Sans cesse réaffirmer la confiance s' accorder au bonheur que la nature tisse en silence dans la continuité des jours en ce monde où la réalité ébranle nos émotions donne vie à la souffrance * en silence accueillir un autre langage que le bruissement des feuilles auprès de l'arbre traduit quand l'âme devient puits où goutte à goutte le
Carmen Atonati
Carmen Atonati
La peinture est ma première passion. Un jour la poésie a surgi dans ma vie ; et l'écriture a joué avec mes images.
Un blog pour partager mon univers de rêves, de couleurs et de poésie.
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13/10/2010
Categorie :
Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
. depuis dix-sept ans son regard retenait tout, de nos faits et gestes. nos souvenirs se sont étoilés un jour de mai quand son souffle s'est éteint. les grillons chantent fort, et les chats sont si calmes - signe que tina était d'une présence bouleversante. après les larmes, grosse était la fatigue et le sommeil bienvenu m'a encore une fois
« les choses du réel ne me font pas peur, seulement celles qui sont au fond de moi. » francesca woodman. jeunesse dans ta hâted'apercevoir la viede l'autre côté du miroirtues celle qui___ tombéedans sa chute a laisséparler les clichésdans un gouffrepuisés. ton âmesoumise à l'éclair--rage de terrea fausséla notequiréellerepoussaittes
Ma petite perle mon infinie tendresse restée dans l’eau du liquide amniotique céleste. en mon cœur fermé comme une huître aucun appel de détresse – audible . je me noie dans le ciel d’août où cillent des étoiles – elles ont tes yeux si haut percés – et lors des fêtes de fin d’année un parfum de muguet descend une rivière de
L'eau, notre essentiel ô coule à gorges déployées des fontaines lointaines. la lumière timbre le pli du jour,chaque jour que le surlendemain ouvrira à moins qu'il attende le temps des vacances ! dans notre tour d'ivoire nous bravons la genèse de nos difficultés avec au coeur le désir primordial de passer pour un individu fort et autonome d
La compassion survient au point zéroquand tout espoir,abandonné, nous laisse las.comme émergeantdu soi qui n’a plus de forceni pour la lutte, ni pour l’amour,un geste gratuit vient nous saisir. .quand à nos côtés l’aimédésavoue ses sentimentsn’offrant que le videde sa présence impuissante- même à l’heure mourante -c’est l’
"dans l'arc d'un regard de caryatide", tel est le titre du recueil de poésie que je vous propose à la lecture. ces poèmes je les ai pensés comme un hommage à francesca woodman, jeune photographe américaine dont les clichés ne cessent d'interpeler un nombre toujours plus grand de personnes. elle est partie trop tôt, à vingt-deux ans, au roy
Un temps habiter la terre de nos errances jusqu’à l’heure où l’humus de la vie nous rappelle l’arbre, ancestral alors germe l’idée d’une cabane dans les bois d’un nid dans un chêne d’une fleur qui saurait tout de nous mais nous ne savons lever que des actes poétiques nos prophéties, nous les écrivons sur cloisons de papier el
Photographie : francesca woodman
"comment devenir le décor" pensait francesca, cette photographe si singulière, qui n'a jamais vu grandir son oeuvre. "faut que je fasse couler les choses, écrivait-elle, plein d'air dans la tête aujourd'hui..." demain, le soleil peut briller, alors aujourd'hui sors fouler les tas de feuilles et jouer dans la nei
Illustration : dali, 1925 elle s’appelait apolline et elle aimait les oiseaux l’heure n’était pas à l’écriture. é lise installa son fauteuil face à la fenêtre, de sorte que le jardin lui offrit toute sa splendeur en cette journée de printemps. elle plaça avec précaution sa colombe sur ses genoux, la couvrit de la chaleur de ses pau