Ah ces clichés s'il en fallait volent ici en éclats.il ne fait pas vraiment chaud et les averses sont abondantes.mais le charme est évident. alors que nous regardons le menu avec perplexité ,tant en anglais qu'en espagnol,un voisin ,d'une voix douce nous dit qu'il peut traduire.son accent toutefois ne cadre pas avec le décor-vous êtes belge l
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quinqua heureux de vivre
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Brest ,les yeux de la mer et la fille de la lune.
Surf et vague à l'âme .Ma vérité .Te voilà donc sur la sellette ,nue exposée à la vindicte des pisse froid ,je viens d'enlever le cache sexe dont ils t'avaient affublée !
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Zef et Yannick ,le blog de gilbertilo ,Brest
Brest blog,humeur ,liberté de pensée ,poésie,tranche de vie,humour,et sarcasmes
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Articles à découvrir
Masses informes et sans beauté(ainsi plaisantait notre prof de math)
Oser en préambule demander l'indulgence pour ses fautes d'orthographe et éventuellement une syntaxe mal assurée.voilà qui pourrait devant tant de candeur me faire sourire,si je n'assistais de puis trop longtemps sur des sites aux noms des plus ronflants tel que :"littérature ,poésie,et comble du renflement ,philosophie",non pas à un assassin
Tu pourras sur mon cœur user tes ongles rouges, plus brûlant qu'une balle un blâme y fut logé. j'avais mis dans ma poche une chaîne vermeil, le cœur en bandoulière je m'étais lancé comme un bleu sur le front,aveuglé de soleil. j'avais sonné deux fois pour que la porte baille, les yeux exorbités encaissant la mitraille d'un "vieux fusil"
Dix mille balles,le gros rouquin vient de perdre dix mille balles.il gît au sol suffocant et blême,sa ceinture ultime rempart aux vagues de chair rose a été débouclée et le gras dégouline emportant sa fatuité comme la rigole charrie la merde! depuis le temps qu'il jouait la danseuse étoile,de pas chassés en arabesques,d'adages en cabriole
Face à la mer,sur ce banc ,l'horizon t'accapare. tu ne vois pas ,perdue dans tes pensées, a tes pieds, dans la vague le nageur imprudent . pour un reflet la-bas ...il s'est jeté à l'eau. sur un rayon de lune, comme des indulgences, pour que tu lui pardonnes, il aligne les mots. féal désormais d'une nouvelle engeance titubant, saoul de vers,il
Nous indiquant les fresques murales, il nous dit :"c'est pas mal ce qu'il font.dommage quand même,ils pourraient faire des paysages bien de chez nous ,des sujets bretons ...c'est vrai qu'il y a beaucoup d'étrangers parmi eux".je le vois venir avec ses gros sabots.je le laisse déballer la camelote qu'il a je suppose véhiculée tant de fois.il po
St esteban est une petite ville des plus colorées adossée à une colline sur la rive gauche du nalon.notre traducteur improvisé nous parle du passé glorieux de ce joli petit port.bien qu'ayant déjà déchiffré grosso modo sur une plaque commémorative l'histoire interrompue dans les années soixante du "port charbonnier espagnol",je l'écoute
La marée basse a découvert un tas d'ordures ;un squelette de scooter volé,diverses pièces mécaniques ,des cadres de vélos etc ...mon bonheur est là à portée de main;une tige de fer ...brr...le temps a fait son œuvre !ce que je voyais comme un bras solide n'est plus qu'une pourriture molle .je persévère ,la récompense arrive ,une corni
Me voilà face au plus récent élément du frénétique turn overqui agite le département de la supply chain depuis 2003."assieds toi "me dit-il. sans préambule il me déclare :"ils ont exercé leur droit de retrait". la gifle me sonne." je devais te cueillir dès ton arrivée au vestiaire,mais bon .tu ne dois plus les côtoyer"! c'est dans l'es
"apostrophes"vient de se terminer.bernard pivot comme tous les vendredi lance claude jean philippe pour le"ciné club". ce présentateur avec ces cheveux que je juge gras et mal peignés,ce présentateur dont je crains à tout instant un postillonnage malséant,ce type qui me paraît si négligé,eh bien cet individu devient, quand il se met à par