J'aime - Ma nièce, Snoopy, toi, les mangues, les animaux, le vent, la neige, moi, voyager, parler, la sincérité et la franchise, cuisiner, découvrir tout et rien, écrire, vivre, mon antre, mon moleskine, mes yeux, les câlins, les "je t'aime", les regards, rire, marcher, baguenauder, manger, lire, observer, écouter, être amoureuse, l'eau pé

Mon ami l'oiseau Te voila venu de si loin Maintenant qu'il fait beau Toi qui as croisé mon chemin Mon ami l'oiseau Tu t'envoles si haut Nous nous sommes obervés Nous sommes-nous apprivoisés Mon ami l'oiseau Viendras-tu un jour me revoir Et boire à nouveau cette eau Sans aucune crainte de moi Mon ami l'oiseau Tu vas bientôt partir Alors je gard

Je procède à des changements Dans ma vie domestique Je procède évidemment Par étapes extatiques Je pense à des formules toutes faites Qui tiendraient dans ma tête Je suis design Et tout en bois Je suis l'homme IKEA Jamais un pli Toujours très droit J'obéis Et tout me va ! Je damne ma vie au rangement Aucune faille psychologique Chez moi ?

C'est plein de rats qui volent Et d'égouts qui chantent faux, Plein de maux qu'on racole De métro en métro... Les statues sourient sourient plus non, On voit même plus leur nez, A force d'avoir d'avoir vécu, Son charme s'est usé... C'est sale et puis ça pue, C'est pas vrai mais j'dis ça Car depuis qu'on ne se voit plus plus, Je hais Paris p

" J 'ai le sentiment que toute ma vie dépend de cet instant précis. Si je la rate..." "Moi je pense le contraire. Si on rate ce moment, on essaie celui d'après et si on echoue on recommence l'instant suivant. On a toute la vie pour réussir."

C'était bien avant lorsqu'elle arpentait encore les rues, elle allait fièrement au marché avec son cabas en osier, courrait derrière le bus le bras tendu pour que le chauffeur la remarque et s'arrête enfin. Elle marchait longtemps dans les rues, les ruelles en ville, à la campagne, n'hésitait pas à monter sur quelques cageots de bois ou tal

H ier, c'était comme le temps que vous avons aujourd'hui, gris, fade, solitaire... Je marchais, non pas sous la pluie, mais simplement dans un certain quotidien qui mène doucement vers une petite monotonie tranquille. Les jours se suivaient et se ressemblaient, mais les rêves étaient là, les idées vues dans quelques magazines, des envies de j

E crire. Je ne peux pas. Personne ne peut. Il faut le dire, on ne peut pas. Et on écrit. C'est l'inconnu qu'on porte en soi écrire, c'est ça qui est atteint. C'est ça ou rien. On peut parler d'une maladie de l'écrit. Ce n'est pas simple ce que j'essaie de dire là, mais je crois qu'on peut s'y retrouver, cmarades de tous les pays. Il y a une f

L a peur, l'enfouissement des souvenirs nous poussent à nous retrancher et aujourd'hui encore beaucoup d'entre nous n'osent pas avancer parce qu'ils ont la crainte de voir ressurgirent une ou plusieurs parties de leur mémoire et une certaine mise à nue d'eux même. Aujoud'hui encore il faut une détermination plus forte que jamais pour à nouvea

On ne peut pas pleurer sur le sort de tous les animaux et puis faut bien se nourrir aussi. C'est pour ça que la plupart d'entre nous considère la souffrance des animaux comme un mal nécessaire, en évitant d'y penser plus que ça. De toute façon, qui a vraiment envie de savoir que la vie d'une poule dans un élevage moderne tient dans l'espace