Un grand-père me tenait par la main tandis que nous marchions les grillons murmuraient le chant des étoiles nous foulions les branches de thym sous nos pieds puis il y eut des aiguilles de pin et la cime des arbres les vagues grossissaient imperceptibles à mi-chemin du ciel avant les clins d'oeil de d-ieu à l'intérieur de cette tombe vivants
Ch. Mazières
Ch. Mazières
Ces poèmes ont souvent été écrits très isolé ou dans une démarche volontaire d'introspection.
Voir aussi Prémices (intimidations.over-blog.com) et le Caneton déchaîné, toujours sur Overblog.
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Poésie du caché
Ces poèmes ont souvent été écrits très isolé ou dans une démarche volontaire d'introspection.
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Ch. Mazières
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64
Depuis :
23/07/2009
Categorie :
Religions & Croyances
Articles à découvrir
Eyal golan & sarit hadad - kol hachalomot - tous les rêves
l'amour détaché de la beauté la beauté du premier déliée la vie divorcée de l'amour perdue dans son éternité de matière cynique nouée coeur et mémoire voguant sur des cristaux de sable frissonnent affligés
Je suis la ville brillante, décapitée, broyée d'amour et de rigueur j'ai grandi et produit nul ne veut plus me croire ce temps est surhumain haïe et diffamée j'implore la justice, humaine, morte, infinie
Je ne saurais dire si elle me rappelle cette actrice jordanienne ou une princesse persane cachée sacrée, aimée et forte jeûnant, se battant, rêvant bien plus pour une humanité sans elle sans mémoire je sais la splendeur de ses traits n'osant deviner son corps bâti avec patience le doute dans lequel son souvenir s'est inscrit lorsque je lui
Ne dites pas un lion a traversé le rêve arrachant nos pennes d'or, plus malheureux ailes prises aux sandales éthérées ne prétendez pas, ne prétendez à rien un côté en sang, l'ours rode heureux dieu qui passe sous la terre, le disque rouge est sien de ce que les dernières lueurs révèlent ne vous arrêtez pas à la puissance de la panth
Ta peine a été bien sévère salomon molkho toi qui fus brûlé pour rester grand d'espagne grandes ton intelligence et ton imagination qui auraient aimé rencontrer un prince d'arabie tu gardais la mémoire de la prophétie quand, pour plus futile qui n'était comme toi parmi les puissants
Le petit cheval noir sous le ciel bleu et blanc lui n'était pas un âne son chevalier blessé tombé de sa monture restait loin du profane ce soleil étonnant qui n'a jamais eu d'âge il voyait l'horizon et plus jamais un nuage dans le parfum des fleurs se cachait leur partage de la douceur du soir loin des bruits du village des flèches et des la
La pierre de jérusalem est la rose de nos souvenirs elle ne fanera pas ainsi un souffle pourrait-il emporter mon âme aux confins de l'univers un semblant d'éternité la poussière en recouvrir les pétales ouvragés déchirés germera ici le temps antérieur aussi noble et vivant que la terre
Le temps est infini qui me sépare d'hier où je cessai de croire en quelque présent tandis que j'observe le quartier de lune parmi les étoiles c'est seulement d'avoir manqué le bus et marché au soleil une histoire de planètes ou de mauvais homme qui a conclu en début de nuit qu'après tout je ne faisais que singer une écriture en réalité
Hlm royaume des musiques nouvelles chants de révolte de désirs et d'ennui quand les psaumes d'aujourd'hui fleurissent loin de l'esplanade animée entre les murs de l'homme et la femme blessés une ville labyrinthe de vallées encaissées un écrivain dessine des cités oubliées cristallisations de lettres au sens obscur naissances d'états ou de