Une paupière s'ouvre sur le monde qu'il connait trop bien, l'autre œil le découvre chaque jour comme quelque chose d'agréable à contempler. Malgré cette ambivalence où le choix serait simple, les pensées restent closes et altèrent l'occasion de donner le meilleur de ce que l'on a à offrir au monde. Pas de début, ni de véritable fin, jus
walkirie
walkirie
Ses blogs
Articles :
42
Depuis :
13/03/2010
Categorie :
Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
Bobby était un homme qui selon Cantonna "Sortait des normes" et était par conséquent considéré comme "fou" par l'ensemble de la société. Il ne faisait pas partie de l'équation mathématique de la vie. Bobby ne savait pas dire une phrase sans provoquer, ivolontairement, des divisions successves. Pourtant, les soustractions étaient multiples
L'écouteur "R" dans l'oreille gauche et le "L" dans la droite, le morceau choisi était l'un de ces morceaux que l'on écoute en boucle. Les autres ne seront pas forcément pas d'accord avec ce choix mais les choses sont ainsi. A l'image de la musique que l'on écoute, nous sommes uniques, le reste n'a plus d'importance. En revanche, une fois la m
Avec le temps les choses s'arrangent. C'est un vaste carnaval ou chacun connait son déguisement par coeur. Quelque chose que l'on enfile pour pouvoir être accepté dans ce grand cirque. Aujourd'hui j'ai envie d'y mettre le feu pour abattre les masques de ce que nous ne sommes pas. L'humain possède le don de pouvoir se remettre de tout alors il s
J'pose une prose sur une vie remplie d'oubli Un réflexe et tout le monde disparaît C'est ça que se fragmenter Mais voilà que je suis affaibli, Dans un lointain passé, L'âme s'est obscurcit Et j'ai tout laissé, peut être, par lâcheté Et cela se retrouve en sursis Je voudrais bien chialer, Mais ça ferait pitié Après tout, la justice, N'e
Les douze coups de minuits retentissent à peine mais, pourtant, il n'est pas tard. La journée vient seulement de commencer et le fait de regard er inlassablement le temps défiler sans pouvoir y remédier est un événement de la vie comme un autre, il suffit de gravir la marche de l'escalier pour s'en sortir plus grand et plus fort que jamais. A
Je n'ai pas choisi le moment où je suis arrivé encore moins le moment où je partirais. Une route que l'Homme essaie de maîtriser avec des chiffres et des panneaux de signalisations. Aujourd'hui j'ai décidé de refuser à ce que ma vie ressemble à ce qui est établi ailleurs parce que ça fait bien au regard d'un autrui que je comprend de moin
Depuis des années, elle trainait ce boulet qui restait accrocher a sa cheville comme un SDF qui avait trouvé son carton où passer la nuit ainsi que les prochaines. Le boulet qui n'est rien d'autre ceux a quoi elle s'est accrochée toute sa vie à savoir l'amour, la gloire, la justice, la libérté, le bonheur ... Tout ce qui semble de prime abor
C'est la vitrine de tous les regards. On se montre sans savoir qui on est et on s'attend à ce que quelqu'un nous le dise. On se cache par peur d'être démasqué. Hier j'étais quelqu'un, aujourd'hui je suis quelqu'un d'autre et demain je serais comme hier. C'est l'artifice de ce que nous devenons, on ose dans la plus grande audace prudente et on
Les yeux bien ouvert sur la planète qui garde ses secrets au détriment de la folie du monde. Le malheur vient de se dérouler et l'abyme s’obscurcit laissant l’âme se faire aspirer dans la tourmente de la tristesse et de la mélancolie. Rien n'est clair dans ce qui est dit et fait car la liberté d'esprit ne peut se cantonner à ce qui est v