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F. B.

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partant du principe que seule la poésie peut sauver le monde, j'ai décidé de me consacrer à cette arborescence de mots, de lettres, pour mieux appréhender le monde et les être...

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Un journal, des réflexions, des lecture, de la poésie et quelques envies
F. B. F. B.
Articles : 318
Depuis : 03/07/2013
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

Le monde d'hier - Zweig

Le monde d'hier - Zweig

08/01/22 Je lis ce matin Le monde d’hier de Stefan Zweig et je suis subjugué d’emblée, immédiatement saisi par la fluidité de cet esprit. Le bonheur de lire des phrases aussi bien construites, qui malgré la traduction ne perdent rien de leur perspicacité, de leur souplesse. Ces phrases serpentant entre les pages comme des fleuves paisible
Faire confiance à la vie

Faire confiance à la vie

Je pense véritablement que pour sortir de l’ébranlement personnel que provoquent en moi actuellement tous les rapports scientifiques sur la biodiversité, sur les chiffres alarmants de cet « édifice du vivant » qui s’écroule, il faut faire confiance à la vie. Cela peut paraitre naïf écrit comme cela, mais j’entends ici faire confianc
Sensibles - Kacimi

Sensibles - Kacimi

Ça ne passait pas… Je découvre ce matin le livre de Nedjma Kacimi, Sensible , acheté sur les conseils de Sylvain et je suis tout de suite happé. Beaucoup de livres sur l’Algérie, beaucoup d’écrits, mais peu me happent, peu m’entrainent avec eux, comme celui-ci… C’est une phrase, c’est une prose…peut-être des accents Célinien

Notes de lecture « Ci-gît l’amer » de Cynthia Fleury

La vie commence dans un déchirement, un éprouvé de souffrance et d’abandon, on porte en soi toujours ce sentiment étrange « d’une colère enfouie », un ressentiment, une profonde amertume. Pour désigner cet affect, Cynthia Fleury a recours à l’allemand et au substantif « Groll » qui désigne la rancœur, le fait d’en vouloir à qu
Etranger à soi-même

Etranger à soi-même

Plus je discute avec C. de ce qu'elle ressent pour moi, de la façon dont elle me perçoit, plus je sens une forme de brouillard s'épaissir autour de ma personne. Difficile de savoir qui je suis vraiment, comment je grandis, me construis, vers quelle "direction"... Et peut-on parler de "direction", ne faudrait-il pas davantage parler d'épanouisse
Karl Ove Knausgaard

Karl Ove Knausgaard

Je termine ce matin, 15 avril 2021, le 5ème tome de l’auteur Norvégien Karl Ove Knausgaard, et suis encore une fois happé par les affres de son existence qui recoupent en grande partie les miennes… Je ne suis pas écrivain, mais je retrouve en lui toute l’approche du monde sensible qui fut la mienne, je ressens au plus profond de mon être
Et si l'amour était...

Et si l'amour était...

L’amour n’est pas le sentiment qui reste quand tout est au repos enfin. N’est-il pas ce sentiment de l’apaisement, d’après le jugement… Quand il n’y a plus rien à prouver comme un forcené, quand on est passé de l’autre côté de la tempête, de l’autre côté des sentiments qui consiste à démontrer, affirmer… L’amour est
Au soupçon de vie qui se cache dans l’instant présent

Au soupçon de vie qui se cache dans l’instant présent

Rennes 24 décembre 2022 Je voudrais pour la nouvelle année vous souhaiter de l’infime, vous souhaiter de l’intime, cette parcelle de temps présent, ni future, ni passée, celle qui éclaire un « tendre » moment… Je ne vous souhaite pas des plans sur la comète, ni des perspectives plein la tête, non juste un court instant de plénitude,
Guerre Louis Ferdinand Céline

Guerre Louis Ferdinand Céline

Guerre de Céline Comment exprimer la sensation éprouvée en ouvrant l’ouvrage « Guerre » de Louis Ferdinand Céline ? Comment exprimer la joie de cette « essence », de ces visions pictogrammiques d’avant le langage. Céline, ce sont des images, des ambiances, des voluptés, des cris, des odeurs, des impressions, Céline, c’est ce style
texte anniversaire

texte anniversaire

Mais qu’est-ce que tu veux pour ton anniversaire ? De l’envie, des idées, de l’amour, le souffle d’une ascension, les cheveux ébouriffés et le vent inlassable, qui remuent les idées, Le coucher du soleil en été, les ombres de Guipel qui s’étirent dans le soir chantant, Le parfum des bois alentours, la mousse sur mon âme, Et la joi