Elle inaudible, incision dans la chair, est-ce à toujours différer ? Apurer le dilemme, grave nuit du discours où pas même se noie C'est déjà dissoudre le temps fuyant des grives Appel d'un hiver et froid qui couche la misère Sous la perruque le feu grivois et contre marbre hâlé Épandage alors vous feriez certes de cela un fruit eunuque C
Gilles Duval
Gilles Duval
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18/08/2014
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Politique
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Sans vide cette fois, j'appréhende en marchant mes pensées, je suis à l'échangeur. Enfin. Point de stabilité dans le désert des jambes et des yeux. Ce soir, l'homme qui aimait les femmes est une deuxième fois vivant, bien lui en vaut. Lui qui aima rompre le frein de la circulation, errant des rues Palisse et Bérange, avait commencé de dogm
Les énumérations hâtives dans le vivier saintLe manquement stérile à des logiques de cadreLa gorge qui bout de soi comme un fœtus terrible Une échelle et tu crèves Une sentence et tu rajeunis L’espacement d’un taffetas de hâleLa vitre qui claque à la gueule poudréeLe bas noir qui traîne comme un dard Un hospice et tu te barres dans
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Danseuse dans le vent qui traîne un voile Un arrêt sur le mouvement, probablement une photo Rencontre à déserter le silence La parole se fait sa danse Les mains de coton effleurent et c'est juste ce corps-là Une trace qui va à l'eau, un début de traversée Tu dresses un paravent et derrière se faufilent ces images Une légère transparence,
Une femme en quête de statue. Ce texte s'inscrit dans le cadre de l'agenda ironique de décembre à l'initiative de Anna Coquelicot, qui relaie là sur le thème des "mondes invisibles" pour ce mois-ci des mises en commun de mois en mois de textes (et/ou images) par des blogs. "Elle se dénoue dans la chaleur moite, dénoue son châle, râle, obso
"Toute la place au centre de laquelle j'ai reposé la nuit, blessé par un coup dans la nuque par une voiture le jour d'avant, est recouverte d'eau. Je glisse plusieurs fois en me relevant. Mes vêtements ruissellent. La pluie n'a pas cessé depuis que j'ai quitté X. La Ville ne doit pas être loin de la mer. Il me faut retrouver X. Je recompose d
Elle, derrière le calque, la caresser de cette voix sourde ? J'eus voulu un arbre, un parasol et un crayon Défaire le ciel pour que l'étale emporte doucement les alluvions J'eus désiré moudre le sable pour que pas même le carbone de ses pas demeura Un aléa de nos vies en main, une seau dévidant son eau pure et fraîche Ses baisers gravitaie
Elle cette partance est-ce à déjouer ? Mise solitaire il dévoie Talus fétide doucereuse est la voie Sous l'eau claire une autre fontaine gorge Crasse limée à lit lèvres où délibérer vive voix A folie tordre le silence et geste oui contre jouer l'enjeu Derrière l'arbre barré un roc sale une onomatopée Langue abrupte elle apparaît alors
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Marie-Lou à Etretat « L'art n'est pas de notre temps, il nous rend notre temps » à Gioheï Zaitsou En attente d'image Marie-Lou est une trait bleu, parfois boursouflée, elle file dare-dare ses petits leggings, ou UCPA Poursuit-elle ses corps ? Elle s'entame ne cesse de se greffer sur le rythme Comme une mince flamme qu'elle voudrait devenir ex
Les pas résonnent, c'est difficile d'imaginer un plus grand silence au contact de ce bruit. Ils éveillent une plainte en moi, mais qui s'inscrit dans la page que je chéris, le souvenir de la trace qu'a fait sur moi l'aperçu d'une fenêtre de Enfance, de Nathalie Sarraute. C'est comme si mon être avait soudain pris une forme vivable, consistant