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Philippe Mangion
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Philippe Mangion
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Romans, nouvelles, poésie, articles. Le blog de Philippe Mangion.
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Articles :
91
Depuis :
11/01/2014
Categorie :
Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
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Dès sa jeunesse, lorsqu’elle se rendait à Paris depuis sa Haute-Marne natale, jusqu’à la fin de sa vie où elle sillonnait la France pour des conférences anarchistes, Louise a vécu au moins une révolution, celle des moyens de transport au XIXe. En 1851, elle se rend à Lagny-sur-Marne chez sa tante Catherine, puis s’installe pour quelqu
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Louise Michel / Gustave Courbet Je lis dans la Commune (Louise Michel, éditions Stock, 1898) cette phrase qui attire mon attention : « Après la victoire de l’ordre [en juin 1871, donc], l’épouvante était si grande que la ville natale de Courbet, Ornans, par décision du Conseil Municipal fit enlever la statue du pêcheur de la Loire. » Il
![[Sortie roman] : Victor Duval est innocent](https://image.over-blog.com/r1pX63HGZQtgoDZMBZ1L3MX24rs=/400x400/smart/filters:no_upscale()/image%2F0888338%2F20230922%2Fob_3e9a77_couv.jpg)
Victor découvre, recroquevillée devant sa porte, une jeune fille dans un état de somnolence dont elle ne parvient pas à émerger. Il la transporte sur le canapé de son salon, d’où il peut la surveiller tout en travaillant. Plus tard, estimant qu’elle n’est plus en danger, il la laisse dormir ainsi et se retire dans sa chambre. Le lendem
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Louise Michel : la famille, épisode 2. La branche maternelle
À ses 20 ans, Louise est sommée de porter le nom de sa mère, Michel, après la disparition de sa proche famille paternelle (1). Les Demahis, père, grand-père, grand-mère, tante, meurent tous en quelques années. De cette branche, bourgeoise, il lui restera un demi-frère, une demi-sœur et un cousin Jules, qu’elle fréquentera de loin en lo
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La généalogie a cet avantage sur l’archéologie et la paléontologie qu’en creusant, on finit obligatoirement par tomber sur quelques découvertes, souvent anecdotiques, parfois intéressantes pour l’histoire. Une étude génomique de 2013 (1) a montré que, pour deux européens pris au hasard, on trouve obligatoirement des ancêtres commun
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LOUISE MICHEL QUELQUES MOIS AVANT SA MORT : « « MA TÂCHE N’EST PAS FINIE »
J’ai retrouvé dans les archives du Petit Champenois, journal Haut-Marnais, cette interview de Louise Michel. On est en juin 1904, quelques mois avant sa mort. À 74 ans, elle vient d’échapper une première fois à une bronchite qui a failli la tuer (photo). Malgré tout, elle poursuit son cycle de conférences, ici à Chaumont, dans son pays
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Le cahier Laujorrois : un témoignage inédit sur la jeunesse de Louise Michel
Il y a quelques semaines, Claudine Bourcelot, présidente de l’indispensable Association Louise Michel de Vroncourt-la-Côte ( http://asso.louise.michel.free.fr/ ), m’a fait le joli cadeau de me confier la transcription d’un témoignage manuscrit rédigé par un ami de la famille paternelle de Louise. Une mystérieuse madame Ligner de Liffol-
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Au début de la deuxième vague, Colette Bacro, mon amie de trente ans (et même plus) qui habite Malesherbes, dans le Loiret, me téléphone : « Monique Riguet, une amie de l’atelier d’écriture, a retrouvé dans son grenier les éditions originales d’un feuilleton de Louise Michel, ça t’intéresse de les consulter ? » C’était une p
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Années 1860 : remarquables écoles professionnelles pour filles
J’ai parlé ici des cours de la rue de Hautefeuille que Louise Michel fréquenta assidûment avant la Commune, dans les années 1860, et de l’école professionnelle pour filles de la rue Thévenot (aujourd’hui rue Réaumur) où elle enseigna dès sa création. La pionnière de l’enseignement professionnel pour les femmes fut Elisa Lemonnier
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J’habite faubourg Saint-Denis, Paris Xe, et même dans le kilomètre maximum imposé par le confinement, au cours de mes promenades je vois les traces de Louise partout. Au tournant des années 1860, avant de s’installer derrière Montmartre en 1865, c’était ici son quartier. Ma journée de télétravail est terminée. Je valide mon attestat