Axel Evigiran
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Ses blogs
Le blog d'Axel Evigiran
Blog généraliste ou sont évoqués tout aussi bien des sujets sociétaux qu’environnementaux ; s’y mêlent des pérégrinations intempestives, des fiches de lectures, des vidéos glanées ici et là sur la toile : Levi-Strauss, Emanuel Todd, Frédéric Lordon, etc. De la musique et de l’humour aussi.
D’hier à aujourd’hui inextricablement lié.
Sans oublier quelques albums photos, Images de châteaux, de cités décimées, et autres lieux ou s’est posé mon objectif…
Axel Evigiran
Articles :
92
Depuis :
23/02/2010
Categorie :
Mode, Art & Design
Articles à découvrir
Encore sous l’emprise de l’adaptation théâtrale des particules élémentaires de michel houellebecq, jouées samedi dernier à lille… apprenant quelques jours auparavant la durée de la pièce (3h40 env., entracte compris), nous nous étions inquiétés. mais à la vérité tout s’est passé si vite en cette représentation d’une intens
Pourquoi je n’ai pas aimé l’exposition jan fabre, hommage à jérôme bosch au congo
Lors d’un échange de commentaires sur un blogue ami, il m’a été demandé d’expliquer pourquoi l’exposition jan fabre, qui se déroule actuellement au palais des beaux de lille, relevait selon moi du navet intégral - j’aurai pu dire d’une certaine forme de supercherie, sans véritablement trahir le fond de ma pensée. c’est cette r
Tiré de la mythique collection babel, aux textes choisis et préfacé par jorge luis borges, voici deux nouvelles de l’écrivain espagnol pedro antonio de alarcon, ce « révolutionnaire violent qui finit par devenir conservateur sincère et résigné ». derrière la couverture sur fond gris à la saveur d’un romantisme le plus noir, la premi
Lien vers le "contre" de frédéric schiffter telle est la question posée par la rubrique « pour ou contre » du dernier philosophie magazine, flattant le goût supposé de son lectorat pour les duels. (un précédent duel : du socrate platonisé) dans l’arène deux philosophes ; chacun une page, chacun son espace et son camp. lançons le match
Réminiscence de bibliothèque : gustav meyrink – le cardinal napellus ( collection babel)
Adolescent, je me rendais régulièrement à la bibliothèque municipale, une retraite fantastique bourrée de trésors, caverne retranchée à l’abri des murs épais d’un ancien fort, sous le couvert d’arbres d’âges vénérables. pour un abonnement modique, j’y dévorais des kilos de bandes dessinées, des tardi évidemment, avec la bel
La nuit avant les forêts de koltès (mise en scène d'eric castex)
C’était hier soir au théâtre de l’idéal à tourcoing, dans une mise en scène d’eric castex. un soliloque d’azeddine benamara... une heure et demie, où, pourtant, l’on ne s’ennui pas une seconde. de maux en mots, tout le tragique de l’existence résumé à fil prêt à se rompre... juste une chambre pour la nuit, pas même toute
Entretien avec nicolas gauvrit – science, psychanalyse et rationalité
Parcourant la toile en quête de vidéos pour illustrer un billet que je viens de finir « alan sokal : pseudosciences & postmodernité (préface de jean bricmont) » je suis tombé sur un entretient avec nicolas gauvrit, du printemps 2012. a l’écoute, la teneur de l’interview dépassant largement le cadre que je recherchais initialement (vid
A mon retour de vacances, j’ai constaté que la publicité était désormais imposée sur la plateforme overblog, transformant cet espace en guirlande commerciale. j’ai donc décidé de migrer manuellement sur un autre blogue que j’utilisais jusqu’alors essentiellement pour le partage des œuvres peintes. ce nouvel espace porte le nom de «
L’oracle de lucrèce : eluder l’amertume dans trois pincées de miel incrustés dans les interstices de la mémoire, s’ébrouant sous le vacarme de nos paupières… nul doute, dans le sommeil, que les mots nous travaillent. autour de lucrèce, dans d'anciens billets de la nature tant la religion put conseiller des crimes le miel et l'absinth
Flâneries de septembre autour du charme des penseurs tristes
Siroter « le charme des penseurs tristes », griffé par ces heures interminables éparpillées dans la brise ténue de septembre, entre langueur et ennui, me semble être le meilleur compliment que l’on puisse faire à ces flâneries élégantes aux airs d’entrechats au bord de l’abîme. rien qui ne soit plus stylé, si désespérant aussi