Des photos, des regards...
Des lieux, des circonstances, des autos, des personnages, des moments fugaces...
Un oeil qui traîne, musarde, s'accroche.
Un objectif subjectif, forcément subjectif...
Des photos, des regards Des lieux, des circonstances, des autos, des personnages, des moments fugaces. Un il qui traîne, qui musarde, qui saccroche. Un objectif subjectif, forcément subjectif
Le plaisir d'attaquer sans arrière pensée sur une piste sablonneuse, bien glisssante, au volant de cette audi allroad, décidément apte à tous les usages, même les plus extrêmes...
On était arrivé en fin d'après midi, avec une lumière déclinante et un peu triste. et puis miracle... le soleil est ressorti pour éclairer la falaise, qui alors a dévoilé toute sa majesté...
Petit à petit, nous progressons sur des pistes très roulantes, de manière surprenante, pour passer du désert de talampaye vers la très fameuse valle de la luna, dans un décor désolé et saisissant.
La rioja, patqua, les petites bourgades, assoupies sous le soleil, s'égrènent en direction du nord. nous arrivons presque à pied d'oeuvre. talampaya est à 150 kilomètres, la valle de la luna à moins de 200. un dernier plein raz la goulotte pour assurer, et vamos !
Il n'a pas échappé aux amateurs de courses automobiles (les autres s'en foutent, et c'est leur droit, et c'est le nôtre d'aimer ça...) que le dakar, après trente ans d'afrique a émigré vers de nouvelles contrées, en amérique du sud. l'argentine, le chili... le chili, je ne connais pas. mais j'ai eu le plaisir de découvrir l'argentine il y
Le parc provincial d'ischigalasto, plus couramment appelé valle de la luna, est un site préhistorique (où l'on trouve encore des restes de dinausaures) classé au patrimoine de l'humanité. les argentins en sont particulièrement fiers, comme en témoigne cet attendrissant chromo naïf photographié dans le hall d'un petit motel de la région.