tu erres le long des trottoirs et de tes regrets, enterre toutes ces histoires viles et périmées et va, marcher sur les traces du jour qui se lève, là-bas, pour que rien n'efface l'aube de tes rêves. Regarde, il y a du soleil jusque dans tes nuits pour peu que tu te réveilles loin de cette pluie qui tombe le long de ta vie lorsqu'elle est dou

Seul, il écoute, lorsque la nuit s'avance ce goutte à goutte que fait dans le silence chaque seconde qui passe lentement dans cette ronde que compose le temps. Seul, il écrit des mots sans importance qui par magie retrouvent tous leurs sens car ils expriment comme dans un refrain, avec des rimes, ce qu'il veut dire en vain. Puis, il efface tous

Y'a des bagages sur le trottoir comme un mirage de départ. J'vois dans tes yeux l'ultime espoir de vivre mieux, mais sur le chemin tortueux, y'a du brouillard, y'a son emprise dans ta mémoire et tes valises sur le trottoir. J'sais pas très bien l'heure du départ du dernier train. Je t'attendrai là où tu vas, je porterai aussi le poids de tes

Passent les mois, les soirs d'hiver, il n'y a plus grand chose à faire. Je ne sais plus d'où vient le vent, j'envoie des mots sans importance qui viennent briser le silence et que personne ne comprend. Passent les mois et les années, passent les enfants qui grandissent, qui n'oublient pas de s'amuser avant que les vacances finissent. J'envoie de

Derrière un échiquier trop sombre, j'voudrais me cacher, n'être qu'une ombre, une illusion dans la bataille, une omission dans l'arsenal, le pion manquant qui s'est planqué, qui est pas content, qui veut pas jouer. Combien de pions sur l'échiquier faudra t-il encore avancer avant qu'une voie se dessine et que le combat se termine ? J'veux pas

Sectes en tout genre, vous me donnez une nausée bien légitime, car vous piégez nos libertés. Je vous dis "merde", vous êtes indignes d'un monde en quête d'humanité dont vous exploitez la détresse pour pouvoir le tenir en laisse dans le but de vous engraisser et dans celui de dominer. Prudence ! Les sectes sont sournoises par leurs attitudes

Si j'étais Dieu, je s'rais pas fier de tous ces assassins pervers qui en son nom, tuent froidement des cœurs d'enfants, des innocents, lui qui voulait le bien sur terre, que tous les hommes deviennent frères. Mais, dites-moi, ont-ils un coeur tous ceux qui sèment le malheur, tous ces pantins qu'on manipule, aussi crétins que ridicules, tous ce

De déceptions en coups d'arnaque, des illusions comme des claques, il y a des jours où tout vous ment, de l'ombre autour des bons moments. Je partirai en laissant tout, et j'irai, j'irai jusqu'au bout d'un lendemain que je devine et d'un destin que je dessine. Des idéaux au fond de l'âme et dans le peau juste la flamme d'un horizon que j'imagin