Faire confiance. En ce qui nous rend heureux, En ceux qui nous rendent heureux, Prendre la sincérité là où elle se prouve, sans effort et sans crainte. Le doute peut se justifier par milliard, le prétexte est facile. Et si c'était ce pessimisme et ce foutu doute qui entraînaient le drame ? Les perpétuels rappels de nos échecs, déceptions
ZaZou
ZaZou
Ses blogs
Pensées Simples
Textes, fictions, bavardages, trop courts ou trop longs, incompréhensibles et peut-être à l’orthographe approximatif...
ZaZou
Articles :
6
Depuis :
31/03/2016
Categorie :
Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
Comme le temps a passé, Comme la peur s'est installée En l'espace de quelques années ! Nous, que nous pensions invincibles, Dans notre courageuse naïveté, Notre fougue et notre confiance indicible, Nous avions pensé, en ces temps plongés dans l'obscurité Voir soudain la vie éclater. Surgir une chance inouïe. Les années ont passé, Un lie
Ils ont vendu leur âme et franchi la frontière de l'horreur, Se sont rendus aux mains de l'abstraction de l'humanité. Abstraction de cette conscience de l'homme, du corps et de la douleur. Ils renient la vie, le monde, eux dans le monde, en ont fait un rêve sanglant Où tout est permis et plus rien ne les arrête. Sans jamais se dire : "Comment
Nuit blanche. Une clope et je vacille. J'aurais voulu apprendre l'indépendance, l'autogestion, à ne plus vivre pour le regard de quelqu'un. Mais l'angoisse et l'anorexie refont surface. Je tremble. Je suis vidée. Je suis faible. Pokerface. Il ne faut pas que je rate cette étape, que je m'accroche au guidon tant bien que mal. Limiter la casse. A
Le mensonge qui berce l'enfance vient de tomber son masque. Qui es-tu ? Je suis toi, toi, toi. Je suis un monstre aux dents aiguisés et à l'haleine fétide. J'ai toujours été là car je suis toi. Les souvenirs prennent une toute autre teinte à présent ? C'est normal. Bienvenu dans l'autre monde, Alice... Voyons comment tu t'en sors ...
A cinq jour de Noel, je me sens piégée comme un rat. A dix jours de la fin du mois, à seize jours de la rentrée, j'ai l'angoisse qui monte et me bouffe, bouffe pleins de gâteaux. J'ai les jambes en compotes, j'ai le coeur qui vacille, j'ai des bleus plein les bras. A un mois de la vingtaine, A jamais de l'utopie, A peut-être de la raison. J'a