Au milieu de cette foule Qui se presse Et m' oppresse Croisant des regards fuyants La vérité qui les cernes Ils renient leur destin Et ne pensent qu' à demain Un jour sans lendemain Plus de mains qui se serrent Alors à quoi je sers Sinon à bien servir Ceux qui n' ont qu'un désir Le profit a tout pris
Bruno Laveyssiere
Bruno Laveyssiere
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Le cortex sur la main
Pour toute celles et touts ceux qui sont prêts à partager leur Philosophie de la vie, leurs questions sans réponses, leurs réponses sans questions, leur art philosophique (peinture, poésie, sculpture, photographie... etc), pour toutes celles et tout ceux qui veulent partager leurs problèmes ou leurs solutions existentiels...
Bruno Laveyssiere
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C' est un cri de douleur Une baguette dans ma tète Qui frappe mon cortex Seul Au milieu de cette foule Au milieu de ces fous Qui pensent Etre en courant Derrière le précieux temps Leurs actes sont du vent Comme autant de mensonges Dispersés A tout vent Ils veulent tout maintenant Leurs désirs sont si veules Leurs soupirs sont du vent Je les so
Je note un avertissement à toutes les personnes qui s' apprêtent à lire ce petit texte, il est susceptible de choquer, de heurter certaines âmes sensibles ! La femme a-t-elle trouvée sa véritable place dans ce monde masculin émasculé de l'élément essentiel à l' homme ? Je veux parler de la Femme . Que veux-t-elle dire en exhibant son tat
La vie, c' est une illusion... et des milliers de désillusions...
Existence Est un cri de douleur Que je dis en silence Parfois pendant des heures Je ne suis que pour moi Comme un livre inachevé Je n' écris et je crie Existence comme dans un rêve Je vie et je crève J' exhibe mon être Je voile mon naitre Je suis un fantôme Qui passe devant toi Une âme voilée Tu me vois sans me connaitre Et pourtant devant
J' écris Et je crie En silence Sans violence Décadence Existence Je me cache Derrière mon stylo Mon radeau mon rempart Je crache mes maux Tandis que quelque part Tu affiche ton couteau Pour un sou une pucelle Tu es fou et cruel Et puis sans violence Ta mère ou ton amante Pense à toi en silence Maintenant Et baignant Dans le sang Ta victime se
Les mots comme Dieu, Néant et Infini ne cachent qu' une seule et même chose: L' ignorance des hommes.
C’était une nuit sans faim J’habitais cette eau séante Chaude limpide apaisante C’était ma maison mon jardin. Secret, je ne cessais de grandir Et de savoir vivre L’être minuscule Dans l’être majuscule Suis-je un présent à venir Une petite éternité Entre un ardent désir Et un petit sourire Une idée incarnée. Je ne pensais pas a
Quatre heure du matin Encore la fin d' une trêve Dans la salle de bain Je crois que je rêve En face de ce visage Suis-je moi Ou bien cette image Es-tu moi Ou bien mon image Une poignée d' anxiolytiques Je les avales comme j' avale ce monde Sclérosé schizophrène hystérique Je branche la radio ce bruit immonde Satiété allumée anarchique Ils
Tiens moi la main fermement et suis moi pour l' instant… Tandis que je regarde les marches pour ne pas trébucher, tu regarde l'horizon ou le ciel étoilé. Sache que l'horizon est un leurre, celui de ton bonheur rêvé ;et les étoiles semblant être des perles de diamant sont des lieux hostiles ou l' on ne peut exister. On pourrais croire que l