Mes journées sur l’olympe ici, travaillent les dieux, enfin... des dieux de leur bureau, de leur chaise, de leur micro et de leur portable, sinon, ce sont des dieux modestes, des molécules de dieu. en ce qui me concerne, chut ! lorsque j’y étais, je frôlais les murs, je ne voulais pas être vu par eux, pas qu’ils me fassent peur, mais che
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Je suis comme le commun des mortels...Perdu dans l'immensité de cette planète en fusion. J'aime la musique jamaïcaine, le reggaeton et la bachata, le cinéma et Dieu me pardonne le foot.
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20/11/2010
Categorie :
Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
Le mendiant du travail je n’en ai pas assez, de quoi ? du travail, quoi ? « donne ! donne ! donne ! dieu te le rendra » dis-je, en chantant avec l’accent de là-bas entouré de deux jeunes filles plantureuses qui dansent autour de moi. mon chef, tire la langue, elle descend tellement bas qu’il marche dessus, un encadrant à réaction, en fa
Le mendiant du travail je n’en ai pas assez, de quoi ? du travail, quoi ? « donne ! donne ! donne ! dieu te le rendra » dis-je, en chantant avec l’accent de là-bas entouré de deux jeunes filles plantureuses qui dansent autour de moi. mon chef, tire la langue, elle descend tellement bas qu’il marche dessus, un encadrant à réaction, en fa
Mardi zombie mardi, zombie mercredi, pas moi, moi en forme, moi couché tôt, pas regardé les merdes à la télé, pas regardé pubs ineptes, moi lu, moi écouté musique baroque ou classique, au lit, calmement. vous allez me dire que mes formulations sont nulles et mal écrites, je vous dirai que c’est volontaire. j’en vois baver sur leur por
Lundi et mes cinq « j’aime » ah ! ah ! je ris de me voir si beau dans ce miroir. n’est-on pas mieux servi que par soi-même ? odile est à paris et riri avec les perruches, le chien et quelques fantômes qui errent dans le salon. « bouh ! bouh ! » je collectionne les likes, moins qu’avant, j’additionne, je soustrais, je multiplie, je fa
Je n’irai pas à carrefour non ! non ! je n’irai pas à carrefour ce mercredi, jamais, jamais le mercredi… je ne veux pas croiser les ménagères de moins de cinquante ans, je n’ai rien contre elles, rien de rien, mais je suis antipathique, vilain et j’ai été traumatisé par aujourd’hui madame (émission pour les femmes que les hommes
Roger poireau roger l’amour de la terre, plante des poireaux, sous l’œil attentif de dada qui entretient jalousement la moisissure de son toit. les retraités s’ennuient mais s’occupent ou s’occupent et s’ennuient. pour se distraire un peu, ils jouent à la guerre des étoiles avec les poireaux. " je suis ton père " crie dada et vlan
L’amour est dans le pré-pré-retraite. ils sont increvables mes deux retraités, ils bouffent des kilomètres, ils conspirent contre les conspirateurs, refont et défont le monde. ils flippent contre les envahisseurs aux petits doigts raides comme… des petits doigts raides. odile s’inquiète, plus de ressauts, j’ai peur des conspirateurs,
Rahhhhh !!!!! sors de mon corps onc'picsou, canard ladre, perché sur sa montagne de fric…. je deviens pingre, comme un peu tout le monde. je fais les courses avec une loupe pour dénicher la moindre augmentation de prix à carrefour, aldi, leader price (s’ils existent encore), je bouffe de la merde en boîte, en surgelé, en barre… odile me
Déjà invité à payer cinq euros au repas d’avant le commencement de la saison de foot, j’arrive au bras d’odile, parfois j’arrive avec son bras droit, d’autres fois le gauche, mais quand je veux faire le pédant, c’est le droit et pis c’est tout. les joueurs sont là avec leur femme, maîtresse, ou leur solitude… j’ai mon t-shi