Torturé par des illusions captifs dans l’obscurité, les ombres hantent mes nuits effrayantes, des souvenirs forgent mon imaginaire, torrents de douleurs que je ressens, solitaires. torturé par des illusions, médicaments pour croire en mes mensonges, les folies envahissent mon esprit, mes sentiments lentement paralysés, sans répit. des cendr

Les murmures de la lune perchée dans le ciel étoilé, la lune observait, son regard lumineux, immuable, jamais ne vacillait. toujours présente, qu'importe la nuit ou le jour, la lune veillait, gardienne des cieux, avec amour. ses yeux d'argent scintillaient dans le silence, révélant des secrets anciens avec une douce élégance. en silence, el

Versets de l’âme perdue de ce qui surgira dans la nuit, la pression monte, l’acier rugit. un royaume sculpté d’os et de chair, dans cette profondeur, je paie mon dû amer. l’âme perdue face à la mer obscure, ciel d’automne, d’ombres si pures. des fissures sur la vitre, non asséchées, des larmes que j’ai versées, isolée. façon

Les nuits du corbeau perché sur la branche la plus haute de l'arbre ténébreux, un corbeau observait le monde, d'un regard mystérieux. son œil fixe et perçant, jamais ne vacillait, peu importe l'heure, la nuit, le jour, il veillait. ses yeux scintillaient d'une malveillance muette, chaque reflet, une promesse de sombres conquêtes. en silence,

Les ciseaux de la nuit allons là où la lumière faiblit, écoutons quand l’ombre nous dit. les murmures des royaumes cachés, le temps en pierre s’est figé. le silence s’est évanoui, le ciel mort s’est enfui. au-delà de notre pâle mortalité, voyons et perçons la réalité. là où les damnés dansent en transe, les trompeurs du dieu

L’ironie de l’existence et l’éclat de l’espoir lueur dans l’abîme une certaine réalité, si complexe et vraiment ironique, la vérité vacille, oscillant au bord de l’abîme tragique, des ombres mystérieuses et des crépuscules surgissent, seule la vanité, en résumé, dans ce monde subsiste. la poésie magnifie son ego et les dés

Mélancolie en couleurs accablés par une mélancolie écrasante, les mots restent tus, inexpressifs et flottants. un calme si morose, une tristesse si profonde, comme si l’obscurité était tout ce qui m’inonde. et les couleurs, éclatantes, piquant mon regard, sont l’essence vitale d’un public en écart. en ovations incessantes, elles s

Les murmures de la nuit dans l’obscurité éternelle de la nuit, une âme égarée se déplace sans bruit, brisée par la douleur de l’oubli, elle cherche une lumière, un doux répit. des spectres l’entourent, murmures et soupirs, leurs voix résonnent, échos de vieux désirs, une chose, une seule, lui était essentielle, elle la désirait

Le chant des démons dans mes heures les plus noires, tu es toujours là, accueillant mes ténèbres avec tes bras froids. je plonge mon âme dans le carnage, prenant le meilleur, laissant le naufrage. navigateur de la folie, mes rêves s’élèvent, vers des sommets où la raison s’achève. tu bois ma douleur pourpre, absorbes ma force, me lais

Le grimoire de l'âme et des mots les pages se déploient, traçant leur chemin, l'âme effleurée, cherchant son destin divin. tisser des sortilèges avec des mots enchantés, chaque page frémissant sous l'acte de la création passionnée. un mariage éternel avec le papier sanctifié, mon esprit, la lune, brillamment éclairée, les mots jaillis