À contempler un nu artistique : l'homme se fait ardeur ou râleur, parfois fervide, la femme jalouse ou aimante, les algorithmes puritains et sots, les poètes narquois et affables, mais l'art reste primauté, face aux débilités !

J'attends de toi, les barreaux les épines, les roses les bas soyeux les yeux heureux brillants le souffle chaud crié, court la liberté aimée la tendresse d’écrire autrement la passion des mots collés à ton corps symphonie des sens harmonie perdue sensuelle offense de toi j'attends l’inversion promise, écrite, priée d'une aube fatiguée

Amarres rompues je dérive conscient. de mes absences abyssales cœur faible, pouls éructant je vacille au vent échelle de beaufort désopilante des mots perdus dans ma campagne enchevêtrée de cadavres chimériques inconscience mortelle je renie ma destruction et, si l'amour n'était que buée, je pleurerai, sur un pétale de rose, ombrelle gri

Bout de la nuit crispée rencontre d'une nouvelle aurore envoûtement d'éole friselis du feuillage turpitude volée à mon cœur sain soufflet de vie grave battement intemporel horloge de sentiments épurés froissement de ma peau aux brûlures savantes piquant mes certitudes hérésies iconoclastes que j'aime à barbouiller sur un pan de mur dél

Dites, madame, vous portez quoi, que j'aimerais ? mes blessures toutes nues, poète que tu chanteras en mots amoureux ou maux peureux.

Un rêve s'éteint l'azur semble vouloir s'étendre où sont tes yeux ?, il faillait oser tenter l'imparfait ! pour un futur sans une cambrure ! le noir et blanc suffiront en trompe-l'œil, pour combler ta parure.

Je, tu nous ; ils ou elles ; l nul et froid composé de gerçures d'engelures ; de trucs hivernaux pour ballots, badauds en attente fébrile et sociétale de soldes, de remises ; je, tu, nous faut-il le tutoiement aux aimants le vouvoiement aux amants ; délit de jouissance crime de croupe association de mal et de mots confrérie des galbes je, tu,

Ne sois pas importune dépose tes hanches en baisers sur la buée de mes lèvres ne sois pas triste pose tes yeux en regard bleu sur mon espoir ne sois pas ma tristesse, j'ai tant de caresses déhanchées en frissons que je rêve à tes émotions ne sois pas tessiture aiguë garde ta voix chaude, rauque tes délicieux mots sanglots d'un fond de gor

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La passion palette est folle, démesurée, coloriée de nos frissons mystiques, ou tu geins mon absence, retour infernal couleur d'airain, j'ai peur de ma sagesse de trop de caresses oubliées dans des brumes si lointaines, si proches aussi, que j’écris mes mots en déveine raturant mes frissons sur ta peau peinte de blanc pur, mystique je tais