Si le réel est la réalisation de tout le possible, et ce via la notion, le concept de rapport, alors l’universalisation est elle-même non pas le copié-collé, comme connaissance hypothétique d’un ordre en-soi ou précédant, mais est la connaissance que l’on tire de la réalisation de choses et d’êtres qui s’éprouvent ou se réalis
pascal doyelle
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Le sujet et l'ontologie. Histoire de la philosophie. Psychanalyse Littérature.
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Littérature, BD & Poésie
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Et d’un autre point de vue ; l'actualisation de et par l’arc de conscience est conséquemment l’infinitisation du donné, du monde donné, là, comme détermination ; de même que la pensée, les idées, l’universalisation portent au plus loin la détermination (dans toutes ses universalisations possibles, tout comme les mathématiques, se
Ce qui fonctionne comme univers c'est ce qui se réalise en actualisant l'ensemble de tous les rapports possibles ; ne tiennent sur le temps, que ceux relevant d’une organisation ; l'organisé est ce qui dure, et ce qui dure est organisé ; c’est pour cela que le désordre s’efface, au profit de la réalité stabilisée ; qu’il y ait infini
Ce qui lance la réalité, qu’il y ait une réalité, que “la réalité soit”, c’est donc le possible ; tout ce qui est possible existe. évidemment le possible n’est pas l’imaginé (la licorne est non réelle puisque de toute manière c’est un cheval avec une corne, et autres attributs). le possible cherche donc, en tant que réalit
(à l'usage des mécréants) le péché originel c'est un défaut de structure ; nous sommes limités et donc nous "fautons", on ne peut pas ne pas fauter ; le christ vient réparer la limitation en nous apprenant que ce ne sont pas les actes (toujours erronés) qui comptent mais l'intention ; l'intention avant les actes. puisque la finalité de to
Ce que l’on ne saisit pas, c’est ce par quoi on saisit. ce par quoi l’on saisit ne peut pas être, se transposer, se déborder dans ce qui est saisi ; il est toujours en retrait. ainsi ce par quoi l’on saisit ne peut pas être “la pensée” qui voudrait se tenir elle-même dans ses bras ou par ses mains ; la pensée est ce qui est saisi,
Ainsi il existerait une telle quantité, infinie, d'énergie qui se lancerait en tant qu'univers, et tout l'ensemble finirait dans le rien, le presque néant que l'on y prévoit, apparemment, l'étirement indéfini de l'espace-temps (jusqu'à ce que l'espace-temps se déchirent). une sorte de gaspillage non pas seulement absurde, ce qui serait enco
(rimbaud) la technique consiste très simplement à supposer une théorie qui permette de saisir la plus grande amplitude possible, sans pour cela renier la compréhension, la raison, la logique, la pensée qui sait ce qu’elle dit (ou à peu près). c’est pour cela que l’on prend les points les plus éloignés ; dieu, la pensée (l’être, l
Le processus d’universalité c’est pour cela que l’on pense, que l’on décide, que l’on désire (cad intentionnalise) ; afin s’introduire le futur, au sens non de l’avenir mais de l’à-venir, non du monde tel qu’il sera mais du monde-possible. le “monde possible” oriente intégralement toute la capacité, toutes les détermian
On a donc identifié la verticalité ; depuis 3000 ou 3500 ans (un repère très approximatif) est identifié le réel tel quel, le réel indépendamment de toute réalité. on aura beau tenter de définir cette verticalité, on retombera dans le monde, le donné, l’immédiateté, les contenus. dieu, la pensée, le sujet, christique et puis cart