Emmanuel courcol, le réalisateur d'en fanfare, est un excellent scénariste. outre le scénario de son premier film, le très agréable un triomphe, on lui doit également ceux de welcome ou de mademoiselle, par exemple. il y a dans son écriture une sécheresse, un sens du rythme et une finesse qui rendent ses films extrêmement efficaces et émo
Chris
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Films, TV & Vidéos
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L'immense mérite de ce film documentaire réalisé à huit mains (deux réalisateurs palestiniens et deux israéliens) est de faire ressentir presque physiquement la violence de la colonisation en cisjordanie. l'arbitraire des actions de destruction des israéliens, la résilience digne de sisyphe des palestiniens qui semblent toujours en capacit
Curieux de découvrir le phénomène qui a attiré plus de dix millions de spectateurs français en salle, j'ai profité de son arrivée sur canal+ pour découvrir le film d'artus. je m'attendais à beaucoup de choses mais pas vraiment à cette comédie à la fois extrêmement modeste et réalisée d'une façon hyper-efficace. pour commencer, dison
Serebrennikov, c'est l'escalade permanente vers toujours plus de virtuosité. les mouvements de caméra dont le réalisateur russe est friand trouvent ainsi dans ce film une expression complètement folle, dans un plan qui voit l'acteur ben wishaw passer de décor en décor d'un seul élan, changeant d'époque à chaque fois qu'il ouvre une porte.
Premier film d'une jeune réalisatrice, diamant brut révèle également une toute jeune actrice qui crève l'écran et dont on a pas fini d'entendre parler, malou khebizi. nous sommes dans la banlieue de fréjus, dans un milieu défavorisé et une famille exclusivement féminine : liane, qui se rêve en star de télé-réalité, sa mère et sa pet
Voici une oeuvre conceptuelle par excellence. miguel gomes nous propose de suivre en alternance deux sujets : le périple de personnages dans des décors de studio en carton-pâte d'une part, et des images actuelles des mêmes lieux filmés comme le ferait un touriste allemand aviné avec un vieux caméscope, d'autre part. le tout dans un noir et b
Pas facile de dire du mal de ce film très consensuel, traitant sous forme de conte la shoah. et pourtant rien ne va dans la plus précieuse des marchandises. l'animation 2d proposée par michel hazanivicius est d'abord d'une pauvreté rédhibitoire : si les illustrations sont "jolies", elle pâlissent en comparaison de ce que l'animation propose a
Rattrapage canal+ le précédent film de david leitch (bullet train) m'avait plutôt plu. j'avais apprécié son énergie survitaminée, son rythme imparable, l'utilisation parfaite d'un casting étonnant et enfin un goût pour la surenchère qui semblait sans limite. dans le scénario de the fall guy on retrouve l'aspect débridé de son prédéce
A voir sur apple tv beaucoup de bonnes fées se penchaient au-dessus du berceau du nouveau film du britannique steve mcqueen : la fabuleuse saoirse ronan, la perspective d'une odyssée dans le londres de la seconde guerre mondiale, une ambiance à la dickens sous les bombes, des seconds rôles étonnant issus du rock (paul weller et benjamin clemen
Rien de bien original dans cette nouvelle production d'emmanuel mouret. nous sommes toujours dans la gamme à la fois drôle, caustique et légèrement dépressive de ses derniers films. ici la narration se déplace à lyon, et débute par une voix off d'outre tombe, ce qui constitue deux (légères) nouveautés. pour le reste on se retrouve en ter