Pas grand-chose de neuf du côté du vétéran polonais graveland. thunderbolts of the gods s'inscrit à nouveau dans la droite lignée des albums 'vikings' du groupe entamée avec memory and destiny en 2002. on a droit à cinq nouvelles longues fresques épiques plus une outro. l'aspect passéiste et nostalgique des ambiances prend une densité su
Ben
B
Ben
Junkie de la musique.
Ses blogs
Articles :
192
Depuis :
16/05/2010
Categorie :
Musique & Divertissements
Articles :
15
Depuis :
27/04/2014
Categorie :
Musique & Divertissements
Articles à découvrir
Si opus iv avait déjà fait évoluer la musique d’abigor vers des sphères symphoniques, supreme immortal art sublime l’exercice. une orgie de sons et de mélodies tous azimuts. car loin de verser dans la musique atmosphérique en abandonnant ses compositions complexes, le groupe propose toujours des morceaux de mille thèmes et des enchaînem
Arbres en pochette, oiseaux, une petite complainte acoustique païenne, le tableau est parfaitement dressé dès l’introduction de autumn aurora. bienvenue dans les forêts ukrainiennes, là où drudkh nous emmène pour relater les paysages et les ambiances qui les peuplent. une ode à l’automne, crépuscule où la nature perd son éclat et se
Ils ont beau cultiver une patine attrayante à coup d’imagerie série b, enfiler les clichés, piocher des riffs à droite à gauche et s’ériger un son dantesque, il faut l’avouer: beaucoup de groupes surfs contemporains s’avèrent chiants à mourir sur disque dès le troisième morceau atteint. car le folklore ne fait pas tout et en surf
Oublions les inutiles dead weather et donnons une nouvelle chance à jack white qui n’a pas participé à un quelconque disque enthousiasmant depuis... disons icky thump pour être sympa. ni groupe de seconds couteaux, ni potiche derrière le micro, le voici cette fois seul maître à bord, posant avec un corbeau comme unique compagnie sur une po
Autant ne pas se voiler la face: cette reformation 'âge d’or' de guided by voices sent l’opportunisme à plein nez (c’est le principe en même temps...). les albums de boston spaceships, pourtant réussis (comme le très bon brown submarine ou encore our cubehouse still rocks ), sortant dans une indifférence quasi générale et les disques
Après s’être cherché sur ses deux albums précédents, le romantique like gods of the sun et le bizarre 34,788%... complete, the light at the end of the world représente enfin la quintessence de my dying bride. un album d’une densité et d’une consistance hors pair. les anglais synthétisent ici toutes les expériences de leurs cinq premi
Flûte, hibou, synthé grondant et voix caverneuse, une ambiance flippante mais calme. puis c’est la déferlante. grimé en troll, shamaatae surgit de sa forêt avec une furie sans nom. rythme étourdissant, riffs païens, épiques et voix gorgée d’écho pour simuler l’acoustique d’une forêt. un maelstrom nous happe. basé sur la nature,
L’écho lourd et inquiétant qui ouvre memoria vetusta i: fathers of the icy age met tout de suite dans l’ambiance. blut aus nord force le trait et gomme le peu de lumière qui émanait encore de ultima thulée. on entre ici dans un monde opaque où la nostalgie des temps anciens est reine. la production boueuse et étouffante se pose en portai
Le groupe le plus haït de la terre. voilà comme se définit darkthrone après son éviction de peaceville suite à la polémique transilvanian hunger. le duo trouve alors refuge chez satyr et son label moonfog auquel panzerfaust est dédié. inutile de préciser que le groupe s’enfonce ici encore d’avantage dans les limbes d’un black metal
English
Deutsch
español
italiano