Un peu de tout : du cinéma (beaucoup), de l'actu (un peu) et toute cette sorte de choses
[A bit of everythying: cinema (a lot), news (a little) and all this kind of things]
La légende du titre, c’est le docteur Robert Morgan (Vincent Price). Il est docteur en chimie cellulaire et s’est retrouvé confronté – ainsi que le reste de l’humanité – à un virus très dangereux qui affectaient les humains : ils se transformaient en vampires ! Cela peut paraître un tantinet exagéré, mais les malades ne sortaient
Elle rugit (1), cette foule en délire, quand Tommy McCoy utilise sa droite magique et envoie au tapis son adversaire. Pour de bon. Tout commence quand le jeune Tommy (Gene Reynolds) accompagne son père (pour chanter dans des lieux de « spectacle », essentiellement des salles avec rings de boxe. Il y rencontre Johnny Martin (William Gargan) qui
« Billy Elliott version irlandaise. » Ce n’est pas de moi, mais du JDD. Comme quoi, on peut ne pas toujours être d’accord avec ce journal. (1) Parce que Billy Elliott, c’est avant tout la passion pour la danse d’un jeune garçon, sur toile de fond des grèves de 1984 en Angleterre. Ici, pas de grève, mais une situation autrement plus ex
« Ligotée, avec un couteau dans le… Entre les jambes » C’est comme ça que Maria (Anne-Lise Kedvès) a retrouvée son employeuse, Maureen Kearney (Isabelle Huppert). Pourquoi ? C’est le nœud de l’intrigue : pour la gendarmerie, cela ne fait aucun doute, elle mitonne. Ca tombe bien, ça arrange Luc Oursel (Yvan Attal), le directeur d’A
Et c’est reparti. Après dix ans de silence, et surtout la disparition de Wes Craven (en 2015), voici le retour de Scream. N’ayant pas été complètement emballé par l’épisode précédent, je me suis longuement demandé s’il fallait voir cette (énième) suite. La réponse est oui. Mais… Tara (Jenna « Wedneday » Ortega) est seule à
15 août 1945. Jimmy Doyle (Robert De Niro) troque sa chemise de militaire pour une hawaïenne, ses rangers pour des chaussures bicolores et il part à la chasse. Son gibier ? Une jeune femme qui voudra bien de lui en cette grande occasion. Il rencontre Francine Evans (Liza Minnelli) qui n’est absolument pas sensible à son baratin. Mais il y a l
Quand on est ivre et qu’on roule à 140 km/h , pas étonnant qu’on se retrouve dans le décor. Surtout sur une route de campagne. C’est ce qui arrive à Georges Campo (Alain Delon). Amnésique, il n’a que de très vagues souvenirs. Il est marié ? Première nouvelle. Il revient de Hong-Kong ? Le mystère s’épaissit. Mais qui est donc ce
Un mataf, selon l’inusable Robert (1), c’est un matelot. Et celui dont il est question ici, c’est Bernard Solville (Michel Constantin). Ce n’est pas un marin de profession, plutôt un plaisancier qui ne rechigne pas à sortir son bateau de temps en temps, pour une virée solitaire. Mais ce qui lui vaut avant tout son surnom, c’est son eng
1952. Les parents du petit Sam Fabelman (Mateo Zoryan) l’emmènent pour la première fois au cinéma. Ce n’est pourtant pas l’envie qui l’étouffe et les deux adultes ont beaucoup de mal à le persuader d’y aller. Mais une fois dans la salle obscure, c’est la révélation : Sam veut un train électrique pour Hanoucca. Pendant huit jours
Saint-Pétersbourg, 1894. Piotr Ilitch Tchaïkovski (Odin Lund Biron) est mort, terrassé par le choléra (1). Son épouse, Antonina Milioukova (Aliona Mikhaïlova), se précipite auprès du corps, munie d’une couronne achetée pour l’occasion. Elle pénètre dans la chambre ardente et là miracle : Piotr Ilitch se relève et l’invective, aff