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pascal doyelle

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instants philosophie

Le sujet et l'ontologie. Histoire de la philosophie. Psychanalyse Littérature.
pascal doyelle pascal doyelle
Articles : 1550
Depuis : 12/03/2006
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

Faiblesse de la volonté

Certes nous percevons via les signifiants, les signes ; mais on a vu ou dit qu’il était impensable que les signifiants (typiquement l'explication de notre être qui serait produit par le langage) impensable qu’ils puissent créer “la conscience” ; et que ce serait donc l’inverse ; c’est parce qu’il s’impose le fait absolument majeu

L’architecture du possible

On tente de se saisir ou de saisir quelque réalité entre nos mains (ou par notre esprit), mais comme notre être est un rapport (au choix l’arc de conscience, le signifiant, le mouvement qui emporte toutes choses et tous les êtres et la réalité même), en conclusion de quoi on ne saisit rien. pareillement lors du tomber-amoureux on se perço

L'attirance (le temps réel)

Il n’est aucun moyen d'expliquer la réalité, sinon de partir du futur, de “ce qui sera”. et “ce qui sera” est lui-même explicité par “ce qui est possible”. étant entendu que le “possible” n’est pas simple imagination (qui ne fait que reconstituer certains datas) mais est en tant que “possible” la catégorie qu’elle so

La perte et le possible

Puisqu'il fut désormais possible que chacun ait un “moi” (descartes invente, crée, mais surtout évidemment expose le je, le sujet, le sujet que quantité d’autres expérimentaient déjà mais que lui dénomme, pointe du doigt, en disant “le voici”, “voici l’homme”, à la suite quoi, de qui pascal blaise put qualifier le je de ren

Prisonnier du désir

Il est pris dans le désir, le pauvre moi. c’est sa structure même. il ne peut pas y échapper. aussi, le système généralisé de l’industrialisation s’en fait les choux gras. puisque des objets de désir l'industrie est faite pour en produire en quantité astronomique. et il n’y a pas moyen d’y échapper. le moi se noue à, en et pour

De la révélation

Pour résumer, l’empire, qu’il soit d’église ou de pouvoir, veut convaincre de la honte accusatoire ou de la satisfaction assurée (comme une assurance sur les risques) ; en quoi l’empire se trompe (et c’est pour cela aussi que les deux s’allient, si naturellement, d’un même intérêt, un intérêt de ce monde, tandis que dieu, la p

Certitude de la détresse

Bref. a contrario, le possible constant se situe sur et par le bord de tout ce qui est (selon l’être) et lequel bord est non pas l’être, mais l’exister (soit le présent) ; l’illustration que l’on peut donner de ce bord, c’est le bout. le bout de la vie, soit donc le christique (qui nous perçoit à partir du bout du bout, pour ainsi

La création du champ (par lui-même)

On peut bien chercher l’origine humaine de telle ou telle disposition, naturelle ou culturelle ou langagière donc (plus généralement de l'utilisation de signes, qui se retrouvent effectivement un peu chez telle ou telle espèce), mais rien qui puisse nous permettre de comprendre l'effet absolu d’un décalage complet, tel qu’il s’impose e

Architecture innombrable

Ça n’est pas pour rien que kant délimite une zone “encore plus réelle” qu’il nomme le nouménal ; le nouménal du sujet ou des choses ; la chose en soi, le sujet en lui-même. c’est que tout le reste apparaît, apparaît dans et en tant que monde, en tant que phénoménalité ; en tant que ce qui peut être signifié. le nouménal, non

Le bord du mouvement

Si la vérité était constituée d’idées, de computations pour ainsi dire, il suffirait d'agencer les notions, en des systèmes. mais ce qui est en jeu c’est la position du sujet. là où il est. or ceci ne peut s’accomplir, ne peut s’accomplir si le sujet est déjà défini, par quelque qualité ou mieux quelque qualification ; ainsi de