Pas encore inscrit ? Creez un Overblog!

Créer mon blog
joël jégouzo

joël jégouzo

"L'Histoire, c'est la dimension du sens que nous sommes" (Marc Bloch). C'est à explorer ce sens que ce blog s'emploie...

Ses blogs

La Dimension du sens que nous sommes

"L'Histoire, c'est la dimension du sens que nous sommes" (Marc Bloch) -du sens que nous voulons être, et c'est à travailler à explorer et fonder ce sens que ce blog aspire.
joël jégouzo joël jégouzo
Articles : 1707
Depuis : 19/05/2009
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

Les Ponctuations Urbaines Poétiques à la librairie l'établi

Les ponctuations urbaines poétiques à la librairie l'établi

Les éditions de notoriété publique ont publié six pup fictions, affichées tout à tour dans la vitrine de la librairie l'établi d'alfortville. qu'en dire ? les éditions de notoriété publique voulaient, à travers ces ponctuations, offrir du temps au pas pressé des citadins, peut-être même suspendre ce pas, avec des affiches qui ne commu
Mascarade, Robert Coover

Mascarade, robert coover

«la cohérence narrative, c’est le peu de vérité qu’il nous reste.» tout est dit, ou presque, dans cette phrase jetée au détour d’un dialogue parmi d’autres, dans ce penthouse où l’on ne sait plus qui est l’hôte, ni même s’il y en a un, ni qui sont les invités qui, pour la plupart, ne savent pas, plus, n'ont peut-être jamai
Dans La Clairière de l'être, Joël Jégouzo

Dans la clairière de l'être, joël jégouzo

Les éditions de notoriété publique publie ce texte dans une collection baptisée "méditations poétiques". méditations... voilà qui donne à penser qu'il y a de la philosophie en suspens. et de la poésie. l'éditeur confie qu'il voulait en effet publier des textes qui construiraient en écho une réflexion philosophique, de celle que l'on ai
Doppelgänger, Gerard Guix

Doppelgänger, gerard guix

Les deux dernières semaines de hitler dans son bunker. jour après jour. l'ouvrage s'ouvre sur une scène saisissante, le jeudi 12 avril 1945, 16h, à berlin : albert speer traverse la ville. ministre des armements et des munitions, il croise un gamin désabusé des jeunesses hitlériennes qui distribue aux passants des capsules de cyanure, un gro
Le Royaume de la Dernière Page, J. Da Nang

Le royaume de la dernière page, j. da nang

Un conte ! invraisemblable, gaillard, exubérant, impossible à résumer : ce serait le ramener à bien peu. mais essayons tout de même : dans un royaume idyllique où tous les héros de contes vivent en paix après la fin de leur histoire, une étrange naissance bouleverse l’ordre établi : celle de la princesse parataxe, qui parle un langage i
Et je mangeais ma peur, Marc Verhaverbeke – 2/3 : « Dans »

Et je mangeais ma peur, marc verhaverbeke – 2/3 : « dans »

J'ai voulu lire le texte un peu autrement qu'on ne le ferait, en partant de « réalités verbales » statistiques... c'est la raison de ce « nuage » des mots clefs, les occurrences les plus frappantes de son texte. comme on peut le voir, c'est le mot « dans » qui revient le plus souvent. et c'est écrasant quand on lui accole toutes les prépo
Et je mangeais ma peur, Marc Verhaverbeke (1/3)

Et je mangeais ma peur, marc verhaverbeke (1/3)

Et je mangeais ma peur est une traversée poétique de la mémoire, du corps et du langage, entre filiation blessée et soulèvement intime. le texte déplie une parole sensuelle, fragmentée, hantée par la perte mais tendue vers la lumière. il sculpte dans le sable et le silence une écriture en lutte contre l’oubli, la norme et la mort. les
Je vois le genre #1, Lucas Delafosse

Je vois le genre #1, lucas delafosse

Les éditions de notoriété publique publient un petit livre amusé de lucas delafosse, du studio marguerite delafriche. une œuvre de graphiste, dont l'objet est autant l'écriture que le dessin, l'une et l'autre sarcastiques, doux amers parfois, enjoués la plupart du temps. le principe est simple : il s'agit de marier par paires des expressions
De Merdaille à Merdeille, Frédéric Arnoux à la librairie l'établi (Alfortville)

De merdaille à merdeille, frédéric arnoux à la librairie l'établi (alfortville)

Merdaille, c’était le vieux mot français pour dire : déchet, populace, rebut social. le peuple, réduit à l’ordure. ce mot, frédéric arnoux le tord, et voici qu’il devient merdeille. une étincelle jaillie du tas d’ordures. un éclat de poésie arraché aux rats empaillés, aux dents volantes, aux caves sordides. car oui, ici, tout es
Et je mangeais ma peur, Marc Verhaverbeke, 3/3

Et je mangeais ma peur, marc verhaverbeke, 3/3

J'ai enfin tenté d'appréhender le texte de marc verhaverbeke sous l'angle des figures de style les plus récurrentes. avec prudence quant à l'interprétation : il n'entrait pas dans l'intention de l'auteur de composer son texte à partir de cet horizon, lesdites figures de style ne furent déployées que sous l'emprise d'une nécessité poétiqu