Ton ventre remplis d'un autre liquide, Allonger sur mon lit, Sainte est la malheure qui nous guide ! Dans la belle nuit comme le soleil vide... Ya un autr' dans ton nid !

Es-tu amoureuse de moi ? Ou c'est seulement l'amour ? Rien reste. Pas d'sentiment mais à la fois, Les jambes écarté, pas de choix. Moi j'aime bien. Mon cœur déteste.

Je rêve beaucoup ou un peu ? Je ne dors pas. J'ai ni la lune. Mon sommeil brûlé par le feu. La nuit, pour moi, perd sa fortune.

Âgé d'un nombre grand ou l'amour viens et pars J'adore mon amant, j'adore cette femme. Qu'est un jour étrangère et l'autre jour ma dame. Allonger sur mon lit ou l'amour viens et pars...

Et au plus clair de la nuit, Quand tu portais ta belle robe. Le silence abattais le bruit Et mon regard, tu le dérobe Seul ton beau parfum que je suis, Transformer mon coeur en un globe Passer le temps, je développe Que c'est la fin de qui je fuis. Et quand l'aube nous cherchera, Pas seulement le bruit reviendra. Ma tristesse et ma peine aussi !

Je n'arrive pas à rêver ! C'est la guerre contre la flemme. Je dors pour ne pas me lever. La flemme, elle fait de même.

La nuit viens de passer, les yeux encor' lever. Comment être quelqu'un ? Je ne peux pas rêver.

De France, le 30 septembre, 2013, Cher fils non né, Lis cette lettre pour comprendre Car à mort, je t'ai condamné. Seulement ici, tu vas apprendre. Ta mère n'était pas âgé. Donc j'était obliger de prendre, Tes cendres et de les noyé. Que j'attrape une mort affreuse, Bienfaisante et douloureuse, Fils, qu'on me brûle sous l'eau ! Ou qu'on m

A pein' à l'extérieur, Satan m'embrasse Bellement mère est mourante, mère meurt. La vengeance, faut que je mon débarrasse ! À son deuil, avec du bonne humeur.

Des lettres à mon enfant non né, Sans réfléchir, papa il t'aime. Et donc pendant toute ses années. À mort je me suis condamnée ! Sans réfléchir, papa il t'aime.