Mes poils et moi c'est une vieille histoire. Je les ai détestés quand j'étais ado, particulièrement ceux des jambes. Je n'avais pas l'autonomie financière pour les faire arracher avec la régularité voulue et c'était mon plus gros complexe. Je me souviens m'être dit qu'être cul de jatte serai chouette. Pas de poil disgracieux. Je me suis
Erriana
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Mes poils et Vous
Un lieu où tou(te)s ont la possibilité de faire partager leur(s) expérience(s), leur vie avec leurs poils au quotidien, et avec les autres. Pour s'exprimer sur un sujet encore tabou, partager et s'entraider dans la quête de l'acceptation de soi.
Erriana
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08/04/2014
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Beauté, Santé & Remise en forme
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Excentrique que je suis, je m'habille peu en tenue "ordinaires", à part quand je suis flappy-flagada. Autrement, je suis souvent en jupe au-dessus du genoux, talons compensés, mascara allongé (seulement) et parfois rouge à lèvre, avec un collier, une bague et/ou des boucles d'oreilles, des vestes de tailleur cintrés qui dessinent la taille et
Je n'ai jamais eu de mal à vivre avec mes poils. Je ne dis pas que j'ai toujours aimé mon corps, non; je l'ai longtemps haï comme beaucoup de femmes cisgenres malheureusement. Mais je n'ai jamais éprouvé le besoin d'arracher tous ces poils. Du moins jusqu'à ce que j'en fasse les frais. C'était vers 12 ou 13 ans, je portais un t-shirt, les ai
A la pharmacie, une femme d'une soixantaine d'années en jupe et escarpins avec des jambes bien velues ! Elle me voit regarder ses jambes, échange de sourire, on s'est comprises... Il fait beau les femmes sont belles !!! Kheira La Lune, 45 ans Parce qu'à la lumière du matin je trouve ça tellement beau <3 Sandra, 24 ans
Voilà cela fait des ann
Comme la plupart des femmes, j'ai un passé fait de haine et de douleurs avec mes poils. Depuis mes 13/14 ans (j'en ai 36) l'injonction sociale "une femme, c'est glabre, c'est lisse, c'est doux" pèse lourdement sur mes épaules. Pendant mon adolescence et ma vie de jeune adulte, je n'ai jamais laissé mes jambes et mes aisselles poilues ! Mon pubi
Ça a commencé en primaire, où étant le souffre-douleur de la classe, j'avais envoyé un bon gros pain dans la tronche de la peste meneuse qui me harcelait. Aucune punition à mon encontre de la part de la maîtresse qui connaissait la situation. Mais à la maison... Lynchage de ma mère qui était horrifiée que j'ai pu être aussi "agressive",
Je me souviendrai toujours de la première fois où j'ai vu des poils sous les bras d'une femme, j'avais alors 11 ans. L'ironie de notre époque est telle qu'en réalité il s'agissait d'une adolescente. J'habitais alors en Asie, dans un pays où la pression par rapport à l'épilation est moins forte qu'en France et le moins que l'on puisse dire e
Petit topo de la situation au Cameroun: Je suis à Yaoundé, capitale du Cameroun. On m'avait dit que les femmes ne s'épilaient pas en majorité, et j'ai fini par constater que c'était vrai, mais c'est pas du tout évident étant donnée une pilosité très discrète et peu contrastée. Il faut regarder de proche mais j'ai effectivement vu jambes
Je ne sais plus de quand date ma première épilation mais elle a été provoquée par la pression que je ressentais autour de moi, le besoin de faire comme les autres pour ne pas me sentir rejetée (je pense que ça devait être au début du lycée). Je rasais de temps en temps mes aisselles par peur du regard des autres. Ces rasages étaient fait
Ma mère s'est toujours épilée les jambes la moustache et le maillot pour la société, et plus tardivement les aisselles à cause de remarques... Et a du être opérée plusieurs fois pour des poils incarnés... Très complexée par ses poils bruns, elle ne m'a pourtant jamais incitée à m'épiler. Ma grand mère s'est toujours rasée, elle a l