Thème de ce jeudi: "Ni maître ni géomètre", je ne suis pas d'accord avec ce slogan parodique du célèbre "ni dieu ni maître" que j'apprécie guère non plus, le mot maître étant là très réducteur ...
Nos maîtres Que serais-je advenu sans maître ? Un analphabète peut-être Sans doute un sot qu’on envoie paître Au mieux quelque pâtr
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Je viens de tomber sur ce vieux texte que j'avais écrit lors de la "visite" d'un tas monstrueux (des centaines de tonnes) de déchets "organiques" donnés par TRIVALIS (organisme de gestion des ordures ménagères et autres). à un "agriculteur" pour amender sa terre, Des milliers d'hectares ont ainsi été généreusement "enrichies", trente ans
"La perle rare", c'est le thème francissien de cette semaine... je vous avais promis un truc plus gai que la semaine dernière mais je ne suis pas sûr d'y être parvenu ... voici donc un dixain décasyllabique que je nomme "un are poétique", eh oui 10x10 m. J'ai déposé le brevet.
Perle rare Tout y est mystérieux mais pas hostile (*) La perle
Rassurez vous, ceci n'est pas une annonce de suicide, ce n'est qu'un petit poème un peu désabusé qui m'a été inspiré en croisant mon regard dans ma glace lors de ma première chimio... Le prochain sera plus gai je vous promets.
Regard J’ai le regard hagard De navoir plus d’espoir Je vais partir bientôt De la joie j’eu ma part D’amour
je ne vous dévoile pas le thème de cette semaine , ce serait déflorer mon sonnet...
Mona Mona, ravissante petite anglaise Qui croisa ma route un jour à Cabourg Rencontrée au tennis sur un court Des mollets d’acier et des yeux de braise Je lui offris une glace à la fraise Elle sourit accepta sans détour Je la couvais d’un regard de velour
Merci qui ? Merci Francis ! À l'annonce de ce thème, j'ai bien sûr râlé, pensant que je n'arriverais à rien... Et voilà, si ce n'est pas de la qualité, il y a du moins de la quantité. Alors, suivez-moi, flânez, rêvez, mais persévérez jusqu'au bout... Vous sentirez peut-être l'odeur de la noisette en pensant à Mireille et à Jean Noha
Thème évidemment d'à-propos en ces périodes de "fêtes". Dans ma famille on a jamais été très cadeau ( le nécessaire avant le superflu ) j'ai fait ce que j'ai pu... c'est un piètre cadeau, je vous l'accorde. Après relecture je m'aperçois que ces quatrains comportent dix-sept syllabes, de là à prétendre que ce sont des haikus...
Cadeau
J’adore Pas une seule émission Pas une conversation Où je n’entende encore Et encore le mot « j’adore » J’adore la sardine grillée J’adore le style Robbe-Grillet Les demoiselles de Rochefort J’adore, j’adore, j’adore Par tous les trous il me sort Par le nez, par le cul, par les pores J’adore le chant des cigales Et les sucett
Je viens de regarder ce film qui m ’ a inspiré le poème suivant. Pour ceux qui ne l'ont encore pas vu, précipitez vous sur le site de "reporterre" en accès libre « Sainte-Soline, autopsie d’un carnage », co-produit par Reporterre et OFF Investigation.
Deux poids deux mesures Vois ces mac’aqu’accapareurs Avec leurs énormes tracteurs Q
Pas de club ce jeudi mais je suis allé vendredi à un atelier d'écriture au même endroit et quasiment les mêmes participants. l'exercice consiste à écrire un poème avec quelques mots imposés... Sur les trois que j' ai composés, un seul me parait sauvable... voici les mots obligés : fleuve-louche-biscuit-tombe-barque-nénuphar.
Sur le Styx