Ville tu es toujours la même si désemparée d’attendre des hommes qui te reviennent des hommes qui te comprennent et triste d’une joie amère et sauvage ville dégrisée qui se révolte au bord d’un monde ville qui comprend les hommes aux visages invisibles les rares hommes comme des fantômes dernier sursaut avant les larmes d’une jeune
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