« nuit d'ivresse, en souvenir de la tendresse, des pique-niques au pied de l'arbre, du lit plein de sable. loin, au loin, les chatons de la pointe, loin le gecko qui grimpe, et gréco dans l'enceinte. encore une fois, l'été ne survivra pas. quant à toi tu m'oublieras, comme on oublie l'été, dès qu'il fait trop froid, une fois encore. » « m