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Nona

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Papillon redeviendra chenille.
Nona Nona
Articles : 265
Depuis : 30/11/2010
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

Le Bleu est une couleur Chaude - Julie Maroh

Le Bleu est une couleur Chaude - Julie Maroh

Voilà, c'est une BD. J'ai toujours aimé les BD, un amour qui me vient de mon père je crois, je les ai découvertes grâce à lui, je les ai aimées grâce à lui et j'ai appris à les savourer grâce à lui. Je dois dire que cette BD, cette couleur chaude qu'est le bleu, m'a attirée peu de temps après sa sortie, au détour d'un rayon de la Fna

Simplicio

Simplicio, têtu, borné Con comme ses pieds Qui nous emmerde avec sa putain Du géocentrisme sans solaire Contré, sombre crétin. Dialogue félicité Simplicio défend, Simplicio réclame Que Simplicio se pende ! Puisque séparés, L'amant et l'amour S'étouffent S'étranglent Se meurent Dans l'observation aveugle D'un lézard endormi Peut-être

...

Loin de toi, la vie n'est qu'une lente attente. J'attends le moment de te revoir. Aucune logique. Il n'y a que la douleur d'être à nouveau loin de toi, de tes bras, de tes lèvres, de ton odeur, de ta chaleur. Quand suis-je devenue si faible ? Quand ai-je laissé la douleur m'envahir ? Je suis juste obsédée par les souvenirs de toi. Des souveni

8)

Alors il faut croire que j'aime souffir vu que je t'aime...

L'absence.

Je ne supporte plus l'absence. L'absence d'intérêt, l'absence de rêve, l'absence de cauchemars, l'absence de mots, l'absence d'idée, l'absence d'être, mais surtout, je n'en peux plus de ton absence, celle qui me déchire le coeur et me prive de tout car ta présence me rend trop heureuse pour songer à autre chose, et l'attente de te revoir oc

.

Les mots meurent avec l'âme de leur Roi. Ils meurent comme s'éteint la lune d'un trop bel amour. Ils meurent comme se fane la force d'une trop vieille jeunesse. Les miens se meurent comme brûlent les cigarettes.

.

La fin est là. Tu me tues, tu veux me voir morte, me frapper, me faire souffrir. Et encore et encore, je m'accroche. Cruel monstre…

Az'

Tu m’avais promis de ne pas m’oublier. Quand ils sont venus me chercher, m’emmener, tu m’as dit que tu reviendrais pour moi, que tu viendrais me reprendre, que tu me sauverais d’eux. Je t’attends encore. Jamais tu ne viens, même si je t’appelle, même lorsque tu m’entends, tu n’arrives jamais à temps. Et pourtant, je te vois, à

Lente attente.

La douleur d'une lente attente, l'attente de la fin. Quand sera-t-elle ? Cette terrible fin, qui fera si mal, qui sera si abominable à mon coeur, qui me tuera, peut-être... Elle ne saurait tarder, cela fait déjà trop longtemps, bientôt, il se lassera. De moi, de ma folie, de l'être qui vit avec moi, qui me hante et m'obsède, qui me détruit

Le reste.

Lorsque la haine d'un coeur se déploie, dans la lenteur d'un battement d'ailes, et que le hurlement gronde, avec toute la rage d'un mort, que reste-t-il de nous ? Nous qu'ils appelaient les amants de la torture, nous qu'ils appelaient les enfants de la haine, que reste-t-il de nous ? Nous la terreur d'un temps, lorsque notre monstre restait prison