Introduction à l'article consacré au commentaire de quelques versets coraniques Depuis que les hommes existent, ils ont toujours commenté oralement d’abord, puis par écrit, les enseignements de leur savoir littéraire, religieux ou scientifique. Une attention spéciale est accordée aux textes sacrés, dans les religions aussi bien polythéis
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Deuxième partie : Le Shaykh Muhammad ibn Siddîq al-Kojojî J’aurais pu me contenter de signaler ceci à propos de ce transmetteur oublié de nos sources les plus connues si je n’avais pas appris par un autre hasard qu’un livre de sa composition avait été publié à Shîrâz en 1367 de l’hégire solaire/1947 en même temps qu’un ensemb
Adam et Eve n’étaient pas au Paradis (Ni péché originel, ni chute de l’homme) « Auparavant, les tribus des hommes vivaient sur la terre, exemptes des tristes souffrances, du pénible travail et de ces cruelles maladies qui amènent la vieillesse, car les hommes qui souffrent vieillissent promptement. Pandore, tenant dans ses mains un grand
Qul Huwa Allah Ahad… wa lam yakun lahu kufuwan ahad Le Ahad d’en haut (du début) n’a pas besoin de l’aide du ’ahad d’en bas (de la fin). Mais il y a une analogie, une homonymie voulue qui donne à penser, entre le ’Ahad initial de la sourate et le ’ahad final. Le ’ahad d’en bas possède lui aussi une ahadiyya qui est l’image,
Dans le premier chapitre (al-bâb al-awwal), l’auteur démontre l'unité de l'intellect et l’unité de l’âme humaine avec des arguments empruntés à la philosophie, puis par des arguments traditionnels. Il illustre son propos par des vers d'Ibn ‘Arabî, qualifié de Shaykh al-akmal al-akbar: 1) al-rûhu wâhidatun wal-nash'u mukhtalifu f
Ibn ‘Arabî en Iran : Une influence sous-estimée Omar BENAISSA Depuis qu’elle a vu le jour, la doctrine akbarienne n’a cessé d’exercer en terre iranienne une influence plus ou moins ressentie au cours des âges. Après avoir connu une phase d'assimilation dès le premier siècle qui suivit la mort d’Ibn ‘Arabî (638/1240), elle s’y
Autour de Qunyawi, - Mu’ayyad al-dîn al-Jandî : mort en 690-700 de l’hégire (1290-1300). Jandî qui commença le (premier) commentaire intégral du Fusûs du vivant même de son maître, et avec son aide, sera par la suite désigné comme le premier commentateur (al-shârih al-awwal) par les commentateurs suivants. Il a aussi d’autres écr
Chapitre III La Théologie Fa‘lam annahu lâ ilâha illa Allah ! C'est une question qui ne se résout jamais, parce qu'il s'agit d'un faux problème. Cette étudiante devrait écrire aux oulémas sunnites d'al-Azhar pour leur soumettre la question, en tant qu'étudiante. Tout le monde ou presque se la pose. Ce professeur qui s'en prend à une ét
Deux transmetteurs méconnus de l’enseignement akbarien: Hasan b. Hamza b. Muhammad Shîrâzî (m. circa 698/1298) et son maître le Shaykh Muhammad b. Siddîq al-Kojojî (m. circa 677/1278) Première partie : Hasan b. Hamza b. Muhammad Shîrâzî: Egalement connu sous le pseudonyme ou peut-être la nisba (ethnique) de al-Sharaf al-Palâsî (pal
A propos de la Futuwwa Par Omar BENAISSA “Il est parmi les croyants de vrais hommes qui avérèrent les termes de leurs actes avec Dieu, d’autres qui accomplissent leur vœu, d’autres qui attendent, mais sans le moindre gauchissement.” Coran, sourate 33, verset 23. Considérée dans l’absolu, la futuwwa, en tant qu’état de perfection h