87 ans... une longue interruption. La cause en est un cheminement hospitalier souvent douloureux, destiné à éviter la perte de l'usage de mes jambes. J'étais bien trop occupée pour avoir les idées claires. Mais voilà, je marche ! Et je reprends ma plume. J'ai écrit un texte dédié aux soignants, médecin et kiné, qui m'ont soutenue avec u
LHEZ-MAKSYMOWICZ
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Entre nous quelques mots
Ecriture au fil des jours sous le pseudonyme de "DUSZKA" textes inédits et mise en ligne de textes déjà parus libres de droits
LHEZ-MAKSYMOWICZ
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Articles à découvrir
L'âge avancé, la fatigue tenace, les articulations récalcitrantes... Cette année et définitivement, je jardine en carrés potagers. La production est plus confidentielle mais toujours diversifiée ! Suivez-moi !
Chou rave
Basilic
Poirée
Arroche
Chou kale
Persil
Pourpier
Cerfeuil
Aubergine
Sauge
Origan
Tomates
Salsifi
tétragone
Poivron
Pimen
Ce fut l'incendie. Une méchanceté du destin, terrifiante, dévastatrice, y compris dans l'âme navrée. La sollicitude des voisins, le soutien des enfants, le chagrin prégnant. Je perdais mon fils une deuxième fois, les souvenirs disparaissaient en fumée : sa voix que j'avais enregistrée avant de fermer son téléphone portable, ses livres, s
Extraits de la préface à "Le dernier jour d'un condamné" écrite par Victor Hugo 1832
Je commence la lecture de "Le dernier jour d'un condamné" et je m'arrête sur une préface que je ne connaissais pas de l'auteur, Victor Hugo. Je vais en écrire ici quelques extraits très significatifs. Elle vaut le coup d'être lue dans son entière écriture.On la trouve sur internet. " [...] L'échafaud est le seul édifice que les révolutio
Tous les saints font la fête ! Les bienheureux ! Et demain c'est "le jour des morts" ! Allez comprendre ! Nos morts ont la soupe des pauvres ? Il doit bien y avoir quelques saints parmi eux Avec de belles fleurs Posées au nom du souvenir L'amour dure, dure au fil des pensées secrètes Celles que l'on murmure avec le coeur Dans l'éblouissement d
La vie sans lui De retour dans la chambre, je caresse son bras encore chaud. Il est tel que pris par la mort à la recherche de ce souffle qui le fuyait. Un dernier regard et je pars vers cette bizarre vie sans lui qui a déjà commencé. La vie avec le manque. La vie pour le souvenir. Chez ma fille, je me love dans un silence cotonneux : la chaleu
Longtemps absente, je reviens "travailler" avec des photos et des textes… loin au moins provisoirement de mon "mur" nombriliste de Facebook. Je commencerai demain par des ciels merveilleux que je choisirai pour leur magnificence. A plus, très vite !
Tourments L'oedème et les douleurs ne régressent pas. On va faire un nouveau bilan. Parfois, il manie l'humour noir au téléphone avec sa soeur ou moi : "Allo, ici le pavillon des cancéreux ! " Cela nous fait mal, mais nous savons bien qu'il ne le fait pas pour nous faire souffrir : il nous dit à sa façon "je suis tout seul ici avec mon cance
Ma maison a brûlé Sous mes yeux Le désastre Devenue SDF Anéantie Souvenirs consumés Puis aller de l'avant Démarches épuisantes mentalement Gérer matériellement le retour à la vie Dans quelque temps le retour à l'écriture Avec la blessure en plus...
La sournoise s'installe (suite) (je reprends le récit au moment où je quitte la maison pour aller rejoindre mon fils à l'hôpital du Val de Grâce, de la gare des Mureaux à Paris) Je regarde le trottoir qui défile sous mes pas. Bon, voilà passé le premier virage. Puis le premier carrefour. Un nouveau virage que je prends à la corde pour all