J'aimerais tellement rêver sûr que vous n'en êtes pas le baume sans effet j'aime à m'imaginer, me souvenir, relever de royaumes de princes et non rat à défaire que suis-je ? vraiment cela ? que ça ? alors ces lignes, tableaux, édifices de pensées non-violences impossibles on aurait décrété qu'il n'y avait que privilèges sans nos récit

Les brindilles des pins sont bercées par la brise telle une chevelure le ciel azur en l'obscurité du regard acquise comme dressé un mur sinon le jour revenu enfin être à kiev malgré les roulements du tonnerre temps oubliés cris de la foule autre ville une victoire et au même instant cette étrange paix revoir l'orient où pourquoi des guerr

Nous avons été voir le livre de la jungle soixante-dix-huit minutes loin du collège et des élèves des skydomes de l'hôtel que nous apercevions depuis nos fenêtres sous lesquels chacun s'affairait d'efforts en générosités des augites dans les pierres aux arêtes acérées de ton village d'enfance des lendemains qui chantent des médecins,

Tant et tant d'amour nos vies d'enfants pouvoir l'écrire ces temps de pluie un poème par jour simples meubles en série jean le bleu bastide de provence reste présente écrin de neige éternellement l'odeur du feu de bois près d'ici stalactites sous le soleil de midi cette même rivière murmure inaperçu on ne se rend pas compte illusions allu

La vie, étrange affaire masqués tels des espions si grand marché de dupes l'homme mérite attention pitié, foi et passions voire de la vie la liberté et l'équité promises l'art, la poésie, toute la création peut se mettre à chanter te voilà soudain triste dépression attendue abandonné, blessé épaulée la victime trouve à te ressourc

Les temps perdus ne nous ressemblent pas en quoi sommes-nous identiques en fait suspendant nos harpes aux branches des saules dans l'attente d'un amour déçu trop souvent hésitants tournés vers les idoles pour lesquelles on se ment d'autres réalisaient cela heureux en tout nous découvrons les lumières dans les interstices dans la pénombre de

Aurais-je une recette pour les années évanouies depuis une éternité les départs annoncés et les couples défaits les âmes pures embrassées d'un rempart aiguisées sous emprise telles des épées les maisons anciennes d'un chaos d'herbes hautes et de branches brisées aux souvenirs parmi les draps étendus des rires hauts devenus de cette ju

Pris dans les débats de la rivière du présent les mots, rocs qui affleurent sont devenus si durs solitude, spectres, mercenaires ou blessures qui sait ensemble peut-être retournant sur un lac éternel est-il un abri ? veille-t-il immobile ou tempétueux ? où êtes-vous tablées entières ? une sœur ainée marchait le long de la voie jamais em

Enfin maintenant il sait dans une autre ville ou un pays ami nul soldat se tenant à la porte ni fracas de hauts cris il doit être souffrant plus d'une décennie ceux qui enfermaient plus sûrement les hommes simples de la sorte que les héros d'un enfant eux qui restaient les siens fidèle droit et rien avec hubris tout dirigeant idolâtrés lui

J'ai longtemps erré trop à droite. les années 80 touchaient à leur fin. les manifestations de ce qu'était le front national étaient festives, on y croisait des personnes moins européennes, en particulier d'anciens harkis. avec un père inconnu musulman et un grand-père portugais, j'y trouvais une place. j'étais paradoxalement en même temp