Chaque concert de philippe guillard nous plonge dans la beauté âpre mais fraternelle des textes de ferré, ou des autres poètes que léo avait mis en musique. bien sûr il y a la voix, âpre elle aussi, qui vous vrille les mots dans les oreilles et le coeur, mais il faut aussi voir l'acteur qui fait vibrer les idées, vous les flanque droit dans

Pour changer de pastior que d'aucuns ont trouvé par trop difficile, voici des extraits de philippe jaccottet dont on peut ouvrir les livres à n'importe quelle page pour être rempli de bonheur. ainsi dans le cahier de verdure (nrf poésie gallimard) : * """ autre chose vue au retour d'une longue marche sous la pluie, à travers la portière embu

Après confinement et déconfinement... au cas où j'aie quelque chose à écrire dans les jours qui suivent, je reprends ce vieux blog largement abîmé par overblog, mais tant pis ! beaucoup de choses sont à modifier ou à compléter, je verrai bien mais les sorties théâtre, ciné, expos, ont tant manqué que pour ce soir ce sera hedda au thé

Monsieur overblog ne répond jamais aux questions, en revanche il sait très bien désactiver, tout en conseillant de... rédiger un nouvel article ! voilà qui est fait. je suis toujours furieuse !

"hedda" a été adaptée d'un long texte de sigrid carré lecointre, porté par lena paugam qui a aussi participé à la mise en scène. on assiste à un coup de foudre improbable entre une femme tombée d'amour fou pour un homme avec lequel se construit doucement une idylle qui va s'effilocher et sombrer. comme dans la chanson, "les histoires d'am

Laissons de nouveau réfléchir philippe jaccottet : """ rêvant, réfléchissant à ces deux couleurs, il m'est revenu à l'esprit à un moment donné la vita nova (1) , ce petit livre auquel j'avais repensé déjà quand j'ébauchais des espèces de madrigaux à l'enseigne d'un autre génie italien, plus tardif, claudio monteverdi. ce titre, en e

Peine ou plaisir ? """ vert et blanc. " oui, c'étaient alors que les simples et belles bergeronnettes allaient de vallée en vallée et de colline en colline, en tresse et en cheveux, sans autres habits que ceux qui étaient nécessaires pour couvrir honnêtement ce que l'honnêteté veut et a toujours voulu qui se couvrît ; et leurs ornements [.

Après confinement et déconfinement... au cas où j'aie quelque chose à écrire dans les jours qui suivent, je reprends ce vieux blog largement abîmé par overblog, mais tant pis ! beaucoup de choses sont à modifier ou à compléter, je verrai bien mais les sorties théâtre, ciné, expos, ont tant manqué que pour ce soir ce sera hedda au thé

La partie i l y a des jours comme ça où je me demande si la partie est terminée ou si, au contraire, elle vient juste de commencer. aujourd'hui est un de ces jours-là sauf qu'il dure depuis dix ans, déjà. je commence à trouver le temps long. en plus de ça, depuis ce matin je me demande si un poème est le début, ou la fin d'un énième cha

Est paru en février 2013 chez nous, dans une traduction de l'allemand par alain jadot et avec une préface de christian prigent, un réjouissant livre de poèmes d'oskar pastior (1927-2006). issu de la minorité allemande de roumanie, il a survécu à la déportation dans plusieurs goulags russes. rien n'en est resté dans sa poésie si ce n'est s