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Katleen de Drogeda

Katleen de Drogeda

J’ai attrapé tout mes rêves,qui se sentant à l’étroit,me bousculaient sans aucune trêve,me mettant le cœur en haut, en bas. Un jour où le repos venait comme un seigneur,s’étendre sur ma couche délaissant mes humeurs,ils sont arrivés
Tags associés : poesie

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Le blog de Katleen de Drogeda

Il y a des mots qui tombent, seuls comme une pomme, Deux roses entrelacées, joignent l’envol des cigognes, Des billets remplis de bleus, abandonnent leur quartier, Une arabesque valse seule immobile sur le papier. De purs esprits murmurent, des mots tout tremblants, Que poussent des nuages sur un vieux cahier tout blanc.
Katleen de Drogeda Katleen de Drogeda
Articles : 60
Depuis : 12/09/2008
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

DOUCE 

Ma douce ne pleure pas le monde est ainsi, te voilà loin de moi et mes jours eux s’enfuient. Ma douce ne t’en va pas tes pas sont si légers, que le vent les transporte vers des lieux honorés. Ce jardin accroché brillant comme un diadème, ne sont que des nuages miroitants tes cheveux, Loin tu es de moi et mes jours eux s’enfuient, mon cœ

L'ABANDON

Dans le jardin à la senteur de fraises, de lilas blancs de roses fanées, Sous la tonnelle de satin bleu,u ne vieille dame ferme les yeux. Aussi pur qu’un diamant, ses pleurs sur son teint de pêche, Ne lavent pas sa mémoire,de son chagrin si pesant. L’arbre au milieu de la cour, e ntouré de son mur si haut, À l’enfant appuyé en silence,

LES OUBLIES

A ceux qui crient et pleurent leur solitude Aucune nourriture sauf la tendresse Ne peut nourrir un cœur. Quand ces derniers sont recouverts de la poussière de l’oubli Ils meurent. Ont’ ils mérité une telle indifférence Ces êtres qui ont passé des heures à vous veiller Ont ‘ils engendré des êtres aussi insensibles Parce que trop choy

LA SINGULIERE Léger comme une plume, le maître du vent, Demande à la lune,

LA SINGULIERE Léger comme une plume, le maître du vent, Demande à la lune, une tenue d’argent. Mais la capricieuse qui est malicieuse Lui offre un manteau couleur coquelicot. Le soleil taciturne, n’a pas envie de s’amuser Son entrevue avec la lune, fut de courte durée Pourtant il a cru voir, brillé un peu ses yeux Pourtant il a cru voir,

L’Attente

Appelle-moi pour me dire que tout va bien, Il n’y a que ton sourire qui habille le matin, Je préfère entendre tout tes mensonges, À ce silence si fort qui me pèse me ronge. Tellement perdue dans mon chagrin, Ton corps défendu hante notre jardin. L’ombre de la nuit soupèse mes songes, Ton cœur resplendit, le mien reste sombre. Appelle –

ÉCLAT.

Ils marchaient devant moi, h eureux à petits pas, d e vieux et de vieille, Le parc était fleuri, sans doute un vieil ami, de leur vie accomplie. Tout habillé de blanc, il portait fièrement, p our plaire à sa Cosette Sur sa veste en lin, qui sentait le parfum, un bouquet de violette. Accroché à son bras, i l chantonnait tous bas, des airs con

LE BOS

Le matin au bureau il essuie ses carreaux, hurle à sa bonne fée qu’il voudrait bien son café, aujourd’hui jour de fête dans sa pauvre tête, une seule requête sa nouvelle conquête. Ce matin au bureau le soleil c’est fait beau, la p’tite fait son entrée il est entrain de gamberger, un butin désiré qu’il est fier de montrer à tous

LA DEMEURE

Comme une petite quille reposant sur les eaux Comme un fétu de paille balloté par les flots Cherchant une demeure un endroit de douceur Pour mettre à l’abri tous les débris de leur vie. Comme un vagabond morceau de l’univers Comme l’oiseau blessé continuant de planer Cherchant une demeure un endroit de douceur Pour déposer leur peur dan

DE QUOI T’AS PEUR ...

De finir planqué dans un trou à côté d’un mausolée à moitié effacé, De quoi t’as peur… D’être recouvert de laurier, d’un jeté de fleur mouillée par les sanglots de l’être aimé, De quoi t’as peur... De l'étape de la chenille ou celui du papillon abreuvé de lumière dans l’hémisphère, De quoi t’as peur... Orphelin d

L'ELUE

Vers le jardin il l’emmène, humant au passage le doux parfum du jeune corps, é trange comme l’orage, dont on peut dans le ciel suivre les efforts. Les pas de l’homme accompagnent ceux légers, de celle qui pourrait n’être qu’une enfant, qui c huchote de sa voix charmante, de petits riens qui lui trouble l’âme. Tout est si pur dans c