Couleur carbone Telle le carbone, sombre, esseulée, Elle accueille l'écueil, Comme un bruissement de feuilles Qui se tourne et qui laboure les erreurs Et ces rares serruriers des éternels loquets même à lécoute... De la tragédie décelée Enfreint l’avis sur la question Aux fins de vie de ceux-là Le répit hérétique De vouloir rester un

LA BELLE ERREUR Silence et la mélodie annonce Ce que les cils en souffrance Et la nuque abandonnée Aux chimères des maldonnes Auxquelles tu as renoncé Pour un rêve, t'emprisonne... Une liberté au prix fort Pourtant seule que tu abhorres Sans aborder les mirages d'une petite fille trop sage Devenue bourreau et victime Dans la douleur que tu in

M'aime si Même si intègre, tu m'intrigues, Lorsque l'intrinsèque décuple, et si la vague frappe le digue aussi violemment que cœur couple les mésententes et le tracas de préserver toutes les fois que tu menaces sonne le glas... Puis partir en un naufrage Aussi querelleur que l'accrochage et s'en défaire de ces pleurs de l'étreinte à le pu

La suppliciée et le bourreau D'avoir stocker les hommes Comme un syndrome de stockholm Exécuteur...Ecouter ces musique Pour retrouver les maux Y a comme une trace de pic Dans mon éthique de peau Alors... Laisse moi te faire l'apologie De la suppliciée et du bourreau La première rie l'autre de trop Lorsque s'en ira l'agonie Elle reviendra au ga

L'ECCHYMOSE Lorsque la confusion devient diffuse Et qu'elle discute la cicatrice Confisque l’ego s'en va l'alter Alors si l'autre pressurise, Pourquoi, pour qui, tu la considères Ta propre image mais si peu fière... Il va de soi qu'il est très mâle De mettre le tréma sur le mime Soupire la femme en dentelle Quand tout ce désir décline Du s

LE DEMENTI DEMENTIEL Toutes les foi que tu imagines Où tienne sera plus forte que mienne Et les corps que tu traites en rechigne En accord avec ton cœur que tu malmènes C’est la relève des écorchures La belle époque de la torture Je sais que tu comprends mes maux Puisqu’ils sont ceux de ton égo Déraciné pourtant cultives Ce qui pourrai

VENENEUSE... Peut-être vénéneuse D'avoir employer les grands maux Pourtant si délicieuse Comment reprocher conscience A l'âme alarmant Le charme à l'encontre Des cœurs trop gourmands? En vain mais heureuse Tu ne t'attaches qu'à l'amant Tandis qu'il n'aspire Qu'aux bras dénudant Ton art et tes dires S'en iront ton humeur hasardeuse Et tes d

A l’ombre des oreilles échouées Les conversations murmurées A l’ombre des oreilles échouées La foule alors inonde Ce qu’effacera la fronde Lorsque les plaisirs de la chair Déchirent ne font que déduire Les mauvaises ires et les airs Se font alors conduire Intempestive presque ivre De vivre du vent, autant Heureuse d’avoir changer la

LE GOUT DE L’IMPLIQUE J’ai des images à effacer, De rimes affables à raconter, Déclics dépotent à se narrer Lorsque l’appât abuse la proie Soulage la note à sacrifier Intériorise l’interroi Et le soi-même en dénigré… Abdiquer l’addict tragique Qui énumère les mimiques Si éphémères et adéquates Au train de vie sans tact

Le butin de décadence Elle avait revêtu son plus beau manteau d’hiver S’était parée de ses bijoux de naguère Mais attendre sans patience Revient à aduler négligence… Elle avait prévu des effervescences Déterminée à mettre en patère Des sentiments naissants Et des promesses en l’air… Vernir ses ongles, portant s’engonce Dans