Pas encore inscrit ? Creez un Overblog!

Créer mon blog
Carlo Zerba

Carlo Zerba

prof Liceo classico "Cairoli" Varese

Ses blogs

Levertparadisdesamoursenfantines.over-blog.com

Quoi? L'éternité!!!
Carlo Zerba Carlo Zerba
Articles : 35
Depuis : 25/08/2013
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

Marcel Mouloudji : Vingt ans après sa disparition -"Comme un p´tit coquelicot"

Marcel Mouloudji : Vingt ans après sa disparition -"Comme un p´tit coquelicot"

RFI Musique Marcel Mouloudji, l’enfant obstiné : Vingt ans après sa disparition Le myosotis et puis la rose Ce sont des fleurs qui disent que´que chose Mais pour aimer les coquelicots Et n´aimer qu´ça, faut être idiot T´as p´t-être raison, oui mais voilà Quand j´t´aurai dit tu comprendras La première fois que je l´ai vue Elle dorma
Marcel Proust : Antoine Compagnon et Pierre Boulez

Marcel Proust : Antoine Compagnon et Pierre Boulez

« Longtemps, je me suis couché de bonne heure. Parfois, à peine ma bougie éteinte, mes yeux se fermaient si vite que je n’avais pas le temps de me dire : « Je m’endors. » Et, une demi-heure après, la pensée qu’il était temps de chercher le sommeil m’éveillait ; je voulais poser le volume que je croyais avoir encore dans les mains
Festival de Cannes  2014

Festival de Cannes 2014

Marcello Mastroianni "8 et 1/2" de Federico Fellini     Hervé Chigioni et son graphiste Gilles Frappier ont conçu et réalisé l’affiche de la 67e édition du Festival de Cannes à partir d’un photogramme  tiré de Huit et demi de Federico Fellini, qui fut présenté en Sélection officielle en 1963.   Cannes 2014   8 et 1/2 "À voir
Georges Brassens: "Les amoureux des bancs publics"

Georges Brassens: "Les amoureux des bancs publics"

  C’était sur un banc public ?  …Non, non ... dans un pré !     Les gens qui voient de travers Pensent que les bancs verts Qu'on voit sur les trottoirs Sont faits pour les impotents ou les ventripotents(1) Mais c'est une absurdité Car à la vérité Ils sont là c'est notoire Pour accueillir quelque temps les amours débutants Les amo
Marcel Proust « Nymphéas »

Marcel Proust « Nymphéas »

Monet Les Nymphéas L’extrait se présente comme une description ... qui aboutit à un tableau impressionniste Mais plus loin le courant se ralentit , il traverse une propriété dont l’accès était ouvert au public par celui à qui elle appartenait et qui s'y était complu à des travaux d'horticulture aquatique, faisant fleurir, dans les p
Montaigne : "De l’amitié"

Montaigne : "De l’amitié"

  Au demeurant, ce que nous appelons ordinairement amis et amitiés, ce ne sont qu'accointances et familiarités nouées par quelque occasion ou commodité, par le moyen de laquelle nos âmes s'entretiennent. En l'amitié de quoi je parle, elles se mêlent et confondent l'une en l'autre, d'un mélange si universel qu'elles effacent et ne retrouven
« Scorpion » Bernard Lavilliers

« Scorpion » Bernard Lavilliers

Comme le scorpion mon frère Tu es comme le scorpion Dans une nuit d'épouvante Comme le moineau mon frère Tu es comme le moineau Dans tes menues inquiétudes Comme l'amour de mon frère Tu es comme l'amour Enfermé et tranquille Mais terrible mon frère Comme la bouche d'un volcan éteint Mais tu n'es pas un - hélas - tu n'es pas seul Tu es des
Stromae "Ave Cesaria"

Stromae "Ave Cesaria"

Ave Cesaria est une chanson hommage à Cesaria Evora, chanteuse Cap-Verdienne, surnommée “La Diva aux pieds nus”. C'est d'ailleurs les musiciens de la chanteuse qui jouent cet A ve. «J’ai eu la chance de la rencontrer une fois juste un peu avant qu’elle nous quitte, à la Réunion au festival Sakifo. J’aurais bien voulu lui proposer une
Gregoire"Rue des étoiles"

Gregoire"Rue des étoiles"

  Allo, là je suis dans le bus Le 41 pour vénus, Celui qui va jusqu'à mercure J'ai pas pris la ligne vingt et une Y avait trop de monde sur la lune Il fallait descendre à l'azur Et toi où es-tu dans l'espace Attends je n'entends plus je passe Dans un tunnel d'astéroïdes Tu disais avant le trou noir Que tu n'irais pas voir ce soir Ta sœur e
Roland Barthes : Extrait de la Leçon inaugurale au Collège de France, le 7 janvier 1977

Roland Barthes : Extrait de la Leçon inaugurale au Collège de France, le 7 janvier 1977

La littérature prend en charge beaucoup de savoirs. […] Cependant, en cela véritablement encyclopédique, la littérature fait tourner les savoirs, elle n'en fixe, elle n'en fétichise aucun ; elle leur donne une place indirecte, et cet indirect est précieux. D'une part, il permet de désigner des savoirs possibles - insoupçonnés, inaccompli