Parfois, je fais pleurer les gens sans le vouloir. – qu’aimerais-tu manger ce soir ? – une salade de betteraves crues.
AR.NO.SI
A
AR.NO.SI
Philosophe inquiet, poète infidèle, chercheur en écritures.
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Les Restes du Banquet
LA PHRASE DU JOUR. Une "minime" quotidienne, modestement absurde, délibérément aléatoire, conceptuellement festive. Depuis octobre 2007
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22/10/2007
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Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
– le v. : salut jolie, ça va ? – la j. : … – le v. : oui ? non ? tu ne dis rien ? – la j. : … – le v. : allez, je vois bien que je te plais. file-moi ton 06. – la j. : … – le v. : en fait, si tu ne dis rien, c’est parce que tu n’as rien à dire. allez, ciao bye, on m’attend. – la j. : … pauvre crétin de visiteur, pen
Ah oui, si jamais vous avez des relations dans le milieu du cinéma d’action, dites aux malheureux qui se font poursuivre par des méchants en voiture, de ne pas courir sur la route, ils se feront inévitablement rattraper. je ne juge pas, je sais bien que dans la panique, on oublie qu’une voiture est plus rapide qu’un coureur.
Je me demande s’il serre ses bas de pantalon avec des bracelets quand il fait du vélo…
Je distinguerais trois familles d’écrivains – et je dis cela sans cynisme aucun –, les ouvriers, les artisans, les artistes. cela donne lieu à trois genres de productions que l’on peut assez facilement identifier, sauf peut-être aux intersections de ces familles. et pourtant, ils ont tous les trois un point commun, qu’ils partagent d
J’écris des histoires pour en connaître la fin.
D’abord, il condamna le conduit de la cheminée, puis il mura les fenêtres et bloqua la porte d’entrée, il empila tous les meubles dans un coin du bureau, dévissa toutes les ampoules, retourna tous les tableaux, puis il enfourna, autant qu’il le put, tous les vêtements dans les placards de la cuisine, ouvrit tous les livres à la page 127
Je ne le répéterai pas, et ne me moquerai certainement pas, mais j’ai bien vu, son bracelet, c’est un serre pantalon de vélo. (hihi !)
En ces périodes d’agitation frénétique, j’ai une pensée émue pour les jeunes manon, romain, jules, adèle et quelques autres qui avaient traversé, il y a cinq ou six ans, la période de confinement avec un soulagement inédit.
Bata et fakear, frida et gerty, la maison rouge et les dessous blancs (v 7)
– nov, je propose que nous allions d’abord au musée joyce parce qu’il risque de fermer bientôt, ensuite nous irons à la librairie saba, peux-tu nous guider ? – ok. donc, on redescend le corso italia, après, à la piazza della borsa, on prendra à gauche vers bata. – ah tiens ! bata existe toujours en italie ! thomas bata, le petit cor
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