Les gens qui pensent qu’ils font un grand honneur aux autres en se rendant aux invitations auxquelles ils les ont conviés, se sentent du coup souvent blessés quand on ne répond pas aux leurs, incapables qu’ils sont de comprendre qu’on peut ne pas estimer que notre présence soit du moindre intérêt pour eux.
François Cosmos
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Littérature, BD & Poésie
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Car, pour en être affecté, encore faut-il déjà être arrivé à quelque chose – même si on pense alors qu’on n’y a pas sa place.
J’étais déjà féministe, que vous n’étiez pas encore né.e.s – c’est ce que j’ai parfois envie de répliquer à certaines réflexions ou interventions de certain.e.s féministes de la dernière heure. Mais je ne peux pas le prouver, sauf à ressortir honteusement quelques esquisses fort maladroites, au brouillon manuel, des présents
APRÈS L’INARRÊTABLE CONFÉRENCE DE PRESSE DU PRÉSIDENT MACRON (16 JANVIER 2024) :
Aux États-Unis, il y avait eu les caucus ; en France, il y a désormais les cocus (du macronisme).
Je n’ai pas besoin de ça, contrairement à la plupart des gens dans ce cas, pour me croire intelligent.
Je n’aime pas les femmes (bien) gentilles. Je n’aime pas les femmes méchantes non plus. Pourtant j’aime les femmes. – Allez comprendre…
Tout ce que j’ai réalisé et obtenu jusqu’à présent, c’est sans l’avoir cherché.
Je me reconnais assez dans le portrait que fait Vladimir Nabokov de son personnage central de La Transparence des choses (traduction de Donald Harper et Jean-Bernard Blandenier) : « […] il gagna sa vie par les diverses occupations sans éclat qui sont le lot des jeunes gens brillants dénués d’ambition ou de dons particuliers ; ils prennent l
Selon les spectateurs d’Allociné, les trois meilleurs films de tous les temps sont, dans l’ordre, 1) Forrest Gump, 2) La Liste de Schindler, 3) La Ligne verte (inconnu de moi, je ne connais que la rouge, donc je me garderais de trop en rigoler). – Selon les différentes listes critiques faites au cours du temps, Citizen Kane, Vertigo ou Voya
J’adore les hommages funèbres – les prononcer ou les écrire –, qui me permettent de compenser brillamment – et amplement – tout ce que je n’ai pas su apporter aux défunts, de leur vivant.