Lorsque je reçus pour Noël La chimiste de Stephenie Meyer, je fus stupéfaite de découvrir qu'antérieurement l'auteure avait publié un roman dont je n'avais même pas pris connaissance jusqu'alors. Saperlipopette !! Comment avais-je pu passer à côté ? Pour les dix ans du premier tome original de Twilight, un événement qui se devait d'êtr

Le mois de janvier 2018 m’a permis de découvrir des lectures fabuleuses et surprenantes mêmes. Je l’avais débuté avec Le premier miracle de Legardinier, un écrivain exceptionnel qui arrive même à vous faire mourir de rire dans les pires situations de l’histoire imaginée avec un talent fou par l’auteur. Je l’avais découvert avec D

« Lénaëlle », dès la première lecture, s’est avéré sans conteste, comme étant une adorable romance très pétillante mêlant plus d’un genre littéraire, imprégnée de multitudes émotions bousculant autant l’héroïne que les autres personnages du roman; mais ce qui m’a le plus intéressée lors de cette lecture, par ailleurs tr

Quand Stephenie Meyer avait publié la saga Twilight, une romance fantastique, elle avait fait le buzz au sein de la littérature pour youth adult avec des répercussions phénoménales avec ce nouveau genre d'écriture qui fera des émules. Ensuite avec les Âmes vagabondes, l'écrivaine, changeant carrément de style, abordait avec succès le sty

La lecture de Au revoir là-haut, le chez d'œuvre de Pierre Lemaitre, sous forme de bande dessinée, adapté par Christian De Metter, a été non seulement pour moi une agréable surprise par la qualité talentueuse des dessins mais aussi par la réussite d'intégration fidèle du roman. Le seul regret est qu'il ait été lu et décortiqué niveau

Le mois de janvier 2018 m’a permis de découvrir des lectures fabuleuses et surprenantes mêmes. Je l’avais débuté avec Le premier miracle de Legardinier, un écrivain exceptionnel qui arrive même à vous faire mourir de rire dans les pires situations de l’histoire imaginée avec un talent fou par l’auteur. Je l’avais découvert avec D

Le liseur du 6h27 de Jean-Paul Didierlaurent, s'intéresse, par le biais de la fantaisie pleine de fraîcheur et de l'humour mêlant tendresse et le côté désopilant, au pire cauchemar de tous les auteurs, cette menace horrifique qui s'empresse de se profiler dès la publication de chacune de leur œuvre littéraire : le pilon. Le Terminator, la

Voilà que le printemps 2018, qui s'était déjà vite empressé de se faire remarquer, de façons ludiques, comme ses prédécesseurs certes, mais largement plus excessifs d'ailleurs, en se travestissant hors caricature en mode estival très bohème, est toujours bien décidé à nous surprendre !!! Ne voilà-t-il pas que Monsieur le Printemps se

Le défaut d'overblog, c'est que si vous y écrivez directement, par l'intermédiaire de votre blog, sous l'impulsion du moment, et qu'internet s'en mêle par des difficultés à publier le texte, et bien vous voilà dans la panade. Certes, j'aurais dû le mettre en brouillon avant d'essayer en vain de le publier.. Mais c'est si râlant de perdre u

Jamais je n’aurais pu penser ou envisager même, que lire Le silence des agneaux imaginé et écrit par Thomas Harris qui en fit un roman vite encensé à l’époque et vite adapté en film exceptionnel, le dotant de nombreux Oscars, serait pour moi un véritable calvaire, un tel supplice agaçant et à l’heure où j’écris c’est une premi