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Frédéric Leprêtre

Frédéric Leprêtre

Mon ancien blog chez overblog se nommait lepoemedeaudouce et c'était mon seul blog de poésies philosophiques, et son mot de passe d’accès à son administration m'a servi autrement de mot de passe sur un autre site, car il y eut une fuite en un lieu et endroit donné.

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oeil de sauron

Qu'est-ce donc que l'œil de Sauron ?
Frédéric Leprêtre Frédéric Leprêtre
Articles : 256
Depuis : 30/05/2014
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

Pourquoi refuser de se faire vacciner ?

Est-ce par solidarité, Quand un S.D.F. peut l’avoir été ? Croire croire et n’avoir que des peurs, Et croire savoir la science-fiction à toute heure ? Est-ce que c’est mettre le covid sur le piédestal des châtiments, Et se dire d’un coup déiste et à Dieu apposer le diable associant ? Ou se croire au-dessus de tout risque pour soi ou

Tu es donc core courant avril.

Prenons un instant pour considérer les probables. Notre cosmos est si petit comparé à l’univers, Mais acceptons que sa logique soit grande, et nous capables, D’en prendre en compte quelques talents et donc aussi les travers. Nous comprendrons aisément qu’en toute chose il faut un carburant, Car à défaut de carottes, ou d’avancées tec

Je niais pâquerettes.

J’ai demandé un jour ce que signifiait forniquer. On m’expliqua que c’était de m’amouracher Sitôt après éblouissement de l’avoir ainsi vue, La première personne sitôt illuminé, venue. Ensuite ai-je appris, avant même ma naissance, Je ne suis pas déterminé mais destiné, Autant que mes mérites et, ce qu’on appelle la chance,

Conscience accrue.

Tout ce qui se passe de mauvais en ce moment, N’est pas une fin en soi. Les tentateurs s’adaptent d’ailleurs tout autant, Mais comprennent de surcroit. L’être humain avait des chaines qu’il ne comprenait pas, Et les anges déchus se battaient pour le mal et ne savaient faire que ça. Nous vîmes un futur aux desseins terrifiants. C’ét

Jusqu’au bout de la vie.

Le coronavirus est un phénomène. Comme un seau de corona non pris en photo. Car si j’en avais eu l’image avec peine, C’était cinquante nuances de blancs de trop. Tous les paranoïaques avaient avant leurs têtes, Et passée la stupeur les ont retrouvées, Avec les mêmes arguments pour faire la fête, Et jamais pour les peser et il le fall

La condition humaine.

Je ne suis pas amoureux d’une demoiselle mais d’une âme. Une histoire d’âme, comme il en existe à la campagne. Mais je vais aller un peu plus loin si vous me le permettez, Car l’amour est une question de foi mais sans logique reste imparfait. Je me cite donc non comme exemple mais parce qu’il faut prendre un référentiel, Et lorsque l

Il n’y a aucune différence mais des différends.

Si la foi devait se résumer en l’attente d’une certitude, Oui alors la foi se base sur des promesses faites aux cœurs. Mais si la seule foi consistait à croire sans œuvre, Ou croire qu’il faille aller d’un côté ou de l’autre, Ce serait parcourir un chemin où l’on se vautre, juché plus de serpents que de couleuvres. Ce serait le

Sauver ou ne pas sauver.

On me disait qu’il était impossible de changer le monde ou de le refaire. Je pense que c’est vrai d’autant plus qu’on ne refait pas non plus le passé. J’appris plus tard qu’il y avait des gens qu’on disait engagés, Mais j’ai vu des manifs de rue en un éclair, récupérées. Sans aller plus avant dans les modes quant à savoir si

L’amour est un bouquet de violettes.

Je vous parle de moi que les gens sans moi ne peuvent pas connaitre, Au crâne occipital tâtant du carreau très tôt dépourvu d’altimètre. C’est un peu pour cela que je suis resté très longtemps dans ma bulle, Et que passé la trentaine j’eus lu ce que croyait Marie et pondre une pendule. J’aurais aimé ne pas vous parler de mon nombr

Si maintenant.

On commence des phrases qui nous trahissent, Mais la vie n’est pas un poème mélodramatique. Ce qui nous est demandé est parfois trop, Mais les enjeux peut-être le valent ? Je ne sais pô… Si c’est de changer, en ai-je le temps, l’âge, la possibilité ? Car en fait on ne change pas, on peut soi, s’aimer, Et se savoir bon ou mauvais, e