L'histoire rien que l'histoire d'un pays à 2 noms israël et palestine après le ier siècle ier siècle : avant 70 : la population de jérusalem était estimée à environ 600 000 personnes par l'historien romain tacite, atteignant 1 million pendant les fêtes religieuses. en 70, après la destruction du second temple par les romains, toujours se
CHEVAL FOU (Jean-Michel Sananès)
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CHEVAL FOU (Jean-Michel Sananès)
Ecrivain - Poète
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CHEVAL FOU (Jean-Michel Sananès)
Aucune nuit n'est plus large que le rêve
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10/01/2007
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Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
Qui es-tu, fils d’un rêve qui n’existe plus, toi qui erres parmi la multitude des voix oubliées, égaré dans l'immensité des millénaires, cherchant l'harmonie sans jamais la rencontrer ? comme toi, j'ai marché, de qui j’étais à qui je suis, n'étais-je qu’une rumeur qui se croyait homme quand le poète est parti ? aussi un jour je p
"relève toi" disait mon père… il fait neige il y a du sel dans mes cheveux je me suis coincé un doigt dans le silence mon enfance est tombée j’ai peur j’ai mal j’ai des bleus à l’âme dehors il y a le tic il y a le tac il y a la vie qui m’emporte et le vent qui s’épuise chaque matin j’écoute battre la rumeur et une étoile pl
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Il n'avait pas mon âge le vieil homme qui veillait sur les enfants d'en face,* les amenait par la main à la maison de soins. un vieil homme revient, il n'avait pas mon âge, entre deux enfants et une mère il revient d'une terre sans âme où le martyre mange le vivant. là-bas, dans les dimensions de la colère, les stratégies du mensonge jouen
Dors mon enfant partout au monde les moutons mangent l’agneau noir je suis un mode irrégulier du verbe aimer on me décline en émissaire l'agneau noir, le bouc, la chèvre j’égrène le devoir de vivre et de penser j’appelle au droit à la différence dors mon enfant grand père est parti il est en nous dors mon enfant ils reviendront les m
À ceux qui croient sans haïr à ceux qui aiment sans frontière dans la transparence de la douleur j’écoute l’infinie supplique du cri de vie j’appelle la présence de l’universelle absence crépite comme une blessure en fête partout ceux qui t’invoquent ont des convictions plus fortes que la vérité partout ils chantent la mort et l
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Les mots de pierre cressant auraient suffi, mais certaines photos me parlent. de quoi se font-elles l'écho ? font-elles de moi un vieillard à sa fenêtre, penché sur la vie, courbé sur l'attente d'une voix, d'un visage qui s'estompe dans les méandres des mémoires ? ou ne suis-je qu'un moment d'effroi perdu dans l'infini, un œil qui s'accroch
Tombé du ciel sur un quartier de dernière lune, le rêve se débattait sur un coin de table comme une crevette échappée de son sushi. à vouloir voler trop haut, comme un super-héros myope, il avait culbuté l'ennui, perdu l'abécédaire de gros mots, ses calembours, et sa dignité. en fait, son atterrissage dans l'assiette de l'ogre l'avait f
Majuscule la question m'a toujours habité. l'oublierai-je un jour ouvrant une place aux certitudes ? deviendrai-je un errant parmi les apparences oubliant que chaque arbre, chaque envolée d’ailes de feuilles, de saisons, de jours est une part du mystère qui enfante cette question ? elle, toujours là, intrinsèquement là, elle qui précède m