Des bêtes Felis catus Orion le retour Dans la nuit
D ans la nuit les yeux se font phares Celui qui regarde fait signe Le regardé souligne Les étoiles au ciel se marrent Dans les reflets par les rais Les luminosités effraient Les faux soupirs les faux jouets Que s’offrent les marchands replets Une rallonge ou une pile Ne sont qu’artefacts im
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poésie et images & linogravures, peintures, dessins, encres et txt poétiques, en liberté.
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Mode, Art & Design
Articles à découvrir
Numéro seize Sens sans sens sans sens sans sens sans Sens sans sens sans sens sans sens sans Sens sans sens sans sens sans sens sans Sens sans sens sans sens sans sens sans
L es cadences inscrivent les urgences Au rang des décences car les nuisances Se peuplent et rejouent les ingérences Me disait mon chat en baillant d’aisance Les cas denses
Des bêtes et des gens Ici là-bas Amis et inconnus Jamais adversaires Turdus Merula merle leucique première
L e merle sait-il son profil La tache blanche la connait-il Son sifflet est-il modifié Son refrain / couplet à la clef Diésé modifié transféré De la noire à la blanche note La graine transforme la crotte L’écriture de la portée
Sans sens Sens sans sens sans sens sans sens sans Sens sans sens sans sens sans sens sans Sens sans sens sans sens sans sens sans Sens sans sens sans sens sans
L a puissance de l’absence du sens Emmêle les faits et les connaissances Les distances spirituelles encensent Les croyances au creux des insuffisances Les cadences se meuvent en démence
Tempera Pays sages Nouvelles perspectives Page quatorze Saisons ludiques
D es touches s’entretiennent Et font mousses anciennes Elles peuplent la plaine De courbures pérennes Quand les couleurs éclairent Les pupilles génèrent De nouvelles anthères Qui promettent des vers De profuses pensées Des bouquets éclatés Des gerbes énervées Quand
Des bêtes et des gens Ici là-bas Amis et inconnus Jamais adversaires
Pouillot véloce Phylloscopus collybita S ur le plancher un soir d’été Il est venu se reposer Le petit oiseau fatigué Le vent les corvées de couvée Ou le chant sur deux tons constants La discrétion de son plumage Tranche avec le chant contre-chant Qui pulse des futaies s
Des bêtes et des gens Ici là-bas Amis et inconnus Jamais adversaires Roger
V ous ne connaissez pas Roger Il est gentil il est léger Comme tous les chats fiers altiers Une caresse volontier Un pas de côté le jardin Et tous les abris dans les coins Et si la pâtée c’est sérieux Sans liberté c’est plus affreux Un bout de haie une racine Un
Numéro dix-sept Sens sans sens sans sens sans sens sans Sens sans sens sans sens sans sens sans Sens sans sens sans sens sans sens sans Sens sans sens sans sens sans sens sans Sens sans
S ur la table indexée sous X Les alphabets épuisés mixent Des commentaires dépistés Par la raison surexcitée Car rémunérée cathartique Sous les rayons tro
Tempera Pays sages Nouvelles perspectives Page vingt Saisons ludiques
L ’effort génère des empreintes Qui se succèdent et se teintent Des mélodies et des refrains Qui s’inventent dans les regains Le mois d’août chasse doucement Les esquisses et les sarments Les promesses et les serments Les servitudes et les vents Les moissons s’engran
Balades nouvelles saisons Les saisons vont rondes et rondeaux et alignements Sonnets pour les discrets Vingt-et-un / Ficaria verna / menthe à feuilles rondes
S ur un coin de pelouse Dès le printemps pointé Elles poussent et cousent Des bouts ensoleillés Qui se plaisent zélés À colorer les mottes À rapiécer les rotes Quand les ombres zébr