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daniel

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tous errants et moi dedans

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Diaphane

Ecriture, poésie, politique
daniel daniel
Articles : 286
Depuis : 27/10/2005
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

monsieur Paul

monsieur Paul

« Cher » M. Bismuth que ce doit être dur de ne plus avoir d’identité, de se cacher à ce point mais ça ne nous arrive pas à nous, bons contribuables, faut vraiment être bien condamnable pour s’en défiler ainsi, comme les petites frappes que vous avez toujours ciblées, le portable au coin de la rue, anonymat et carte sim garantie en 201
Over-blog m'a tué !

Over-blog m'a tué !

Le 26 octobre 2015 Over-blog m’a envoyé ce petit courriel. C’est un 26 octobre 2005 que Diaphane posa ses premiers mots sur la toile. Over-blog venait de créer sa plateforme et nous fûmes plusieurs à s’y installer. C’était l’époque d’une convivialité, de découvertes et d’échanges entre participants. C’était bien avant le l

armistices

ils commémorent une paix, l’armistice comme ils disent, et moi dans ma tranchée, il suinte aux boues de mes doigts des larves de larmes, des lambeaux de vie en cristaux moites, je palpe, tâtonne en cette fange de cœurs écrasés, ils disent que plus jamais ça, le monde est copain, et moi au bouillonnement de l’incertain, il coule des écho

fuite

il en va du cœur comme aux étals des marchés, on saisit, on palpe, on sent, on goutte même et on prend ou on jette parfois des années avant d’ignorer le fruit qu’on pensait si délicieux et unique d’autres saveurs peut-être amènent au rejet, ou bien ce qu’on nomme lâcheté, mais il est au cœur des ventres qui enflent, des promesses
donne-moi un abri

donne-moi un abri

Oh, une tempête menace Toute ma vie aujourd’hui Si je ne trouve pas un abri Oh yeah, je vais me volatiliser. La guerre, les enfants, tout ça à portée de tir Tout ça à portée de tir La guerre, les enfants, tout ça à portée de tir Tout ça à portée de tir Ooh, Vois le feu qui balaye Nos rues aujourd’hui Qui brûle comme un tapis de ch

c’est toi, c’est moi, c’est nous

il traine au bout de jetées en pavés, de prairies pourrissantes baignées de trop d’eau, des bribes de sourires, des relents de spasmes, quand le cœur affamé réclame l’incertaine étreinte, c’est l’heure ou les yeux crient, embués de non dits et de vaines attentes, il y a des draps qui saignent et maudissent l’absence quand l’éto
entre silence et vide

entre silence et vide

les miroirs sont las du même visage, aujourd’hui n’ai pas vu d’être humain, n’ai parlé qu’à mon chien, ils ont cassé la vitrine, sauce tomate, aubergine, je sais là-bas, catafalque de paille pour un cercueil de lait, bouillonnant et baveux, leurs douves de narcisse en bravoures illusoires, viens, viens nicher ta truffe au creux de m

laisser

c’était quoi au début, avant les mots des dessins, le premier besoin de s’exprimer, de laisser au futur une trace hors du temps, celle là même qui reste si loin de la feuille ou du disque dur, celle laissée au fond des grottes, tâtonnante et descriptive, perlée de gouttes de calcaire et de pénombre, puis l’embryon d’humanisme au mar
le retour ? ! …

le retour ? ! …

vous voulez savoir, voir, écoutez la puissance de la parole politique, observer celui qui la prononce, leçon n°1 : M. Bismuth, ah pardon, il s’appelle S…… il se présente ce jour à la présidence de son parti, un tremplin réfléchi à son ancien fauteuil, messie, commandeur, assouvi, dans une France inerte et molle, il n’a qu’à se s