Si on se met à vibrer de la peur, on donne l’ordre à l’Univers de nous faire vivre des situations où on a l’occasion de sentir cette peur. Franck Lopvet. Tu n’as plus peur, vraiment ? Non, c’est pas tout à fait vrai… par contre je n’ai plus peur, en permanence, de tout et de rien. Ma psy m’a congédiée. Quelle étape importante

Si je vibre à longueur de temps : « le monde est agressif, le monde est dangereux », je finis par faire une expérience concrète qui me prouve mon système. Ça c’est la règle du jeu. Tout ce que tu croies devient vrai ! Tu en auras forcément la preuve… Car ce que tu croies devient une vibration que tu émets autour de toi : c’est ton c

L’automne arrive et je mesure enfin le chemin que j’ai parcouru en neuf mois : le temps d’une grossesse. J’ai l’impression d’avoir accouché de moi-même. Mais qu’est-ce qui a tant changé, en fait ? Le plus flagrant c’est la disparition de la plupart de mes peurs invalidantes. Vraiment ! L’hypnose a sûrement été très importan

Le 5 de ce mois, c’est mon anniversaire. On organise un grand week-end de fiesta avec tous nos potes : thème de la soirée déguisée : « la musique » et je fête mon vieillissement en même temps que mon meilleur ami, qui est du 15. Je suis ultra gâtée : AirPods Pro, foulard et robe Zadig & Voltaire… Malgré tout, je rêve de lui souvent

La routine du confinement est bien rodée. Matin, petit café au soleil avec le pain acheté à la mairie (dans mon village les élus ont mis en place un service de boulangerie à la fenêtre de la mairie, qui est en face de chez moi, de l’autre côté de la jolie place). Écriture de mes trois pages du matin, pour sortir de ma tête ce qui pourr

Je lis désormais les « cinq blessures de l’âme qui nous empêche d’être nous-même » de Lise Bourbeau. Elle insiste sur le fait que l’acceptation véritable est la première étape et la plus importante pour faire diminuer ses blessures. Et moi, malgré toutes mes bonnes intentions, je suis loin d’accepter la situation. Je comprends av

Début mai, le confinement court toujours. Avec sa douce routine. Je médite, encore. Quand je sens la douleur trop forte dans la journée, c’est là que je décide de partir en balade. Même si mettre en marche mon corps physique n’arrête pas mes pensées, j’ai l’impression de traverser ma douleur plus facilement avec le mouvement. Et ce

Le mois de juillet vient à peine de commencer et la nouvelle tombe comme la foudre sur ma tête : je reçois par mail une réponse positive d’un éditeur qui accepte de prendre mon petit roman pour les 8-10 ans. Le délai de latence des trois mois étant dépassé, je ne m’attendais plus à recevoir de réponse positive et j’en suis complèt

Voilà qu’avec cette manie de la gratitude, je me mets à regarder le monde du côté positif de plus en plus souvent. Et ça change presque tout : j’ai des problèmes insolubles à résoudre… chouette ce sont des challenges à relever ! Premier exemple : mon MacBook. En voulant le réinitialiser en janvier je l’ai complètement planté et

Je ne retravaille toujours pas. Le petit garçon dont je m’occupe a été retiré de chez lui et placé en famille d’accueil pendant le confinement, il ne retournera pas à l’école dans laquelle je suis affectée jusqu’en juin. Il fait beau. Je vais mieux, je conserve les moments d’introspection mis en place pendant le confinement (médi