Hlm royaume des musiques nouvelles chants de révolte de désirs et d'ennui quand les psaumes d'aujourd'hui fleurissent loin de l'esplanade animée entre les murs de l'homme et la femme blessés une ville labyrinthe de vallées encaissées un écrivain dessine des cités oubliées cristallisations de lettres au sens obscur naissances d'états ou de
Ch. Mazières
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Ch. Mazières
Ces poèmes ont souvent été écrits très isolé ou dans une démarche volontaire d'introspection.
Voir aussi Prémices (intimidations.over-blog.com) et le Caneton déchaîné, toujours sur Overblog.
Ses blogs
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Poésie du caché
Ces poèmes ont souvent été écrits très isolé ou dans une démarche volontaire d'introspection.
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Religions & Croyances
Articles à découvrir
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Le petit cheval noir sous le ciel bleu et blanc lui n'était pas un âne son chevalier blessé tombé de sa monture restait loin du profane ce soleil étonnant qui n'a jamais eu d'âge il voyait l'horizon et plus jamais un nuage dans le parfum des fleurs se cachait leur partage de la douceur du soir loin des bruits du village des flèches et des la
Laisser errer les mots ? de sel et de glace ces étendues si loin de nos plans précis aujourd'hui oubliés du plateau attendu tant est déjà venu dans nos vies déchirées vagues de douleur demeure la guérison le temps, renouvelé, s'interrompt été, livre, union s'il n'y a plus d'homme ainsi rédemption la guerre n'est plus où trouver son sou
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Ne dites pas un lion a traversé le rêve arrachant nos pennes d'or, plus malheureux ailes prises aux sandales éthérées ne prétendez pas, ne prétendez à rien un côté en sang, l'ours rode heureux dieu qui passe sous la terre, le disque rouge est sien de ce que les dernières lueurs révèlent ne vous arrêtez pas à la puissance de la panth
Un grand-père me tenait par la main tandis que nous marchions les grillons murmuraient le chant des étoiles nous foulions les branches de thym sous nos pieds puis il y eut des aiguilles de pin et la cime des arbres les vagues grossissaient imperceptibles à mi-chemin du ciel avant les clins d'oeil de d-ieu à l'intérieur de cette tombe vivants
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La pierre de jérusalem est la rose de nos souvenirs elle ne fanera pas ainsi un souffle pourrait-il emporter mon âme aux confins de l'univers un semblant d'éternité la poussière en recouvrir les pétales ouvragés déchirés germera ici le temps antérieur aussi noble et vivant que la terre
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Avraham dont la vision dépassait les idoles englobait terre et soleil qui s'était vu promettre grandeurs morales telles les étoiles du ciel faillit perdre son fils sur le rocher sanctifié ne repensant plus à son père aveugle pour autre que ses marchandises il fut triste pour celui que lui avait donné sa servante eux-mêmes sauvés par des me
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Ta peine a été bien sévère salomon molkho toi qui fus brûlé pour rester grand d'espagne grandes ton intelligence et ton imagination qui auraient aimé rencontrer un prince d'arabie tu gardais la mémoire de la prophétie quand, pour plus futile qui n'était comme toi parmi les puissants
Le temps est infini qui me sépare d'hier où je cessai de croire en quelque présent tandis que j'observe le quartier de lune parmi les étoiles c'est seulement d'avoir manqué le bus et marché au soleil une histoire de planètes ou de mauvais homme qui a conclu en début de nuit qu'après tout je ne faisais que singer une écriture en réalité
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Je suis la ville brillante, décapitée, broyée d'amour et de rigueur j'ai grandi et produit nul ne veut plus me croire ce temps est surhumain haïe et diffamée j'implore la justice, humaine, morte, infinie