’aimer les hommes, de leur faire comprendre qu’ils n’étaient pas toujours justes, que le monde tout entier était injuste et qu’il prenait la mauvaise voie, j’ai décidé, d’un commun accord avec moi-même, et sous la bienfaisance d
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Tout d’abord c’est une image un peu floue. un détail. quelque chose qui n’a pas vraiment d’importance sur l’instant. pourtant c’est le début de l’histoire. le point central vers lequel convergent tous les questionnements. la réponse en quelques sortes. les souvenirs ne remontent pas encore jusque là. il y a d’abord cette chaire
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Marcher dans un long couloir sombre, où les portes alignées sont toutes fermées, d’un côté comme de l’autre, aucune ouverture sur le monde, les embrasures semblent scellées. a chaque extrémité de ce couloir, une porte aussi, close aussi. mais ce qui se devine derrière paraît brûlant, tout comme l’enfer qui nous attend. ces portes-l
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Si je vous disais tout le bienfait de vos lettres. a les écrire et à les recevoir, du fin fond de ma tourmente. si je vous disais tout ce qu’elles ont fait naître, à l’esprit, aux écrits, à l’espoir cherchant dans l’infini ces choses qui nous hantent. en cueillant dans vos pages, vos images et vos doux mots, la nuit, je recherchais vo
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Les rayonnages du tourment je fais les courses mais je ne prends pas de caddie. de toute façon je ne pourrais pas le remplir. un sac suffit, pour la semaine, pas pour mon frigo, ni pour ma famille mais pour mon portefeuille c’est essentiel, de ne pas le démunir. manger à sa faim c’est encore possible, une soupe avant, du pain, une soupe apr
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Dans le vaste théâtre politique, au sein de la cacophonie hérétique qui bouleverse ce nouveau monde que la finance déjantée inonde de cet argent factice qui porte à l’ensemble des valeurs un véritable préjudice, le berceau de la culture européenne se meurt. son peuple, qui nous a apprit la démocratie, se demande à quel prix l’union
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Recherche stagiaire non rémunéré(e) j’ai viré quelqu’un. j’ai le pouvoir de le faire alors je l’ai fait. ça fait du bien. le pouvoir à quoi ça sert sinon à ça ? j’ai dit à johanna: je ne vais pas pouvoir te garder tu comprends, elle a dit oui. elle comprend. ça a évité des tas d’explications. j’ai voulu en donner quand-m
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Le récit de la création genèse 1, 1-31 1. au commencement, dieu créa le ciel et la terre. 2. or la terre était vide et vague, les ténèbres couvraient l'abîme, un vent de dieu tournoyait sur les eaux. 3. dieu dit : que la lumière soit et la lumière fut. 4. dieu vit que la lumière était bonne, et dieu sépara la lumière et les ténèbres